Deux couples


Samedi 10 février 6 10 /02 /Fév 19:00
Nous voici enfin arrivés à l'Extasia...

Tenant ma chérie par la main, nous nous dirigeons vers l'entrée où nous sommes accueillis par une jeune femme très sympa. Plus possible de reculer ! Nous découvrons l'endroit. Le cadre est sympa, la piste de danse est occupée par quelques couples enlacés qui évoluent sur une musique douce. Nous trouvons sans trop de difficultés une table libre et nous installons. Je laisse Anne quelques minutes et vais au bar chercher deux verres. À mon retour, elle discute avec un homme assis à côté d'elle. À peu près notre âge, brun, ma foi très bel homme. À mon arrivée, il me salue et me demande si sa présence ne nous dérange pas :

- Pas du tout.

- Vous venez souvent ici…

- C'est notre première visite.

- Nous fêtons ce soir nos vingt ans de mariage, renchérit Anne

- Joyeux anniversaire alors !

- Merci. Et vous ? Vous êtes un habitué des lieux ?

- Disons que nous venons assez régulièrement, mon épouse et moi. Au fait, je m'appelle Karl.

- Enchanté, moi Marc et mon adorable femme Anne. La vôtre ne vous accompagne pas ce soir ?

- Si, bien sûr ! Elle est en train de danser. C'est la femme rousse, là-bas. Elle s'appelle Martine.


Nous regardons, Anne et moi, dans la direction indiquée et voyons effectivement une jolie rousse qui danse lascivement dans les bras d'une jeune femme.


Arrive une série de slows. Notre voisin me demande la permission d'inviter Anne. Je lui donne mon accord et, se levant, il tend la main à ma chérie. Celle-ci me jette un coup d'œil et, devant mon sourire, accepte l'invitation.

Ils dansent, enlacés, les mains de l'homme dans le bas du dos d'Anne qui, elle, a les bras passés autour du cou de son cavalier. Je le vois dire quelques mots à son épouse en indiquant ma direction puis à nouveau parler à ma chérie.

C'est sans surprise que je vois leurs bouches se joindre, en même temps que l'homme lui caresse plus franchement les fesses.

Après quelques danses, ils me rejoignent, bientôt suivis par Martine. De près, elle est encore plus jolie, son chemisier est tendu par une poitrine avantageuse et sa jupe, ultra courte, dévoile de longues cuisses fuselées. Nous faisons connaissance puis ils nous demandent si nous sommes d'accord pour gagner un endroit plus intime.

Nous les suivons donc et arrivons dans un petit salon rond, une banquette en meuble le tour et une table basse permet de poser nos verres. Les femmes sont assises entre nous, Martine à côté de moi et Anne de Karl. Très vite, ce dernier enlace ma femme et lui roule une nouvelle pelle. Je me tourne vers ma voisine, pose une main sur son épaule et, tout naturellement, nos bouches se joignent. Elle déboutonne ma chemisette, ses doigts jouent avec mes poils puis titillent agréablement mes tétons. À mon tour, j'ôte son chemisier et libère sa poitrine. Je la pelote doucement, pinçant légèrement les tétons qui réagissent immédiatement. Nos bouches se séparent. Elle s'agenouille devant moi, ouvre ma braguette et caresse mon sexe par dessus mon caleçon. Elle le baisse ensuite, ses doigts se referment sur ma hampe et elle me masturbe lentement, me décalottant au maximum.

Je tourne la tête : Anne est torse nu, Karl embrasse ses seins, aspirant ses tétons. Nous échangeons, ma chérie et moi, un sourire et elle passe la langue sur ses lèvres avec une moue des plus coquines.

Martine embrasse mon sexe, lui donne des coups de langue comme elle le ferait à une glace puis, enfin, le fait coulisser entre ses lèvres. Que sa bouche est chaude et humide ! Ses mains se promènent sur mon ventre, sur mes couilles, les griffant légèrement. Je soulève les fesses et me débarrasse de mes pantalon et caleçon. De même j'ôte ma chemisette. Je me penche un peu et mets Martine elle aussi torse nu.

À côté, Karl a franchi une nouvelle étape et s'emploie maintenant à lécher la chatte de ma chérie, la faisant longuement gémir.

Je fais relever Martine et me retrouve le visage à hauteur de son bas ventre. M'emparant du bas de sa jupe, je la fais lentement remonter et ai rapidement sous les yeux sa fente, épilée elle aussi, que ne parvient pas à cacher un string en dentelle. Mes mains passent sur ses fesses qu'elles caressent puis je baisse le sous-vêtement et embrasse son Mont de Vénus. La jupe rejoint très vite le string aux pieds de ma partenaire qui écarte les jambes, m'invitant à poursuivre mes caresses. Ma langue explore son abricot lisse, s'insinue entre les lèvres et je déguste sa mouille abondante.

Je me lève ensuite, l'enlace et nous échangeons un nouveau baiser.


- "J'ai envie de regarder Karl et ta femme. Ça ne te dérange pas ?

- Pas du tout ! J'adore jouer au voyeur."


Nous nous rasseyons et admirons ma chérie et son amant. Eux aussi totalement nus, Anne suce le membre de Karl avec gourmandise. Les bruits de succion témoignent de son ardeur. Sans les quitter des yeux, Martine a repris mon sexe et me caresse doucement, comme pour entretenir mon excitation, qui n'a d'ailleurs pas besoin de cela pour rester à son paroxysme !


Karl demande à Anne de s'allonger, les fesses au bord de la banquette. Il lui prend les jambes, les relève et caresse sa chatte du bout de son gland pendant quelques secondes. Puis il pousse et s'enfonce en elle dans un grognement. Ses va et vient, d'abord lents, s'accélèrent et il la lime vigoureusement, leurs deux corps claquant l'un contre l'autre. Les doigts de Martine serrent un peu plus mon membre, comme si elle subissait elle aussi les coups de boutoir de son mari.

Je lui caresse le ventre, descends parfois jusqu'à sa fente en prenant bien garde d'éviter les zones trop sensibles.


Les deux amants ne sont plus très loin de l'orgasme. Les cris de ma chérie résonnent dans la pièce avec, en écho, les "han" de son partenaire. Je la vois soudain ouvrir grand la bouche sans qu'aucun son n'en sorte. Son corps se tend et je devine qu'elle jouit. Son orgasme déclenche celui de Karl qui sort de son vagin et lui arrose le ventre. Martine se précipite sur ma femme et lèche le sperme de son mari, effaçant à grands coups de langue les traces de son éjaculation.

Je regarde ma femme qui, les yeux fermés, savoure sa jouissance. Son amant se penche sur elle et dépose un léger baiser sur ses lèvres entrouvertes. Martine, qui a terminé son nettoyage, revient alors vers moi, me fait asseoir et, sans autre forme de procès, s'empale sur mon sexe dressé, me tournant le dos. En appui sur mes cuisses, elle monte et descend à un rythme effréné. Je m'empare de ses seins qui ballottent et les caresse. Son mari s'approche et lui titille le bouton, la faisant gémir plus fortement. J'ai le plus grand mal à me retenir mais, heureusement, elle parvient très rapidement au nirvana. Je sens sa cyprine couler sur mon membre, ses muscles intimes masser ma verge et je n'ai que le temps de quitter le doux refuge avant de lui maculer le bas-ventre de mon jus.


Nous reprenons tous les quatre nos esprits puis retournons dans la salle principale. J'invite à mon tour Anne à danser et, amoureusement enlacés, nous nous laissons bercer par la musique.


- C'était bon ?

- Hum… oui… et toi ?

- Super ! Tu n'es pas jaloux ?

- Absolument pas mon amour. J'ai adoré te regarder avec Karl.

- On peut recommencer alors ?

- Coquine ! Bien sûr !


Karl et Martine nous rejoignent sur la piste et nous changeons de partenaire.


- Anne a déjà fait l'amour à une femme ?

- Oui. Une fois, il y a longtemps…

- J'ai très envie d'elle. tu crois qu'elle voudra…

- À mon avis, ça ne posera aucune problème.


À suivre ?

Sans plus de commentaires, il se pourrait que cette histoire s'arrête là. Nous trouveriez ça dommage ? Vous savez donc comment faire pour qu'elle se poursuive...
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Samedi 3 février 6 03 /02 /Fév 16:44
Fin de cette soirée...


- Si ça ne te plaît pas, j'arrête immédiatement et on n'en parle plus, d'accord ?
- Pourquoi pas !


Comme sa femme, il s'agenouille face à moi, la tête entre mes cuisses et je sens son souffle sur mon sexe. Tournant les yeux, je remarque Catherine, qui semble avoir entendu notre dialogue, nous regarde et, au moment où Stéphane m'avale, qui me lance un nouveau clin d'œil.

Je baisse les yeux et regarde mon membre aller et venir, pour la première fois dans la bouche d'un homme. Je dois reconnaître que Stéphane est très doué et que sa pipe est magistrale. Sa langue virevolte autour de ma hampe et ses mains, loin de rester inactives, me flattent les bourses, s'aventurant même parfois plus bas, me procurant des sensations aussi agréables qu'inédites. Mes yeux vont de lui à nos épouses et je remarque que Catherine flatte maintenant la poitrine de Muriel, pinçant légèrement les tétons et les étirant, encouragée par les gémissements de notre voisine.

Qui aurait cru, à peine une heure plus tôt, que nous serions, Catherine et moi, en train de se faire sucer par nos voisins, qui plus est par la personne du même sexe ? La vie est décidément pleine de surprises et celle-ci n'est pas la plus désagréable !

Je me surprends à caresser les cheveux de Stéphane, le faisant relever la tête :

- Tu aimes ?
- Hum… tu suces divinement bien…
- Allonge-toi par terre !



Je me retrouve sur le dos et il me reprend vite en bouche. Notre nouvelle position, tête bêche, lui à côté de moi, me fait comprendre ce qu'il attend de moi. J'hésite un peu, n'ayant, à part le mien, jamais caresser un sexe masculin puis, timidement, j'avance la main et mes doigts caressent le long bâton de chair, le faisant tressauter. Je m'enhardis et referme la main avant d'entamer de lents va et vient qui, à en juger par les gémissements étouffés par mon propre sexe, sont appréciés. Je le masturbe longuement et, peu à peu, son corps se rapproche du mien et donc, son sexe de mes lèvres.


À nos côtés, Catherine est en train de jouir sous les coups de langue de Muriel. Celle-ci s'exclame :


- C'est dingue ! Jamais je n'ai vu quelqu'un mouiller autant… on dirait qu'elle éjacule ! Et quel goût délicieux !


Moi aussi, je suis proche de l'orgasme. Stéphane, aux soubresauts de ma verge, doit s'en rendre compte car ses mouvements de succion s'accélèrent. Très vite, je le préviens que je vais venir. Il sort mon sexe, le masturbe et, en trois aller et retour, me fait jouir. Mes jets s'écrasent sur sa poitrine, la zébrant de traînées blanchâtres. Les yeux fermés, je reste quelques instants, le souffle court, reprenant mes esprits. Puis, tournant la tête, je me retrouve la bouche à quelques millimètres de sa queue raide. Sans plus réfléchir, mes lèvres s'ouvrent et j'avale lentement son gland, goûtant pour la première fois une queue. Un long "hum" accueille mon initiative et m'encourage. Je le fais aller et venir en moi comme j'aime que Catherine me le fasse, sans oublier de flatter les bourses qu'aucun poil ne recouvre. Concentré sur ma fellation, j'entends comme dans un brouillard la voix de Catherine :


- Vas-y mon chéri ! Pompe-le bien…


Je n'en reviens pas ! Ma propre femme m'encourage à sucer la bitte d'un autre homme ! Cette soirée semble avoir un effet des plus inattendu chez elle ! Toujours est-il que je m'applique à sucer du mieux que je peux cette verge au goût il est vrai très agréable.
Je sens bientôt que Stéphane parvient au nirvana. Gentiment, il me prévient et, comme lui tout à l'heure, je sors son sexe de ma bouche et le caresse. Rapidement, il jouit et son sperme épais arrose ma poitrine. Je ne cesse mes caresses que lorsque sa queue est molle et il me félicite alors :


- Pour quelqu'un dont c'est la première fois… tu es réellement doué…
- Merci… je dois avouer que j'y ai pris un certain plaisir.


Muriel, la seule à ne pas avoir encore pris son pied, s'approche de moi et s'exclame :


- Ça vous dérange si je m'occupe un peu de moi ?"

Sans autre forme de procès, elle me prend entre ses lèvres et me suce avec appétit. Il ne me faut guère de temps pour afficher à nouveau une érection digne de ce nom. Elle lâche mon sexe maintenant tendu et le maintenant à la verticale, le présente à l'entrée de sa grotte. Elle descend lentement, mon sexe étant plus épais que celui de son mari. Avec quelques minutes, nos deux ventres se touchent enfin. Elle commence alors à monter et descendre sur moi, s'empalant chaque fois jusqu'à la garde en poussant de légers gémissements. Je tourne la tête et vois Catherine qui nous regarde, souriante, la main négligemment posée sur sa fente. Stéphane la regarde également à ce moment et, voyant qu'elle semble bien esseulée, s'approche d'elle. Presque naturellement, Catherine pose la main sur la verge encore au repos et la caresse lentement, la faisant petit à petit se redresser. Je n'aurais jamais imaginé que voir ma femme caresser un autre homme puisse autant m'exciter ! J'entends Stéphane lui dire :


- Mets-toi à quatre pattes !


Je tourne à nouveau la tête et le regarde s'enfoncer dans la chatte de ma chérie, qui l'accueille d'un long soupir.


Muriel continue ses va et vient sur moi, ses gémissements s'amplifiant au fil des minutes. Soudain, elle s'affale contre mon torse, s'empare de ma bouche et, m'embrassant voracement, jouis. Je sens ses muscles se contracter sur ma verge et sa liqueur couler le long de ma hampe. Assez vite, elle se relève, me laissant quelque peu frustré et, s'allongeant face à Catherine, tend sa chatte vers son visage. Après quelques secondes, la bouche de ma femme se pose, d'abord timidement, sur la fente offerte puis les coups de langue se font plus francs et elle suce le sexe de Muriel avec application, la faisant gémir.

Je regarde le trio ainsi formé, le sexe toujours tendu. M'approchant, j'admire la verge de Stéphane qui va et vient profondément dans le vagin de ma femme. Ses mains, fermement agrippées aux hanches, écartent les fesses, dévoilant son petit œillet sombre. Je ne résiste pas au plaisir de le caresser, parvenant même à y enfoncer une phalange que je fais aller et venir, d'abord lentement puis de plus en plus rapidement. Contre toute attente, Catherine, non seulement gémit, par m'incite à poursuivre la caresse :


- Hum… mon chéri… c'est bon ton doigt dans mon cul…"


Je lui masturbe le cul quelques minutes puis Stéphane demande :


- Catherine, tu ne préférerais pas quelque chose de plus consistant ?
- Si tu veux… mais doucement, je n'ai pas l'habitude…
- Sois sans crainte !

Je retire mon doigt et empoigne moi-même la verge de notre voisin. Je présente le gland contre la rondelle et il pousse doucement. Je regarde le gland écarteler le muscle pour s'enfoncer dans l'étroit écrin. Il faut quelques minutes pour qu'enfin ses bourses butent contre Catherine qui, en nage, semble supporter cette délicate pénétration. Je me penche vers elle et, lui caressant les seins, lui demande si elle ne souffre pas trop :

- Non… c'est moins pire que je ne le craignais… ça me donne de drôles de sensations… assez agréables… tu ne m'en veux pas ?
- Tu es folle ! Depuis le temps que je rêvais de te regarder te faire prendre par un autre homme… je suis ravi !"


Elle me tend ses lèvres et m'offre un baiser.


Stéphane commence à aller et venir en elle plus franchement, s'enfonçant à fond entre ses fesses et, après quelques temps, lui arrachant des soupirs d'aise.
À côté de moi, Muriel regarde elle aussi son mari sodomiser, maintenant vigoureusement, ma femme et me propose de lui offrir le même traitement. Comment lui refuser cela ?
Elle s'installe face à ma femme, le visage à quelques centimètres du sien et, se cambrant, me lance :


    - Vas-y ! Prends-moi le cul ! Et n'aie pas peur, Stéphane m'encule souvent."

Effectivement, mon sexe la pénètre sans aucun problème et je la pilonne avec ardeur, sous les yeux de son mari qui, très volubile, ne peut s'empêcher de dire :


    - Elles sont bonnes du cul nos deux chéries, pas vrai ?
    - Oh que oui…
    - Catherine est toute serrée et j'adore cela… et moi ma chérie, tu aimes la bitte de Didier dans tes fesses ?
    - Oh oui… il est un peu plus gros que toi et me remplis bien…


Notre séance dure de longues minutes puis Stéphane, le premier, parvient à l'orgasme. Dans un râle, il se fiche au fond de Catherine et se déverse en elle, le corps tendu. Son éjaculation provoque le plaisir de ma femme qui crie à son tour et jouit bruyamment avant de s'affaler, presque inerte, sur le ventre, faisant sortir le sexe de son amant de son derrière.


Muriel, elle aussi, sent monter une vague de plaisir :

- Vas-y Didier ! Bourre-moi bien à fond ! Je vais venir ! Oh oui !!! Ça y est… je jouis !!


Sous l'effet le l'orgasme, son cul serre ma verge et déclenche mon éjaculation. Je me vide à longs jets en elle, lui provoquant, c'est la première fois que je vis cela, un second orgasme. Je fais encore quelques va et vient puis sors, admirant son anus d'où coulent des filets de sperme.


Une pause est la bienvenue et Stéphane file chez eux, revenant bien vite avec une bouteille.


- Je crois que cette soirée mérite d'être arrosée !!


En effet, en l'espace de deux heures, nous avons, ma femme et moi découvert bien des choses ! Nul doute que nous n'en resterons pas là ! Je suis certain qu'on va se plaire dans notre nouvelle maison...

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