A trois


Lundi 10 mars 1 10 /03 /Mars 10:20
Ma visite chez les voisins est pleine de surprises...

Je retrouve le couple, qui n'a pas jugé utile de se revêtir. Je tends la roteuse à mon hôte et me met à mon tour dans le plus simple appareil. La vue de mon sexe dressé tire un léger sifflement à Annie, réaction qui flatte mon orgueil de mâle ! À son invitation, je m'allonge sur une serviette. À son retour, Marc s'installe de l'autre côté de sa femme et me dit :

  • - Alors ? De près, Annie te plaît autant ?
  • - Il faudrait être difficile... elle est... très... attirante.

Pose un main sur un sein, en pince le téton :

  • - Tu vois comme il réagit vite aux caresses ? Vas-y ! Occupe-toi de l'autre.

Il ne faut pas me le proposer deux fois ! Mes doigts entrent en contact avec la peau d'une douceur extrême et en quelques toutes petites secondes, le second téton se dresse fièrement, semblable à une petite fraise. Un léger gémissement s'échappe des lèvres de la belle quand les miennes se referment sur le délicat bourgeon. Je la tète tendrement, ma langue lèche alternativement le téton et l'aréole, ma main caresse le reste de cette charmante colline.
Annie a fermé les yeux et, la bouche entrouverte, savoure ces attentions. Doucement, je pose mes lèvres sur les siennes et, hésitation aucune, elle répond à mon baiser et m'offre sa bouche pour une pelle des plus gourmandes. Nos langues virevoltent, nos dents s'entrechoquent et nous ne nous séparons qu'à bout de souffle. Je retourne m'occuper de la poitrine puis descend sur le ventre, déjà hérissé de chair de poule. mes lèvres déposent mille et un baisers sur la peau douce et, après quelques minutes, je parviens au Mont de Vénus. Je relève un peu le visage et admire le spectacle. L'intimité d'Annie, à peine masquée par une toison claire coupée très ras, s'offre à mes yeux ravis. Je reste quelques secondes sans bouger puis, doucement, pose un doigt sur la délicate cicatrice qui sépare les lèvres, encore closes. Mon doigt parcourt la fente, très doucement, se contenant de l'effleurer. Les cuisses s'écartent à nouveau, m'invitent à poursuivre, à aller plus loin. Je poursuis donc mon exploration, remonte en appuyant un peu plus, faisant s'ouvrir la délicieuse fleur. Je découvre l'endroit chaud et humide à souhait, tire un soupir à ma partenaire quand mon doigt titille le délicat bourgeon.

Marc s'est installé à côté de sa femme, accroupi. Il caresse la poitrine que j'ai délaissée, étire les tétons, masse les deux globes. Annie s'empare à nouveau de sa verge et le masturbe doucement, lui tirant à son tour quelques légers gémissements. Pour elle, le plaisir semble approcher à grands pas. Ses gémissements se transforment parfois en petits cris, notamment lorsque mes caresses s'attardent sur son bourgeon, ce dont je ne me prive pas.

Après quelques minutes, elle pousse un longue plainte, ses doigts se plantent dans mes épaules, me maintenant plaqué contre elle, et la belle m'abreuve longuement du fruit de son plaisir, sublime nectar dont je me régale. Elle me repousse, presque violemment, son abricot devenu trop sensible. Un large sourire éclaire son visage quand elle dit :

  • - Quel pied ! Tu suces divinement bien, cher petit voisin !
  • - Ma chérie, je propose que nous fêtions cette rencontre en dégustant le Champagne que Franck nous a si gentiment apporté.
  • - Avec plaisir ! Et après... je lui rendrais le plaisir qu'il a si bien donné...

Voilà qui me convient parfaitement ! Pour une après-midi réussie, c'est une après-midi réussie !!
Nous trinquons donc à notre "amitié très forte" comme le dit Marc en souriant, et dégustons le délicieux breuvage, qui nous fait beaucoup de bien.

Annie, son verre terminé, le pose et, à quatre pattes, s'approche de moi. Je la regarde faire et, bien entendu, ne fait rien pour l'empêcher d'écarter mes jambes, s'installer entre elles et caresser doucement mes cuisses, du genou à l'aine. Mon sexe, qui avait quelque peu perdu de son raideur, la retrouve bien vite, pour le plus grand plaisir semble t-il de mon hôtesse. Une main se referme sur ma tige et la caresse lentement, la griffant d'une façon tout à fait délicieuse, allant plus bas flatter mes bourses. Je la regarde faire, excité comme jamais de voir ce si joli bout de femme s'occuper ainsi de moi. Quand elle remplace ses doigts par sa langue, ma bitte a un nouveau sursaut. Jamais je n'ai été aussi excité ! Jamais je ne me suis senti aussi raide !
Enfin, ses lèvres se referment sur mon membre et le font coulisser entre elles, me tirant un profond soupir de bonheur. Elle me fait aller et venir dans sa bouche, tantôt lentement, tantôt plus rapidement, m'avalant chaque fois le plus loin possible. Une de ses mains caresse mon ventre, remonte parfois agacer un téton, tandis que l'autre reste concentrée sur mes couilles, non sans oser parfois une caresse un peu intime en direction de mes fesses, et plus particulièrement sur le petit endroit secret qui se niche en leur milieu.
Jamais une de mes conquêtes ne s'est osée à ce genre d'attention et je dois reconnaître que les sensations offertes sont tout sauf désagréables ! À un point tel que quand je me surprends à aller au devant de cette caresse, au devant de ce doigt qui maintenant cherche à forcer mon cul, à s'introduire en moi, à prendre cette virginité que j'aurais cru inviolable. Annie force encore un peu et parvient à ses fins. Me voici pénétré, je n'ose écrire "enculé" et pourtant... c'est bien ce qui m'arrive !

  • - Alors, cher Franck ? Tu aimes cette caresse ? C'est la première fois qu'on te le fait ?
  • - Hum... oui... pour les deux...

Ainsi encouragée, elle enfonce le reste de son majeur et entame de lents va et vient, m'offrant un plaisir aussi délicieux qu'insoupçonné. Je m'abandonne à cette bouche et ces mains, appréciant leurs baisers et caresses. C'est le moment que choisit Marc pour se joindre à nous. Il caresse doucement les cheveux de sa chérie puis, peu à peu, ses doigts s'approchent de la bouche d'Annie et effleurent parfois ma tige. Ne constatant aucune réaction de ma part, il me caresse plus franchement et, après quelques minutes, Annie libère mon sexe, l'offrant à son mari qui se penche et l'embouche, laissant sa chérie se concentrer alors sur ses caresses anales. Elle joint alors l'index à son majeur et les deux prennent possession de mon cul sans plus de difficulté.
Me voici dans une situation aussi étrange qu'excitante, enculé par une femme et sucé par son mari !

Marc me fait m'allonger sur le dos, jambes relevées. Il s'agenouille çà côté de moi et reprend sa fellation. Annie s'installe de l'autre côté, face à son mari, et ses doigts retrouvent mon petit trou qu'ils recommencent à fouiller pour mon plaisir qui grandit chaque minute un peu plus. Sa position me permet de laisser une main vagabonder sur elle, de ses seins à son minou, ce dont je ne me prive pas. Annie prend mon autre main et la pose sur la cuisse de son mari. Elle me regarde en souriant puis me dit :

  • - Tu peux lui caresser la bitte si tu veux...

Sans réfléchir, je laisse la jambe de Marc et pose la main sur sa verge tendue. Je le caresse doucement puis referme les doigts sur sa tige et entame de lents va et vient qui semblent lui plaire beaucoup.

  • - Tu n'aimerais pas la sentir en toi ?
  • - Quoi ?
  • - Je suis certaine qu'elle te fera bien jouir...

Je ne rêve pas ! Elle veux que je me fasse enculer par son mec ! Bizarrement, cette idée ne me rebute pas, même si elle m'effraie un peu, étant vierge de ce côté.

  • - N'aie pas peur, Marc est très doux... c'est lui qui m'a initiée aux plaisirs de Sodome et je n'ai jamais rien ressenti d'autre que du plaisir. Tu vas voir, tu vas adorer !

Marc abandonne mon sexe et s'installe entre mes cuisses, le sexe tendu contre mes fesses. Sa chérie ôte ses doigts, s'empare de la verge et la positionne contre mon trou. Marc pousse légèrement, comme pour tester la résistance de mon muscle intime.

  • - Pousse un peu ! Comme si tu allais à la selle...

Je suis le conseil de ma chère voisine et sens le gland pénétrer mon anus, écartelant mes chairs mais, aussi étrange que cela puisse paraître, sans me faire trop souffrir. Annie caresse ma bitte, doucement, comme pour me faire oublier cette barre qui me pourfend.
Après de longue minutés, Marc me dit que le plus dur est passé. Il reste immobile, me laissant m'habituer à sa présence. Je le regarde dans les yeux et luis dis :

  • - Continue ! Ça va.

Il reprend sa progression, cette fois plus rapidement et bientôt annonce qu'il est tout entier en moi. Il reste à nouveau quelques instants sans bouger puis se retire lentement avant de me réinvestir d'un long coup de rein.

Je me surprends à maintenir les jambes levées, les fesses écartées, allant au devant de ce sexe qui va et vient maintenant en moi.

- Alors ? Tu aimes ? C'est bon ?
  • - Hum... oui... c'est étrange mais plutôt agréable...
  • - Je te l'avais dit. Tut à l'heure, je t'offrirais mon cul... Je suis certaine que tu me feras bien reluire...

Pour l'instant, c'est moi qui me fait reluire ! Marc m'encule maintenant plus vigoureusement et, à entendre ses gémissements, semble proche de l'orgasme. Soudain, il pousse un cri et n'a que le temps de sortir de mon cul avant d'asperger copieusement mon ventre de sa sève, zébrant ma peau de longues trainées blanchâtres qu'Annie étale en me massant.

  • - Mon cher Franck, tu as un petit cul délicieux !

Il se penche sur moi et, avant que j'ai pu faire le moindre geste, dépose un baiser sur ma bouche.


À suivre ?
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Mardi 26 février 2 26 /02 /Fév 11:30
Nouvelle histoire, qui commence assez calmement...

"Quelle adorable garce ! "

Je ne peux m'empêcher, en la regardant, de m'imaginer qu'elle le fait exprès ; qu'elle se comporte ainsi dans le seul but de m'exciter. Pourtant, rien n'indique qu'elle s'est rendu compte de ma présence. La haie qui sépare nos deux jardins est suffisamment épaisse pour que je puisse la mater sans être débusqué ; le trou qui me sert de "poste de guet" se situe dans un angle au fond de leur jardin. Elle est donc là, intégralement nue, allongée sur un drap de bain, le corps offert aux rayons du soleil et, surtout, à mes yeux.


La trentaine, cheveux clairs coupés court, un corps  entretenu par le sport ; je sais qu'elle fréquente régulièrement la piscine ; une poitrine, ni trop petite, ni trop grosse, de longues jambes musclées. Bref, un bien joli brin de femme dont il ne me déplairait de faire la connaissance plus intimement. Il est toujours permis de rêver, non ?

Cela fait trois jours qu'elle passe ainsi une heure à se faire bronzer. Trois jours qu'elle me permet de l'admirer en cachette, presque honteux de l'espionner ainsi. Aujourd'hui, sa position,  les pieds tournés vers mon jardin, m'offre une vue des plus agréables sur son ventre et son bas-ventre. Vision qui a immédiatement provoqué une érection presque douloureuse. Cela ne s'arrange pas quand elle replie les jambes et les écarte sensiblement, me proposant ainsi l'intégralité de son intimité. J'en reste baba ! Dans mon short, c'est l'affolement ! Je ne sais pas ce qui me retient de me passer à travers les branches pour me jeter sur elle. Et elle ne s'arrête pas en si bon chemin ; la voici qui pose une main sur son Mont de Vénus et le caresse doucement, presque négligemment. Cette fois, c'est sûr, je vais mourir d'une crise cardiaque !


Une voix  masculine vient, presque opportunément, rompre ces instants aussi magiques que douloureux. Son mari, ce veinard, vient de rentrer et la rejoint. Un baiser sur les lèvres et, à son tour, il se met dans le plus simple appareil et s'installe tout contre elle. Tout naturellement, sa main remplace celle de sa femme et court de la base de la poitrine à celle du renflement pubien. Ce n'est pas vrai ? Ils ne vont tout de même pas...

Je n'ai pas le temps de réfléchir plus que la coquine referme les doigts autour de la hampe de son chéri et entreprend une lente masturbation. Ah, les salauds ! si ça continue, je vais lâcher ma purée dans mon short, sans me toucher, comme le dernier des collégiens boutonneux !!


Après l'image, le son. Les soupirs de la belle, à peine étouffés, parviennent à mes oreilles comme une douce musique. Puis viennent les paroles :


  • - C'est bon mon chéri... j'adore ce que tu me fais.

Ainsi encouragé, le chéri se penche et pose les lèvres sur le sexe de sa femme. Les jambes s'écartent un peu plus, les gémissements se font plus sonores.


  • - Oh oui ! Ta langue... j'aime... c'est délicieux...

Il abandonne la fente et remonte sur le ventre puis la poitrine dont il s'empare des tétons déjà durcis. Sa langue titille un bourgeon, s'attarde sur l'aréole puis passe à l'autre sein, lui ofrre les mêmes caresses amoureuses. Ils échangent ensuite un long baiser puis, mon cher voisin dit à sa moitié :

  • - Tu imagines un autre homme avec nous ? Deux autres mains ? Une autre bouche ?
  • - Hum... arrête, petit saligaud... tu n'as pas honte ?
  • - Pas du tout ! je suis sûr que tu aimerais ça. Offrir ton corps à un autre devant moi... Cela pourrait être notre charmant voisin.
  • - Oh, coquin !

Sur le coup, je crois avoir mal compris ! Imagine t-il m'inviter dans leur intimité ? En plus, pourquoi parler de moi à cet instant ? Sait-il, savent-ils, que je suis là, tout près, les observant ? Je n'ose plus bouger le moindre muscle, à peine respirer. J'ai l'impression que les battements de mon cœur et ma respiration s'entendent à des kilomètres à la ronde.

  • - Et je suis certaine que de ton côté, tu ne pourrais résister à lui lécher la queue, je me trompe ?
  • - Absolument pas, ma chérie... j'ai beau aimer les femmes, ce jeune homme m'attire tout autant que toi.

Alors là,, c'est le bouquet ! Môssieu ne dédaignerait pas mes faveurs ! Mais pour qui me prend-il ? Me prennent-ils plutôt tant elle paraît accepter que son mari et moi...

Je suis interrompu dans mes pensées par Marc, puisque tel est son prénom, qui se lève et se dirige, sans hésitation aucune, vers l'endroit où je me cache. Tétanisé, je ne fais rien pour m'échapper et le regarde approcher. Malgré moi, mon regard reste rivé à son sexe tendu, lance de chair dressée, comme parée pour une joute.

  • - Alors, cher voisin  ! Notre proposition t'intéresse t-elle ? Annie m'a dit que cela fait 3 jours que tu la reluques, que tu lui donnes des envies. Je pense donc que tu apprécierais de la voir de tout près et même plus... si affinités, comme on dit.
  • - Euh...

Pour une surprise, c'est une surprise ! Non seulement, la cachottière n'ignorait rien de ma présence mais en plus, ça l'excitait ! Mon cher Franck, c'est le moment de montrer ce que tu vaux ! Et surtout l'occasion de se payer un bon moment !

  • - Le temps de fermer la maison et je vous rejoins.
  • - Parfait, viens directement au jardin... tu connais le chemin.

Je n'ai jamais été aussi rapide pour quitter la maison, juste le temps de prendre une bouteille de Champagne au passage ; obsédé sexuel peut-être mais bien élevé avant tout !


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