Deux couples


Jeudi 12 juillet 4 12 /07 /Juil 13:18
Où nous entrons dans le vif du sujet...

C'est le départ ! Pierrick propose de ne prendre que leur voiture et c'est ainsi que nous nous retrouvons dans son monospace, Lui au volant, moi à côté et les deux femmes derrière. Je ne sais pas ce qu'elle se disent mais leur humeur est un beau fixe. Nous avons prévu d'inviter nos amis à diner avant de nous rendre au Must et c'est dans un petit restaurant où nous avons nos habitudes que nous prenons le repas. L'ambiance est excellente, les plaisanteries nombreuses. Je remarque à ce moment que ma chérie ne porte plus son soutien-gorge. À priori, le "petit rafraîchissement" de tout à l'heure ne concernait pas que le maquillage !


Il est minuit. Nous arrivons sur le parking du Must.


- Alors, les amis ! On y va ?

- On y va ! répond Catherine.


Nous sommes accueillis par une charmante femme, qu'une quarantaine d'années, qui s'avère être la propriétaire des lieux. Pierrick se charge de faire les présentations et Martine nous indique une table libre, non loin de la piste de danse. Quelques couples occupent celle-ci, se déhanchant au rythme d'une musique disco. Martine revient, un plateau sur lequel trônent une bouteille de Champagne et 5 coupes.


- C'est une tradition ! Nous souhaitons la bienvenue à nos nouveaux amis en leur offrant un verre !


Nous trinquons avec elle avant qu'elle ne nous quitte pour saluer de nouveaux arrivants. Une série de slows commence. Pierrick tend une main à Catherine :


- Tu danses ?

- Avec plaisir !


Pendant qu'ils dansent, Guéna se penche vers moi :


- Ça va ?

- Oui, très bien...

- Pas trop anxieux ?

- Pas pour l'instant...

- Regarde nos chéris ! Ça te fait quoi ?


Sur la piste, Pierrick est en train d'embrasser Catherine dans le cou et sur le visage, ses mains posées sur les fesses de ma chérie.


- Pas jaloux ?

- Non... excité plutôt...

- On les rejoint ?

- Avec joie !


À mon tour, j'enlace mon amie, les mains sagement posées sur ses hanches. Catherine me regarde, un sourire un peu anxieux aux lèvres. Le mien semble la rassurer et elle s'abandonne contre son cavalier. Peu à peu, le corps de Guéna et le mien se rapprochent et je peux bientôt sentir le renflement de son pubis contre mon bas-ventre. La situation ne me laisse pas insensible et, à son tour, elle ne peut ignorer mon érection. Nous nous regardons, les yeux dans les yeux puis, tout naturellement, nos bouches s'unissent dans un doux baiser.

La série de slows se termine et nous regagnons notre table. Nous terminons notre verre puis Pierrick nous propose de découvrir le reste de l'établissement. À sa suite, nous partons donc à la découverte des lieux. Tout d'abord, nous troquons nos vêtements contre un peignoir.


Un couloir nous emmène vers un jacuzzi, pour l'instant occupé par un couple et un homme. Les bulles nous empêchent de distinguer avec précision ce qui s'y passe mais, à voir le visage épanoui de la jeune femme, nul doute que ces deux partenaires lui procurent beaucoup de plaisir. La visite se poursuit et nous parvenons à la porte d'un sauna.


- Vous avez déjà testé ?

- Jamais.

- Ça vous dit ?

- Pourquoi pas ?


Nous pénétrons dans le petit local, immédiatement pris par la chaleur humide de l'endroit. Tout naturellement, nos amis se mettent nus et s'allongent sur une banquette, bientôt imités par Catherine et moi. C'est la première fois que nous nous retrouvons dans un telle situation et, même après nos courtes étreintes tout à l'heure en dansant, une légère gêne s'est emparé de moi. Catherine semble elle beaucoup plus à l'aise et, allongée sur le dos, elle ne fait rien pour cacher son intimité aux regards de nos amis. Après quelques minutes, Pierrick pose les doigts sur la cuisse de ma femme et la caresse, remontant lentement mais sûrement vers sa fourche. Guéna ne reste pas inactive et c'est sur les seins de Catherine qu'elle jette son dévolu. Voici donc mon amour livrée aux caresses, puis rapidement aux baisers du couple.

Évoquer cette situation, Catherine livrée aux caresses d'autres que moi, était une chose ; la vivre est toute autre ; la voir ainsi, les doigts et bouches de nos amis courant sur son corps nu m'excite à un point que je n'aurais pas imaginé et mon érection est presque douloureuse.


La visage de Pierrick est maintenant plongé entre les cuisses de Catherine et j'imagine sa langue explorant et léchant la fente que je sais trempée. Je m'approche de notre amie et pose une main sur une fesse. Réaction immédiate, Guéna tend les reins au devant de la caresse. Je prends donc possession de ces globes charnus et les masse, parfois fermement, avant d'y poser les lèvres et leur offrir nombre de doux baisers. Tout contre moi, les gémissements de Catherine s'amplifient et, dans un dernier, plus long, plus fort, elle jouit sous la langue de Pierrick. Il se relève et j'admire ma petite femme, les yeux fermés, le corps couvert de sueur, savourer son plaisir. Elle n'a pas refermé ses jambes et, sans hésiter, son amant s'installe entre ses cuisses, le sexe à l'entrée de sa grotte. Une poussée et il l'investit, accueilli par un long soupir. Ça y est ! Pour la première fois Catherine se fait baiser par un autre homme que moi ! À entendre ses gémissements, parfois même ses petits cris, elle semble y trouver un plaisir tout particulier.


Guéna se retourne vers moi puis, sans autre forme de procès, me fait asseoir et vient s'empaler sur mon sexe dressé. J'ai l'impression de pénétrer une fournaise tant sa chatte est brûlante. Ses mains sur mes épaules, elle imprime la cadence de notre chevauchée, alternant va et vient rapides et mouvement plus lents. Sa bouche se pose sur la mienne et le baiser que nous échangeons et nettement plus passionné que celui de tout à l'heure. Mes doigts caressent son dos, ses fesses, s'insinuent entre elles pour agacer son petit trou. La transpiration, ajoutée à l'excitation, facilite mes desseins et mon majeur va et vient bientôt dans le cul de ma partenaire qui semble, à l'entendre geindre, apprécier comme il se doit d'être ainsi possédée par les deux orifices. À nos côtés, Pierrick me paraît au bord de l'explosion ; ses gémissements se font plus sonores , ses "han" plus rapides et je l'entends rapidement crier d'une voix rauque qu'il jouit. Je tourne la tête et vois ses jets s'écraser sur le ventre et la poitrine de ma chérie qui, tout à fait naturellement recueille quelques gouttes du précieux nectar et le déguste, une moue des plus coquines illuminant son visage. Elle se penche ensuite sur le sexe de son amant et entreprend un nettoyage des plus gourmands. Guéna semble aussi attirée que moi par le spectacle offert par nos chéris et reste quelques instants immobile, mon sexe fiché au plus profond d'elle, les yeux rivés sur le couple. Enfin, elle se tourne vers moi, m'embrasse puis me dit :


- Mets-moi un autre doigt !


Elle reprend alors ses va et vient tandis que, ne voulant surtout pas lui être désagréable, je m'empresse de lui enfoncer un second doigt dans les fesses, ce qui la fait gémir un peu plus encore.


Après quelques minutes, un homme nous rejoint. Il s'installe sur le banc qui nous fait face et bientôt une érection soulève la serviette qu'il n'a pas ôtée. Guéna me fait allonger sur la banquette, tourne la tête vers le nouveau venu et se couchant sur moi, lui fait comprendre qu'elle désire qu'il nous rejoigne. L'inconnu ne sa fait pas prier ! Il se lève, se met nu, dévoilant un sexe d'un longueur conséquente et, sans hésiter, se positionne derrière ma ma partenaire. Je sens rapidement son sexe pénétrer le cul de Guéna. Nous trouvons vite le bon rythme et la belle se fait ainsi baiser par les deux trous, pour son plus grand plaisir ; plaisir qu'elle exprime bruyamment ! Quelques minutes suffisant pour lui faire atteindre le nirvana et, dans un long cri rauque, elle jouit, la bouche grande ouverte, les yeux révulsés. Son plaisir déclenche le mien et je n'ai que le temps de sortir de sa chatte avant que mes jets fusent, arrosant copieusement son bas ventre. Notre complice, pour sa part, poursuit encore quelques instants ses va et vient et, à son tour, succombe à l'orgasme et arrose longuement le dos de Guéna.

Quelques minutes sont nécessaires pour que nous reprenions nos esprits. L'homme qui nous avait rejoint est sorti immédiatement après avoir pris son pied et nous sommes de nouveau tous les quatre.


- Alors ? Quelles sont vos impressions ? Demande Pierrick

- Pour ma part, excellentes ! Répond Catherine, souriante

- Pour la mienne aussi !

- On poursuit la visite ?

- Avec plaisir !


Nous quittons le sauna et reprenons le couloir. Ici et là, des pièces, certaines fermées, d'autres sans porte, abritent les ébats de visiteurs. Le peu de lumière et les gémissements donnent une atmosphère quelque peu surréaliste, mais particulièrement érotique. Nous parvenons à une pièce au milieu de laquelle trône une espèce de balançoire, quelque peu transformée.


- Voici un des endroits que j'apprécie le plus ! Déclare Guéna.


Pourquoi Guéna apprécie t-elle tant cette salle ? Vous le découvrirez bientôt !

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Mercredi 16 mai 3 16 /05 /Mai 08:42
Tout arrive !! la preuve...

Intrigué, Jacques ne répond pas, se demandant ce qu'a bien pu manigancer son ami. Ce n'est qu'en voyant entrer Véro dans la chambre, à la suite de Anne, qu'il comprend.



- Je vois que la vie est belle ici... ça va ? Vous ne vous ennuyez pas trop ?

- Véronique... je vais... ne te fâche pas... je vais t'expliquer...

- À mon avis, c'est pas gagné...

- C'est un malentendu...

- Voyez-vous cela ! Un malentendu... rien que ça... je ne savais que tu avais autant d'humour...



Anne est complètement déboussolée, d'autant plus que ni Bernard ni Jacques ne font quoique ce soit pour lui venir en aide.



- Avec tes airs de Sainte Nitouche... tu caches bien ton jeu... un vraie salope, en fait !



Anne est à nouveau à la limite de la crise de larmes.



- Mon chéri, elle est bonne au moins ?

- Presque autant que toi...

- Tu me connais, je ne crois que ce que je vois... Allez ma petite Anne, montre-moi donc comment tu pompes la bitte de ton amant !

- Tu veux que...

- Exactement ! Dépêche-toi !

- Bernard... je... enfin...

- Tais-toi et suce Jacques ! Tout à l'heure, ça n'avait pas l'air de t'ennuyer tant que ça !



Résignée, Anne s'agenouille entre les cuisses de son amant et referme les lèvres sur la tige, étonnamment déjà raide. Son mari et Véro la regarde faire. Très vite la queue de Bernard retrouve toute sa raideur et, à son tour, il invite sa voisine à la déguster, ce qu'elle semblait attendre avec impatience. Sans prendre la peine de se déshabiller, elle plonge vers le sexe et l'embouche avec gourmandise. Les deux hommes, tels des pachas, se regardent en souriant et, d'un pouce levé, se montrent qu'ils trouvent la situation pour le moins excitante.

Cela ne dure guère pourtant ; Véro, peu encline à laisser qui que ce soit prendre la tête des opérations, abandonne le sexe de Bernard et s'adresse une nouvelle fois à sa souffre douleur préférée :



- Alors, elle est bonne la bitte de mon Jacques ?

-Hum... oui...

-T'as déjà goûté une chatte ?

- Euh... non...

- Viens par ici !



Anne s'approche de Véro, presque craintive. Soulevant sa jupe, Véro la faite mettre à genoux, écarte les cuisses et ordonne :



- Allez, viens lécher mon minou ! Et applique-toi sinon...



Anne pose la bouche sur le sexe, en constate l'extrême moiteur et se prend à en apprécier l'odeur intime. Timidement d'abord, elle donne quelques coups de langue puis, bien vite, elle s'enhardit et ses caresses se font plus précises, plus appuyées.



- C'est qu'elle se débrouille drôlement bien ! On dirait qu'elle a fait ça tout sa vie. Vas-y ma belle, fais-moi reluire ! Oui... comme ça... oh putain ! T'es vraiment douée !!! Jacques, viens donc baiser cette petite garce pendant qu'elle me bouffe le chaton !



Comme s'il n'attendait que cela, il s'installe derrière Anne, lui écarte les jambes et, d'un coup de rein, investit sa grotte. Leur position n'est pas des plus pratiques ; Véro s'allonge donc sur le dos, permettant ainsi à Anne de se mettre à quatre et, ainsi, à se livrer plus aisément aux coups de boutoir de son amant.



- Bernard, viens caresser mes nichons !



Il ne se fait pas prier et, s'allongeant à côté d'elle, il embrasser et lèche les deux globe de chair pour le plus grand bonheur de sa maitresse.



Véro apprécie à sa juste valeur la situation. La coups de boutoir de son mari projettent le visage de Anne contre son bas ventre et la pauvre a bien du mal à poursuivre ses caresses.



- Jacques, sois un amour ! Baise-la plus doucement qu'elle puisse continuer à me lécher... tiens, si tu l'enculais pour changer un peu... je suis sûr qu'elle aime se faire défoncer le cul... pas vrai Anne ?

- Hum... oui...



Changeant d'orifice, Jacques, pour la troisième fois, investit les reins de Anne, lui tirant un long gémissement. Il la besogne plus lentement, prenant son temps, faisant en sorte que sa partenaire puisse continuer à lécher Véro.

À nouveau pourtant, cette dernière désire changer l'arrangement du quatuor. Elle repousse son amant et se faufile sous Anne. Les deux femmes sont maintenant en 69 et Véro, à son tour, déguste le sexe ruisselant de sa voisine. Anne poursuit tant bien que mal ses caresses mais les va et vient de Jacques la perturbent de plus en plus. Véro s'en aperçoit et dit alors à Bernard, resté seul :



- Viens Bernard ! Viens me mettre ta queue dans la chatte ! J'ai envie de toi...



C'est avec un grand sourire qu'il s'installe entre les cuisses ouvertes et que, d'un coup de reins puissant, il prend possession de la chatte de sa maîtresse.

Anne regarde, excitée, le sexe de son mari pourfendre son amie, écartelant ses chairs, son bas-ventre butant contre les fesses. C'est la première fois, à part quelques gros plans de films X, qu'elle assiste d'aussi près à cet acte et elle en tire une excitation incroyable. Elle ne peut s'empêcher de donner quelques coups de langue sur la hampe de son mari lorsque celle-ci sort du con de Véro.

Derrière elle, Jacques poursuit son pilonnage, fermement agrippé à ses hanches, il ne se retient plus et lui laboure le cul à grands coups de boutoir.

Dans un long râle, Anne prend une nouvelle fois son pied, succombant à la fois aux caresses de Véro sur sa chatte et à la bitte de Jacques entre ses reins. Son amie la suit de très peu et, à son tour, dans un long "ahhh" jouit elle aussi.



Les quatre amis décident de faire une petite pause. Véro et Anne, les cheveux ébouriffés, les joues rosies et la sueur perlant au front, demandent aux hommes de préparer de quoi se rafraîchir. Restées seules, Anne demande :



- Tu savais ce qui se passait quand tu as sonné à la porte ?



Véro, incapable de mentir, s'apprête à lui révéler la vérité quand Bernard, revenant dans la chambre, leur dit qu'elles sont attendues au salon. Il retient ensuite Véro, sous un prétexte futile et lui dit :



- Surtout, ne dis rien à Anne. Je préfère le faire moi-même, le moment venu...

- D'accord. Mais ne tarde pas trop ! Je n'ai pas envie qu'elle se fâche... elle est trop bonne lécheuse, finit-elle en riant.

- Salope, rétorque son amant avant de lui rouler une pelle, la main pelotant fermement son cul.



Ils dégustent une coupe de champagne, nus tous les quatre, sans aucune gêne. Anne, installée entre Véro et Jacques, est bientôt l'objet de leurs attentions et reçoit l'hommage de quatre mains sur sa poitrine, ses cuisses et son sexe.

Bernard regarde le trio, prend quelques photos puis vient s'installer à genoux, entre les cuisses de Véro.

 

Cette fois, si je n'ai pas au moins 10 comm, j'arrête !

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