Deux couples


Dimanche 18 mars 7 18 /03 /Mars 17:27
En attendant la suite des aventures de Lucie, Lionel et Chris, en cours de rédaction, je vous propose une nouvelle histoire. J'espère qu'elle vous plaira !


Nous sommes invités ce soir chez Marc et Muriel, un couple d'amis que nous connaissons depuis pas mal d'années. De la salle de bains me parvient la voix de Véronique, mon épouse, qui me demande de lui amener ses affaires qu'elle a oubliées dans la chambre. Je m'y rends donc et découvre sur le lit la tenue qu'elle a prévu de mettre. Je lui amène et la regarde s'habiller.



- "Tu es obligé de rester là ?

- J'adore te regarder, tu le sais bien…

- Oui, mais je préfère être tranquille !"



Nos amis habitent à une quinzaine de kilomètres de chez nous et il ne faut guère de temps pour nous y rendre. Nous sommes accueillis par Marc, très souriant qui nous dit que sa femme finit de se préparer. Avec un clin d'œil, il ajoute que, sans notre arrivée, il serait en train de lui frotter le dos.



Nous nous installons au salon et Marc sert un apéritif. Muriel nous rejoint et je ne peux m'empêcher d'admirer les courbes de son corps, mises en valeur par une robe moulante et fendue assez haut. Nous parlons un peu de la pluie et du beau temps puis Marc, assez néophyte en informatique, me demande si je peux résoudre un petit problème sur son PC. Nous filons dans le bureau et, très vite, je trouve l'origine du problème. Quelques minutes suffisent pour régler le problème. Je découvre alors que Marc a fait l'acquisition d'un appareil photo numérique. Il me propose de me montrer les quelques prises de vues qu'il a faites et m'indique le chemin. Je parcours le dossier contenant quelques vues des environs ainsi que quelques photos de Muriel. Je découvre un sous-dossier appelé "chaud" et demande à Marc s'il s'agit aussi de photos. Avec un grand sourire, il me dit qu'il contient des photos de Muriel un peu plus déshabillée et m'invite à les regarder. Je clique donc sur le dossier et, sous mes yeux ébahis, défilent des photos de Muriel en sous-vêtements, puis un peu plus loin, dans le plus simple appareil.



- "Tu les trouves comment ?

- Superbes ! Tu as bien de la chance de pouvoir la prendre ainsi en photo !

- Au début elle n'était pas trop d'accord mais, en insistant un peu sur le fait que j'étais le seul à pouvoir les regarder, elle a accepté de poser et y même pris du plaisir.

- Veinard !"



Nous rejoignons nos femmes et Marc ressert un verre. Je regarde Muriel, essayant d'imaginer quels dessous elle porte aujourd'hui. Que je la décrive un peu : trente cinq ans, assez grande, elle est blonde comme les blés et a deux magnifiques yeux verts. Son mari, originaire de la Réunion, est lui aussi très grand mais brun, sa couleur café au lait tranche avec la peau blanche de son épouse.

Après un second verre nous passons à table. Marc nous a préparé un repas créole délicieux et assez relevé, ce qui nous fait boire un peu plus que de raison. Notre hôte s'absente quelques secondes et revient avec son appareil photo. Il fait quelques clichés de nous à table. Véronique, contrairement à son habitude, prend des poses et va même jusqu'à effleurer mes lèvres. Marc me tend l'appareil et s'assied à côté de son épouse. Je les prends, se tenant sagement dans les bras l'un de l'autre puis, comme ma femme il y a quelques minutes, Muriel embrasse son mari. Contrairement à Véronique, son baiser est profond. Je zoome et déclenche l'appareil deux fois, immortalisant en gros plan leurs lèvres jointes. L'appareil passe ensuite de main en main, chacun voulant regarder les photos. Le repas se termine dans cette excellente ambiance et Muriel nous invite à nous rendre au salon pour le café. Véronique l'aide à débarrasser pendant que Marc et moi préparons les tasses.

Les femmes nous rejoignent et Muriel sert le café tandis que Marc nous propose un digestif. Nous dégustons un punch et la conversation reprend. Marc me tend à nouveau l'appareil et me demande de reprendre une ou deux photos de lui et sa femme. Il l'enlace et leurs bouches se joignent à nouveau. Une main de notre ami se pose sur la cuisse de sa femme, remonte lentement le tissu découvrant une cuisse que je m'empresse de photographier. Ils se séparent et me rejoignent afin de visionner le résultat. Souriante, Muriel, regardant les deux derniers clichés s'exclame :



- "Un peu plus et on y voyait ma culotte !

- À la plage, on la voit bien !

- Oui mais ce n'est pas le même genre de culotte… surtout pas aussi transparente…

- De toute façon, un cul vu n'est pas perdu…

- Oui mais quand même. Qu'en penses-tu ma chérie ?

- Euh… je suis d'accord avec toi…

- À votre tour ! Vous vous embrassez et je vous photographie, d'accord ?

- D'accord, répond, à ma grande surprise, ma femme."



J'enlace Véronique et mes lèvres se posent sur les siennes, elle me rend mon baiser et nos langues se mêlent. Je risque une main sur sa jambe, aucune réaction, je tire un peu sur le tissu, découvrant à mon tour sa cuisse à nos amis. Appuyant un peu, j'écarte les cuisses sans qu'elle ne fasse rien pour m'en empêcher. Nous nous séparons et demandons à Marc de nous montrer les clichés. Sur deux, on voit très nettement le slip de Véro et sur le dernier Marc a zoomé et on peut admirer très distinctement le contour de la fente et quelques poils dépassant du sous-vêtement.



- "Superbe cliché ! S'exclame notre ami.

- Tu exagères, répond ma femme.

- Pourquoi ? Demande Muriel. Je trouve cette photo très jolie… et très excitante.

- Quand même, on voit même mes poils…

- Tu sais, Marc en a fait des plus osées que cela de moi.

- Ah oui ? Et qu'en as-tu fait ?

- Elles sont sur le disque dur de l'ordinateur.

- Vous voulez les voir ? Interroge Marc en me regardant avec un sourire.

- Pourquoi pas ?

- Suivez-moi !"



Nous nous rendons au bureau et Marc nous fait visionner les clichés que j'ai déjà eu la chance de voir. Marc nous raconte les conditions dans lesquelles s'est déroulée la séance ; je jette un regard à Véronique, ses joues ont rosi et je peux distinguer dans ses yeux une étincelle que je lui connais dans certains de nos moments intimes. Muriel, quant à elle, semble très fière de nos réactions et de nos félicitations sur sa plastique. Le diaporama s'achève et Véro demande alors à Muriel si elle a fait des photos de son mari dans la même tenue.



- "Non ! Je n'y avais pas pensé. Il faudra que je comble ce vide très vite…

- Et toi, Véro ? Tu n'aimerais pas être immortalisée ainsi ? Demande Marc.

- Tu rigoles ?

- Pas du tout ! Tu es très mignonne et je suis sûr que Chris adorerait avoir des photos de toi en petite tenue.

- Marc a raison, renchérit Muriel. Pourquoi ne veux-tu pas ?

- Il me voit en petite tenue et même nue assez souvent. Pourquoi m'avoir en plus en photo ?

- Ça lui fera un souvenir pour ses vieux jours…

- Il a bien le temps de voir venir.

- Sérieusement, pourquoi refuses-tu ?

- Je ne sais pas… je n'en ai pas envie, sans doute."



Véro a prononcé cette dernière phrase d'une voix moins assurée. Muriel l'a remarqué et insiste encore :



- "Comme on a dit tout à l'heure, un cul vu n'est pas perdu. Tu as peur de te mettre en petite tenue devant nous ? Je te rappelle qu'on est déjà allé à la plage ensemble et qu'on a vu en maillot de bain…

- Non ! Ce n'est pas ça.

- C'est quoi alors ?

- Je ne sais pas… entre la plage et poser en sous-vêtement, il y a une différence…

- On est entre amis quand même…

- Je sais.

- De toute façon, si les photos ne te plaisent pas, on peut toujours les effacer, renchérit Marc.

- Que risques-tu d'essayer ? On ne va pas te violer !"



Je me garde bien d'entrer dans la conversation, ne désirant pas forcer ma femme. Elle me jette un coup d'œil et me demande :



- "Ça ne te gêne pas au moins ?"


@ suivre
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Lundi 12 février 1 12 /02 /Fév 15:33
La soirée se poursuit... et je découvre des plaisirs insoupçonnés !

La série terminée, nous abandonnons une nouvelle fois la piste et retrouvons notre alcôve. Martine s'approche d'Anne, lui prend la main et l'attire contre elle. Sa bouche parcourt le visage de ma chérie, lui embrasse le front, les joues, le nez, sans essuyer aucun refus. Elle se pose alors sur les lèvres et, après une fraction de seconde, les deux femmes échangent un baiser passionné. Très rapidement, elles sont nues toutes les deux. Martine fait allonger Anne et sa bouche explore son corps, n'oubliant aucun centimètre carré.


- Elles sont belles, n'est-ce pas ?

- Hum… oui… je suis heureux de voir Anne se laisser ainsi aller…

 

Martine embrasse les seins, serre les tétons entre ses lèvres, tète tel un bébé affamé. Ses baisers, sur sa poitrine sensible, font gémir Anne qui se tord de plaisir. Sa maîtresse descend sur son ventre et atteint son intimité. Ma chérie écarte les jambes au maximum, s'offrant sans retenue à cette bouche qui lui dévore la chatte, s'enfonce dans sa grotte, agace son bouton.

Les deux femmes changent ensuite de position et se mettent en 69. Anne caresse un peu la fente de son amie puis s'enhardit et, à son tour, embrasse son sexe. Sa langue explore la fente, s'enfonce dans la grotte humide, donnant des frissons de plaisir à Martine. Écartant les fesses, Anne ose même quelques baisers sur œillet sombre. Baisers qui, à entendre les gémissements de sa compagne, sont particulièrement appréciés.


- Hum… c'est bon… mets un doigt !


Anne, après avoir sucé son index, le pose contre l'anneau et pousse.



- Ah oui ! Comme ça ! Encule-moi !



Ma chérie fait aller et venir son doigt rapidement dans le derrière de Martine, la faisant presque crier. Devinant qu'elle n'est pas novice, loin de là, elle en ajoute un second qui entre aussi facilement. Incapable de se concentrer sur son cunnilingus, Martine a délaissé le minou d'Anne et ne vit plus que pour le plaisir qu'elle reçoit. Tout en la sodomisant de ses doigts, ma puce poursuit ses baisers sur la chatte offerte. Il ne lui faut que quelques minutes pour que Martine, dans un long feulement, parvienne à l'apogée du plaisir. Après avoir savouré cet orgasme comme il se doit, elle remercie Anne :


- Quel pied ! Allez ! À ton tour !


Sa bouche retrouve le chaton de ma chérie. Elle s'emploie à son tour à lui offrir le maximum de plaisir, deux doigts allant et venant dans la grotte pendant que, de la langue, elle titille le bouton. Anne gémit sans discontinuer, savourant le savoir-faire de sa partenaire. Elle relève les jambes, invitant Martine à ne pas oublier son côté pile. Comme si elle n'attendait que cette autorisation, notre amie plante deux doigts dans le cul de ma femme et les fait aller et venir au même rythme que ceux qui fouillent le vagin. C'en est trop pour Anne qui succombe à son tour dans un cri rauque, régalant Martine de son jus.


Les deux coquines reprennent lentement leurs esprits, assises l'une contre l'autre, en nage, les cheveux collés au front par la transpiration.


Le spectacle qu'elles nous ont offert a bien sûr ranimé notre excitation et nous sommes tous les deux au garde à vous. Karl s'approche de sa femme, ses mains caressant ses cuisses mais elle le repousse en lui disant :


- Vous avez aimé nous regarder ?

- Oui, beaucoup…

- Alors, à votre tour ! Pas vrai Anne ?


Ma chérie me regarde avec un étrange sourire. Pour ma part, je ne sais quoi faire. Que Karl me fasse une pipe, après tout pourquoi pas ? Mais que je le suce… Je n'ai guère le temps d'y réfléchir car il me fait m'allonger et, s'installant entre mes cuisses, embrasse rapidement mon gland puis, avant que je puisse réagir, mais en ai-je envie, m'avale entièrement. Je tourne la tête ; les femmes nous regardent en souriant, appréciant visiblement la scène.


- Tu n'as pas envie de le goûter ? Me demande Martine. Allez ! Laisse-toi aller ! Suce-le !


Karl, en l'entendant, s'est mis au dessus de moi, en 69. Patient, il ne me force pas et n'appuie pas son sexe contre mon visage, me laissant le choix. Ma main se pose sur son membre et je le caresse doucement, le faisant grossir un peu plus. Je me décide alors et, levant un peu la tête, embrasse sa hampe, puis son gland. Je me surprends à en aimer le goût et j'ouvre enfin la bouche pour l'accueillir. Il s'installe plus franchement sur moi et je fais aller et venir son sexe dans ma bouche, appréciant un peu plus au fil des minutes sa présence.

Tout en me pompant, Karl caresse mon petit trou et, assez vite, un doigt me force et va et vient en moi. Je savoure sa caresse, à la fois douce et puissante et décide de lui rendre la pareille. Mon index s'enfonce sans difficulté, ce qui me fait penser que, comme sa femme, il apprécie les plaisirs de Sodome.

Nous nous suçons ainsi de longues minutes, nous branlant en même temps le cul, puis je sens que je ne vais pas tarder à venir. Lâchant sa queue, je le préviens. Il me fait sortir de sa bouche et ses doigts finissent de me faire succomber. Dans un râle, je gicle sur mon ventre et sa main.


Karl se relève. Il na pas joui et je suis surpris qu'il ne désire pas continuer à se faire sucer. Je comprends quand il me saisit les jambes et les relève ses intentions. Partagé entre le désir et la crainte de la douleur, je ne fais pas un geste.


- Sois tranquille, je serais très doux…


Il déchire l'emballage d'un sachet de lubrifiant dont il répand le contenu sur mon petit trou. Son doigt me prépare puis il s'en met une bonne couche sur le sexe. Face à moi, il pose son gland contre mon anneau et pousse légèrement.


- Détends-toi !


Je mets quelques instants pour me décontracter, instants pendant lesquels il reste immobile, attendant que je sois prêt. Une deuxième poussée et son gland franchit l'étroit passage. Je suis surpris de ne pas ressentir une douleur plus importante.


- Ça va ?

- Oui… doucement…


Il poursuit lentement sa progression et, peu à peu, je me mets à aimer cette présence au plus profond de mon intimité.


- Voilà… je t'ai tout mis…

À suivre... is vous en avez envie !!
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