Deux couples


Vendredi 2 février 5 02 /02 /Fév 16:09
Suite de cette soirée...

Quelques secondes plus tard, elle pousse un long feulement, jouissant à son tour sous les coups de boutoir de son mari.

Ainsi donc, comme je le pensais, ils n'ignoraient rien de notre présence. Quelles autres surprises nous réserve cette soirée ?


Nos voisins se désunissent et approchent de la haie. Ils semblent connaître la position de l'espace permettant la vue entre les deux jardins car ils s'y dirigent sans hésiter. Nous pouvons alors découvrir l'intimité totalement glabre de notre voisine.


- Bonsoir, Stéphane et Muriel.

- Enchantés ! Didier et Catherine.


Un court instant, un silence presque gêné s'installe, personne se semblant comment poursuivre la conversation.


            - Vous êtes… ravissants, ajoute Stéphane.

    - Merci. Vous êtes mignons tous les deux également, répond Catherine.

    - Il nous reste un peu de champagne, cela vous tente ?

    - Avec joie ! Nous vous rejoignons."

Je n'en reviens pas ! C'est Catherine qui, faisant le premier pas, propose à nos voisins de se joindre à nous. Nous n'avons que très rarement évoqué nos fantasmes et jamais elle ne m'a parlé de l'amour en groupe. Elle me regarde alors, une lueur d'inquiétude dans les yeux et demande :


- Euh… j'aurais du te demander si tu étais d'accord…

- Ne t'inquiète pas. Ce que tu veux, je le veux. Et, je ne te l'ai jamais dit, mais te voir avec un autre homme ne serait pas pour me déplaire.

- Et avec une femme ?

- … Tu es sérieuse ?

- Pourquoi pas ? Alors ?

- À ton avis ?


Nos voisins arrivent. Tout en parlant, nous avons totalement oublié de nous rhabiller et c'est nus que nous les accueillons. Ils sourient et, rapidement, se débarrassent à leur tour de leurs vêtements.

Nous dégustons ensemble notre verre en faisant connaissance. Stéphane s'est assis à côté de Catherine et, très vite, sa main se pose sur la cuisse de ma femme sans qu'elle ne fasse un geste pour l'ôter. Je regarde les doigts courir sur sa peau, remontant lentement vers la fourche.


- Ta peau est très douce…écarte un peu les jambes !


Ma chérie obéit et ouvre le compas de ses cuisses, autorisant ainsi l'accès à sa fente. C'est maintenant son Mont de Vénus qu'il caresse, le massant lentement, tirant de légers soupirs à Catherine. Muriel, comme moi regarde le couple en souriant, se main posée sur son propre sexe. Elle se lève alors et s'agenouille face à Catherine, le visage à quelques centimètres de sa fente.


- Je meurs d'envie de te goûter… tu es d'accord ?

- Si tu veux…"

Doucement, Muriel approche la bouche et sa langue dardée se pose sur le sexe de ma chérie, lui tirant un gémissement. Catherine tourne la tête vers moi, un sourire éclairant son visage, et me lance un clin d'œil coquin. Je lui réponds avec un sourire et regarde Muriel qui s'applique à explorer son intimité dans les moindres recoins, allant même jusqu'à déposer de légers bisous sur son œillet. Stéphane, comme moi, regarde les deux femmes puis demande :


- C'est la première fois que tu la vois avec une autre femme ?
- Oui. C'est même la première que je la vois nue devant d'autre gens.
- Pas trop jaloux ?
- Pas du tout ! Plutôt excité…
- Ça, pas besoin de le dire, répond-il en baissant les yeux vers mon sexe en érection. - Et toi ?
- Quoi moi ?
- Tu t'es déjà fait sucé par un homme ?
- Non, jamais !
- Ça te tenterait d'essayer ?


@ suivre


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Jeudi 1 février 4 01 /02 /Fév 13:33
Notre dernier déménagement m'avait inspiré cette histoire :

Cela fait trois jours que nous avons emménagé dans ce lotissement. Emménagement sous la chaleur étouffante de ce début août qui a accompagné nos premiers jours ici. Ce soir, après une nouvelle journée de rangement, nous profitons de la relative tiédeur de la nuit tombante en dégustant une coupe de champagne sur la terrasse. Je suis en slip et, surprenant, Catherine a elle aussi laissé tomber tee-shirt et soutien-gorge et, comme moi, seul un léger slip la vêt. Tout est calme, Catherine me dit son bonheur d'avoir retrouvé ce département qu'elle aime tant après deux années, longues, insiste t-elle, au beau milieu des champs. Soudain, la lumière de la terrasse de nos voisins s'allume.

- Ils ont envie de prendre un peu l'air, eux aussi…

- Oui, on dirait. Tu les as vu ?

- Aperçus seulement. Ils ont à peu près notre âge.

Catherine allume deux cigarettes et m'en tend une. Assis côte à côte, ma main se promène sur sa cuisse. De chez nos voisins parvient une conversation étouffée puis, après quelques minutes de silence, de légers gémissements se font entendre. Catherine se tourne vers moi :

- Tu entends ?

- Euh, oui… tu penses à la même chose que moi ?

- On dirait bien, non ?

- Chut !

Plus de doute sur la nature des bruits que nous entendons ! Un moment même, la voix de la voisine est un peu plus forte et nous comprenons très distinctement :

- Pince-les un peu plus fort !

Paroles suivies d'un soupir qui ne laisse plus aucun doute sur les activités de protagonistes.

- Tu crois qu'ils se croient seuls ?

- Je ne sais pas. Notre terrasse est pourtant éclairée.

- En tout cas, notre présence ne semble pas les gêner…

- Choquée ?

- Ce n'est pas le mot que je choisirais, répond-elle avec un large sourire."

Ma main remonte vers son unique vêtement que je découvre quelque peu humide.

- Tu as raison, ce n'est pas le mot correct…

- On peut voir chez eux, tu crois ?

- Je ne sais pas. Attends, je vais voir…

En silence, je me lève et m'approche de la haie. Un espace providentiel m'offre une vue chez eux et je les découvre, elle allongée sur le dos sur une serviette, lui, de côté, les mains lui caressant la poitrine. Je me retourne et fait signe à Catherine de me rejoindre. Comme moi, elle observe la scène avec attention. J'en profite et baisse doucement son slip sans qu'elle ne s'y oppose. Il atterrit sur ses chevilles et, sans quitter des yeux nos voisins, elle l'enjambe, s'en débarrassant complètement. Je recule un peu et profite du spectacle de ses fesses, rondes et fermes dont, depuis la vingtaine d'années que nous sommes ensemble, je ne me suis jamais lassé et que je caresse furtivement, lui donnant la chair de poule. Ma main descend et je trouve sa fente déjà trempée. Elle écarte les jambes, m'offrant son intimité puis, d'un signe, m'indique de regarder à côté. Notre voisine est maintenant à genoux, le membre de son mari allant et venant dans sa bouche. Leur position, de profil par rapport à nous, nous permet de ne rien perdre de leurs ébats. Le font-ils exprès ? Ce qui est sûr, c'est qu'ils ne font rien pour passer inaperçus. L'homme commente même la fellation de sa femme sans prendre soin de parler bas :

- Oui… comme ça… avale-la toute… hum… c'est bon…

Catherine tourne le visage vers moi et, tout naturellement, nos lèvres se soudent pour un profond baiser. Nous dévisageons ensuite plus attentivement le couple. Lui, mince sans être maigre, la poitrine couverte par d'épais poils noirs, le ventre plat, un membre plus fin que le mien mais plus long, les cuisses musclées. Elle, la poitrine assez imposante mais ferme, le ventre plat également, des cuisses rondes mais musclées. Nous n'avons pas encore eu la chance de découvrir ni son sexe, ni ses fesses.

Je caresse toujours les fesses de ma femme et appuie un doigt sur sa rondelle dont l'accès ne m'est que très, trop à mon goût, rarement autorisé. Catherine n'est pas une fervente de la sodomie et je n'ai pu qu'en de rares occasions, découvrir la douceur et l'étroitesse de son cul. Néanmoins, elle n'est pas contre une feuille de rose ni l'exploration par un doigt curieux, à condition de l'introduire en douceur. Ce soir, elle se cambre, m'invitant à lui caresser l'œillet, ce dont je ne me prive pas.

Nos voisins ont une nouvelle fois changer de position. Allongé sur le dos, il lèche la fente de sa femme qui, sur lui en 69, a repris ses caresses buccales sur son membre. Les bruits de succion nous parviennent distinctement et, il faut bien l'avouer, entretiennent notre excitation.

La main de Catherine me masse le sexe à travers le slip puis descend celui-ci.
Nous sommes nus tous les deux, nous caressant mutuellement en contemplant nos voisins faire l'amour.

À côté, notre voisine est maintenant à quatre pattes et son mari présente son sexe à l'entrée de sa grotte.

- Vas-y ! Bien à fond !

Sans hésiter, il la pénètre d'une poussée énergique et elle ne peut contenir un petit cri. Un instant, il me semble qu'ils regardent dans notre direction.
Catherine s'agenouille alors et je sens son souffle sur ma verge tendue puis ses lèvres se referment sur moi et elle me fait aller et venir dans sa bouche. Je remarque qu'elle ne fait rien non plus pour étouffer les bruits de succion et même qu'elle en rajoute. Tournant la tête, je vois alors que les voisins regardent cette fois franchement dans notre direction. C'est l'heure de vérité : ou ils se croyaient seuls et vont rentrer poursuivre leur séance à l'intérieur, ou ils connaissaient notre présence et…


Pour l'instant, ils gardent la même position et l'homme poursuit ses va et vient comme si de rien n'était.

Je suis de plus en plus excité, à la fois par la situation et la fellation de ma chérie. Ne désirant pas jouir trop rapidement, je la fais se relever et, m'agenouillant à son tour, me régale de sa fente pratiquement inondée, cette soirée semble l'exciter autant que moi. Ses mains sur ma tête me plaquent contre elle et ma langue explore son intimité, du bouton saillant à l'anus. Sa position, face à la haie, lui permet de contempler nos voisins et, rapidement, ses gémissements se joignent aux leurs.

La connaissant parfaitement, je devine le moment où elle atteint le point de non retour et accentue mes caresses. Ses mains me maintiennent fermement, je sens ses jambes trembler et soudain, un flot de mouille arrose ma bouche tandis qu'elle pousse un long feulement. Je m'abreuve avec toujours le même plaisir à sa source, dégustant le fruit de son plaisir et entends la voix de notre voisine dire :

- Hum… vous avez bien joui semble t-il ?

- Oui, répond simplement Catherine.

- À mon tour maintenant…


À suivre...

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