Deux couples


Lundi 17 décembre 1 17 /12 /Déc 14:53
Voici la fin de cette mémorable soirée... et donc aussi celle de cette histoire.

Nous les retrouvons, sagement installés dans le canapé, dégustant un grand verre de jus de fruit. Ne serait-ce leur tenue, ou plus exactement l'absence de tout vêtement, rien n’indique ce que nous venons de vivre. Sylvie s’assied à côté de ma chérie et, sans lui laisser le temps de réagir, pose ses lèvres sur les siennes. Les deux femmes s’embrassent tendrement puis elle demande à Brigitte :


- Tu as déjà léché un sexe de femme ?

- Non, jamais.

- Tu aimerais essayer ? Je meurs d’envie de sentir ta bouche sur ma fente !


Sans mot dire, ma femme s’installe entre les cuisses de notre amie, se penche sur sa fourche et embrasse doucement le Mont de Vénus. Tous les regards sont fixés sur Brigitte dont la langue explore maintenant la fente humide encouragée par Sylvie :


- Oh oui ! C’est bon... tu suces comme une vraie petite gouine... vas-y ! Comme ça ! Enfonce ta langue dans ma chatte !


Elle écarte ses jambes le plus largement possible, offrant son intimité à sa maîtresse dans son intégralité, de son sexe à sa raie qu’elle invite d’ailleurs Brigitte à s’occuper aussi :


- Lèche ma pastille ! Ah oui ! Petite cochonne... c’est bon ta langue sur mon trou... hum...


Mon sexe est à nouveau au garde à vous, tout comme celui de notre ami dont je ne manque pas de remarquer les coups d’oeil de plus en plus fréquents vers mon bas ventre.

Sylvie interrompt le fil de mes pensées en vous faisant savoir bruyamment qu’elle ne vas pas tarder à atteindre l’orgasme.


- Je vais jouir ! Continue ma petite chérie ! Ah... Ouiiii... C’est bon... je vais... oui... je jouis !!


Dans un long râle, elle succombe, les mains maintenant le visage de Brigitte plaquée contre sa fente. Après quelques secondes, elle la repousse, les nerfs visiblement à fleur de peau. Ma femme se relève, les joues cramoisies, le menton luisant du plaisir de notre amie. Elle se penche sur elle et l’embrasse doucement, juste sur le bout de lèvres.


- Ma petite coquine, tu m’as fais reluire comme une une vraie reine ! J’ai du mal à croire que c’était ta première fois...

- Et pourtant, je t’assure que c’est vrai ! Sache que moi aussi je me suis régalée... et on dirait que nos hommes se sont pas restés insensibles à notre spectacle...

- Hum... tu as raison... on devrait en profiter, tu ne penses pas ?

- Je ne pense qu’à ça, oui !


Ma chérie s’approche de moi, me fait m’allonger et, sans attendre, s’empale sur mon sexe dressé. Les mains en appui sur mes cuisses, elle monte et descend le long de ma colonne, parfois rapidement, parfois lentement, mais toujours jusqu’à la garde. Elle se penche vers moi, me donne ses seins à lécher, ce dont je ne me prive bien sûr pas, avant de me rouler une pelle vorace. Ses gémissements vont crescendo et rapidement, elle succombe à un nouvel orgasme. Jamais elle n'a joui deux fois de façon si rapide. Mes mains pelotent ses fesses, les malaxent sans douceur, les écartent pour titiller son petit œillet dans lequel mon index s'enfonce sans rencontrer de résistance.

Nos amis nous regardent quelques minutes puis, désireux de participer eux aussi à la fête, s'approchent de nous. Sylvie empaume les seins aux bouts turgescents qu'elle fait rouler entre ses doigts. Quant à André, debout contre ma chérie, son sexe à nouveau tendu effleure son visage. Brigitte n'hésite pas un instant et ouvre la bouche, accueillant avec joie la tige de chair qu'elle fait goulûment aller et venir entre ses lèvres avec un bruit de succion des plus sensuels.

Notre quatuor s'en donne à cœur joie, cris et gémissements emplissent la salle. Sylvie délaisse un instant les seins de ma chérie pour se pencher sur moi et m'offrir un baiser vorace, faisant s'entrechoquer nos dents, danser nos langues. Ensuite elle s'accroupit au dessus de mon visage et me donne son sexe à déguster, ce que je fais sans attendre, retrouvant avec plaisir sa saveur et son odeur si agréables. Je devine plus que vois les deux bouches féminines s'activant sur le sexe d'André qui semble apprécier comme il se doit cette double fellation.


Après quelques minutes, notre ami change de position. Ses jambes effleurent les miennes et je vois immédiatement où il veut en venir, Brigitte, quelque peu apeurée devant la double pénétration qu'elle sent venir, lui dit :


- Vas-y doucement hein ?

- Ne t'inquiètes pas ! Je vais être très doux... je suis sûr que tu vas adorer.


Je le sens pousser contre le petit trou de ma chérie et, lentement, s'enfoncer. Afin de lui faciliter la tâche j'ai cesser tout mouvement et seul mon gland est encore dans la grotte. Peu à peu, le sexe d'André progresse et après quelques minutes, il dit à Brigitte :


- Ça y est ! Je suis tout en toi ! Allez mon ami ! Reviens vite en elle !


Je ne me fais pas prier et réinvestit la chatte que je découvre plus serrée, me comprimant la verge encore plus.

Nous trouvons rapidement le bon rythme et les cris de plaisir de ma tendre épouse nous indiquent que, comme André l'avait prévu, elle apprécie au plus haut point cette nouvelle expérience.

Sylvie nous regarde avec la plus grande attention, un main caressant négligemment son chaton, l'autre les cheveux et le dos de ma chérie. Je devine qu'elle aimerait être à sa place, ce qui risque fort de lui arriver dans peu de temps.


Pour l'heure, c'est Brigitte qui profite de nos deux sexes et je pressens qu'elle n'est plus très loin d'une nouvelle jouissance, mes coups de reins se font plus rapides, rapidement imités par ceux d'André, déclenchant le plaisir de ma belle :


- Je jouis ! OUIIIII ! C'est trop bon ! J'aime vos deux bittes ! Ça y est !


Et c'est presque dans un hurlement que ma chérie connait une nouvelle fois le nirvana. Cet orgasme la laisse sans force et elle s'effondre sur mon torse, le souffle court, en nage. André et moi nous regardons en souriant puis, tournant la tête, il m'indique qu'on devrait s'occuper de sa chère et tendre, avis que je partage tout à fait avec lui ! Il s'allonge à son tour et invite Sylvie à venir s'empaler sur lui, ce qu'elle s'empresse de faire. Brigitte me libère après un baiser et je m'installe à genoux derrière Sylvie. Je pointe mon gland entre ses fesses et m'apprête à la pénétrer avec toute la douceur nécessaire quand elle tourne la tête et me lance :


- Vas-y bien fort ! N'aie pas peur !


D'un puissant coup de rein, j'investis son cul sans aucune difficulté malgré la présence de son mari dans sa chatte. Sylvie m'accueille d'un long gémissement et, à son tour, profite de nos deux sexes.


- Vous êtes bons mes chéris ! Allez-y ! À mon tour de prendre mon pied ! Bourrez-moi bien !


Une nouvelle chevauchée commence, aussi intense que la précédente, presque sauvage que Sylvie ne cesse de commenter en des termes crus, rajoutant à l'excitation ambiante. Ma chérie, non loin de notre trio, nous regarde, un sourire aux lèvres, les yeux rêveurs, comme si elle se demandait si ce que nous vivons ce soir est bien réel.

Sous moi, je sens que mon partenaire et ami ne va plus tarder à craquer. Ses coups de boutoirs se font plus rapides et, comme je m'y attendais, il se fiche une dernière fois dans la chatte de sa femme et, dans un long râle, se déverse en elle, la faisant jouir à son tour. Elle ne cesse pas pour autant ses va et vient sur mon sexe et semble même en redemander :

- Vas-y ! Encule-moi bien profond ! J'aime ta bitte dans mes fesses ! Oui... je jouis encore... oh que c'est bon !


On a l'impression qu'elle ne redescend plus, qu'elle vit jouissance sur jouissance tant ses cris s'enchainent à ses gémissements, à ses long "ah" de plaisir. C'en est trop pour moi et, comme mes deux partenaires, je jouis, arrosant le dos de la belle de mes jets.

Notre trio se désunit enfin et chacun semble peiner à refaire surface, comme si le plaisir nous avait anéanti. André, le premier, se lève :


- Oh mes aïeux ! Jamais je n'ai pris un tel pied !

- Et moi donc, enchaine Sylvie, j'ai cru que j'allais mourir de plaisir !

- Pour ma part, c'est une sacrée découverte, renchérit Brigitte.

- Jamais je n'ai été aussi d'accord avec tout le monde ! Dis-je pour terminer.

- Je propose d'ouvrir une roteuse pour fêter cela !


Nous voici donc en train de trinquer à cette folle soirée qui j'espère, ne restera pas sans lendemain.

FIN
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Dimanche 25 novembre 7 25 /11 /Nov 19:14
Et oui ! Tout arrive ! Voici donc la suite de cette histoire qui ne sera peut-être pas la dernière... qui sait ?

Bonne lecture et, si vous aimez, soyez sympa, faites-le moi savoir !


Les mains de notre ami découvrent ses deux globes, les massent par dessus le léger sous-vêtement.


Sylvie se lève alors et se rapproche de ma chérie. Face à elle, ses mains se posent à leur tour sur le ventre de ma femme et le caresse avant de remonter vers la poitrine, soulevant dans le même mouvement le tee-shirt. Bientôt elle empaume un sein d'une main tout en dégrafant le soutien-gorge de l'autre. Son visage s'approche de celui de ma femme, ses lèvres se posent sur les siennes et les deux amies se roulent une pelle particulièrement gourmande. C'est la première fois que je vois mon épouse embrasser quelqu'un d'autre et, pour cette première, le quelqu'un est une quelqu'une !

Après ce baiser, Sylvie ôte le tee-shirt et sa bouche remplace sa main sur la poitrine. Pendant ce temps, André fait suivre au slip le même chemin que le caleçon tout à l'heure et voici Brigitte, complètement nue, livrée aux mains et bouches de nos amis.

André s'en donne à cœur joie et pelote le cul de ma chérie, en écartant parfois les deux globes pour mieux admirer la vallée qui les sépare et à qui il offre de gourmands coups de langue, s'attardant sur le petit œillet fripé.

Sylvie, elle, embrasse goulûment les seins, passant de l'un à l'autre, caressant celui qui ne reçoit pas les hommages de ses lèvres. Elle redescend ensuite sur le ventre puis, enfin, atteint le sexe qui, à son tour, est l'objet de toutes les attentions.


Je m'approche et la regarde lécher la fente que je sais trempée. La langue s'enfonce parfois entre les lèvres, comme pour s'abreuver à cette source dont je connais le goût délicieux.

Brigitte ne retient plus ses soupirs, ni même quelques petits cris de plaisir quand une caresse se fait plus précise. Je l'admire, yeux clos, savourant ces baisers, ces caresses. Ses jambes tremblotent et bientôt un long feulement sort de ses lèvres et mon amour vit son premier orgasme de la soirée. Orgasme puissant, long, qui la laisse vidée, tenant à peine sur ses jambes. Sylvie se relève alors, s'approche de moi et m'offre sa bouche pour un délicieux baiser, partageant le fruit du plaisir de Brigitte.

André, visiblement excité au plus haut point, ne laisse guère à ma femme le temps de reprendre ses esprits. Il la fait s'installer à quatre pattes et, d'un puissant coup de rein, investit sa chatte, lui tirant un puissant cri de plaisir. La tenant fermement aux hanches, il va et vient en elle, faisant claquer ses fesses contre son bas-ventre, la faisant crier sans relâche.


Sylvie, tout comme moi, ne quitte pas des yeux le spectacle offert. Tout aussi excité que mon ami, je m'approche d'elle, l'enlace et nous échangeons un nouveau long baiser pendant lesquelles nos mains, loin de rester inactives, explorent nos corps. Je découvre un poitrine, certes plus menue que celle de ma chérie, mais dont les bouts sont tout aussi sensibles, grossissant sous mes caresses.

Sylvie a, elle, libéré mon sexe et le caresse lentement, presque négligemment, désireuse d'entretenir mon excitation sans m'amener trop rapidement au point de non retour. Nos bouches séparées, je m'agenouille face à elle et la débarrasse du reste de ses vêtements. Sa fente, intégralement épilée, est un véritable appel à l'amour et je ne résiste pas au plaisir de l'embrasser.


Brigitte, sous les assauts d'André, succombe une nouvelle fois et jouit dans un long cri. Son plaisir déclenche celui de son partenaire qui n'a que le temps de sortir du bouillant fourreau avant de se répandre en longs jets sur le dos de ma femme. Très galamment, il aide Brigitte à se relever et, la prenant dans ses bras, lui offre un baiser qu'elle ne refuse pas.


- Tu es délicieuse, ma petite Brigitte...

- Et toi, un excellent amant...


Nouvelle étreinte puis ils se dirigent vers la cuisine pour se rafraîchir.


Pendant ce temps, Sylvie, qui apprécie visiblement beaucoup mon cunnilingus, n'est plus très loin du nirvana. Ses gémissements succèdent aux soupirs, ses doigts maintiennent mon visage plaquée contre sa fente et soudain, dans un cri, l'orgasme la saisit. Elle m'abreuve abondamment du fruit de son plaisir dont je me régale, n'en perdant aucune goutte.

Sans me lâcher, elle me fait me relever et me dit d'une voix tremblante :


- Je te veux en moi... viens... baise-moi !


Comment résister à une telle requêt ? Comme ma chérie tout à l'heure, elle s'installe à quatre pattes, les reins cambrés au maximum, les jambes largement écartées. Je reste quelques secondes sans bouger, l'admirant, me régalant de la vision de son fessier ainsi offert, puis je viens derrière elle, frotte mon gland sur tout la longueur de sa fente, la faisant déjà gémir.


- N'attends pas ! Viens ! Vite !!


Je m'enfonce pourtant très lentement en elle, accueilli par un long gémissement. Son sexe est chaud et humide à souhait et je glisse avec un plaisir non feint dans cette chatte délicieuse. Une fois complètement en elle, je reste un peu immobile, savourant ce moment que, s'il m'est arrivé d'y fantasmer, je n'aurais jamais cru vivre. J'entame ensuite de lents mais puissants va et vient, accompagnés par les gémissements de ma partenaire qui savoure cette saillie comme il se doit.


Le plaisir monte peu à peu et j'accélère la cadence, faisant désormais gémir Sylvie sans discontinuer. Les "floc" de sa chatte à chaque va et vient sont délicieusement obscènes et ajoutent encore notre excitation. Tournant la tête, j'aperçois ma femme et mon pote, tranquillement assis dans le canapé, chacun une main sur le sexe de l'autre, se caressant tranquillement en savourant notre chevauchée. Sentant que je suis sur le point de jouir, je donne encore quelques coups de reins puis sort de Sylvie. Sans hésiter, elle me fait venir face à elle et m'embouche. C'en est trop et, à long jets, je me déverse dans sa bouche, sans qu'elle ne fasse un geste pour se dérober. Au contraire, elle ne consent à me relâcher que certaine que plus une goutte ne sortira de mon sexe. Alors elle se lève et se dirige vers ma femme qu'elle embrasse, partageant un peu de mon sperme qu'elle n'a pas avalé.

Nous sommes tous les deux en nage et je lui propose de nous rafraîchir à notre tour, ce qu'elle accepte bien volontiers.

En passant près d'elle, Brigitte m'attire, m'embrasse tendrement avant de me dire :


- J'ai vécu une magnifique soirée. Tu n'es pas jaloux ?

- Pas du tout mon amour... j'ai adoré te regarder faire l'amour. Tu étais magnifique.

- Je t'aime.

- Je t'aime moi aussi.


Rassuré, je rejoins ma maîtresse dans la cuisine et nous dégustons un jus d'orange bien frais.


- Alors ? Satisfait de l'expérience ?

- Et comment ! J'ai adoré voir Brigitte baiser avec toi et André et... j'ai pris un pied monstre à le faire avec toi !

- Moi aussi, j'ai aimé que tu me sautes. Prêt à continuer donc ?

- Tu crois ? Il m'a semblé que nos chéris n'étaient pas encore tout à fait rassasiés ; tu l'es toi ?

- Pas plus qu'eux.. ni que toi, visiblement.


Nous éclatons de rire avant de nous embrasser à nouveau puis rejoindre nos conjoints au salon.

FIN ?
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