Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 13:26
Suite de cette histoire où Pierre découvre Alain... et des plaisirs jusqu'alors inconnus.


Je le suis et, parvenu dans la chambre, il me débarrasse de mes vêtements, déposant de légers baisers sur mon torse. Je m'allonge sur le lit et le regarde se déshabiller à son tour. Il garde son caleçon et j'ai l'impression d'être une jeune vierge que le futur amant ne veut pas choquer en dévoilant trop vite sa virilité triomphante. Sa bouche retrouve mon torse puis mon ventre avant de se poser sur mon sexe.
Nouveaux frissons quand ses lèvres effleurent ma hampe, quand sa langue lèche mon gland. Je m'abandonne complètement à ses baisers, oubliant l'incongru de la situation, ma femme qui me croit au bureau...

À mon tour, j'ai envie de le toucher, de découvrir sa bitte, la toucher, l'embrasser... je pose une main sur son caleçon dont je flatte la bosse, énorme. Stéphane écarte les jambes et, comme lui tout à l'heure, je flatte sa hampe, masse ses couilles. C'est la toute première fois que je caresse un vrai sexe d'homme, bien loin par ses dimensions de celui d'ado de mon cousin. J'en apprécie la douceur, la chaleur. J'ai maintenant envie d'y gouter et le fait comprendre à mon ami qui s'installe au-dessus de moi, en 69.
Tout en embrassant son bâton raide, je caresse ses fesses musclées, à peine couverte par un léger duvet blond. M'enhardissant, j'ouvre la bouche et fais coulisser son membre entre mes lèvres. Je fais du mieux que je peux et, aux soubresauts de sa queue contre mon palais, je suis rassuré quant à mes capacités à lui donner du plaisir.
Il me laisse le sucer ainsi un moment puis se relève et revient m'embrasser. Il me dit ensuite :

- J'ai envie de ton cul... tu veux bien ?
- Si tu veux mais tu me promets d'aller doucement.
- Oui, rassure-toi ! Je vais être très doux.

Nouveau baiser puis il me fait mettre à quatre pattes et s'agenouille derrière moi. Je sens sa bouche se poser contre mon petit trou et l'embrasser. Du bout de la langue il force l'entrée. Sensations inédites mais diaboliquement excitantes. Son doigt remplace sa langue et, comme tout à l'heure, il fouille mon cul, allant et venant lentement, me laissant m'habituer à cette présence. Un second doigt rejoint le premier puis je sens un produit froid et cette fois, ce sont trois doigts qui prennent possession de mon cul, m'écartelant sans pour autant me faire trop souffrir.

- Ça va ? Tu n'as pas trop mal ?
- Non... c'est même plutôt sympa...
- Bien.

Il ôte ses doigts et pose son gland contre mon trou. Il appuie et je sens mes chairs s'ouvrir, son membre s'enfoncer inexorablement en moi. La sensation est extrêmement étrange : mélange de douleur et de plaisir. Stéphane ne se presse pas et, de temps en temps, me branle un peu la queue, comme pour éviter que mon excitation retombe. Il remet un peu de lubrifiant tout en me demandant :

- Ça va toujours ?
- Oui. Ça fait bizarre...

Il se passe de longues minutes avant que je sente son bas-ventre contre mes fesses. Cette fois, pas de doute ! Je suis bel et bien enculé à fond ! Mon amant, et oui ! Il faut bien l'appeler ainsi, reste quelques instants immobile puis, toujours avec la même lenteur, fait le chemin inverse. Presque entièrement sorti, il pousse à nouveau, cette fois un peu plus rapidement, pour m'envahir totalement. La douleur a pratiquement disparu, cédant la place à un plaisir trouble, et je me surprends à tendre le cul vers ce sexe qui me pourfend.

- Hum, c'est bon... vas-y Stéph' ! Baise-moi ! Encule-moi bien !

Plus de doute ! Il peut se lâcher. Ses mains agrippent mes hanches et il entreprend une longue série de va et vient, faisant bientôt claquer mes fesses contre son pubis, me faisant gémir de plus en plus fort.
Jamais je n'aurais pensé ressentir un plaisir aussi intense en me faisant ainsi défoncer.
Cette chevauchée dure de longues minutes puis Stéphane redouble d'ardeur avant, d'un dernier coup de rein, de se ficher en moi de toute sa longueur et jouir longuement, se répandant en moi. Il se penche, embrasse mon dos puis sort son sexe, me laissant une impression de vide. Il s'écroule sur le dos puis, me prenant par un bras, m'attire contre lui. Nous nous embrassons et il me dit tout le bonheur qu'il a pris à me prendre ainsi.

- Moi aussi j'ai beaucoup aimé cela. Beaucoup plus que j'aurais imaginé.
- Tu veux m'enculer toi aussi ?
- Tu en as envie ?
- Oui. J'ai envie de ta queue en moi.

Il me repousse sur le dos et vient s'installer sur moi. Il s'empare de mon sexe tendu, le présente à l'entrée de son cul et, me fixant du regard, s'empale lentement. Je sens son cul s'ouvrir sous la poussée, ses chairs enserrer mon membre. Ma femme n'étant pas, loin s'en faut, une adepte de la sodomie, il y a bien longtemps que je n'ai pas eu la joie de vivre ce genre de pénétration et j'apprécie encore plus ce moment.

Après quelques minutes, je succombe à mon tour. Je préviens mon ami de mon plaisir imminent et, contre toute attente, il me fait sortir de son cul et, sans autre forme de procès, engloutit ma verge. C'en est trop ! Je me laisse aller et mes jets fusent, qu'il avale sans en perdre.
Quand il relève la tête, il me fixe, ouvre la bouche et me montre mon sperme sur sa langue puis, d'un geste des plus érotiques, il referme les lèvres et déglutit, avalant ma semence.

Nous filons prendre une douche, pendant laquelle nous avons le plus grand mal à retenir nos caresses puis, vu l'heure, je le quitte sur un dernier baiser.

Le soir, Catherine, comme souvent, se couche en tee-shirt, gardant son slip et me tournant le dos. Je ne fais aucun geste pour tenter une quelconque approche et, entendant son souffle régulier, signe de son sommeil, je m'enfonce un doigt dans le cul et me branle, jouissant rapidement en repensant à cet après-midi.
J'attends le lendemain pour lui dire que j'ai retrouvé un ami que je n'avais pas vu depuis notre adolescence. Elle m'en demande un peu plus et, comme convenu avec Stéphane, je lui dit que nos boites travaillent ensemble et que nous nous sommes retrouvés par hasard sur un chantier. Je suis un peu surpris quand, ayant appris qu'il était seul dans le coin, elle me propose de l'inviter à dîner le week-end prochain ; ce que je n'osais espérer !

Quand je fais part de cette invitation à Stéphane, il me regarde en souriant et dit :

- Et tu es toujours d'accord pour une partie à trois ?
- Oui, j'aimerais beaucoup mais, comme tu le sais, Catherine n'est pas très branchée cul et...
- Laisse-moi faire, m'interrompt-il ! Et de toute façon, si ça ne marche pas, on se vengera tout les deux !
- Je te fais confiance.

@ suivre...
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