A trois

Jeudi 24 avril 4 24 /04 /Avr 16:22

Et ça continue pour notre héroine

Suite de cet après-midi où Claire découvre de nouveaux plaisirs..

Il l'aide à s'installer, les fesses juste au bord du fauteuil, les jambes sur les accoudoirs, offrant une nouvelle fois la superbe vision de son intimité. Claire pose une main sur un sein, le caresse, fait mine de le soupeser avant de concentrer son attention sur le mamelon. Elle passe à l'autre, lui offrant le même traitement. Les deux tétons retrouvent leur érection, les aréoles leur texture grumeleuse.

    - Ne bouge pas, je reviens !

Patrick nous rejoint quelques secondes plus tard, son caméscope en main.

    - Embrasse tes nichons !

Claire soulève ses seins, baisse le visage et referme les lèvres sur un mamelon. C'est la première fois que je la vois faire cela ainsi et le spectacle est particulièrement torride. Elle passe au second puis relève la tête et, le regard fixé sur l'objectif de la caméra, passe la langue sur ses lèvres avec une moue des plus érotiques.

    - Putain quelle cochonne ! Vas-y ma belle !

Une main descend sur le ventre et atteint rapidement le délicieux renflement du Mont de Vénus. Claire fait aller et venir un doigt le long de sa fente, très lentement pendant que de deux doigts elle écarte ses lèvres, offrant à Patrick tout loisir pour filmer avec tous les détails son intimité, ce dont il ne se prive pas. Elle s'attarde sur son bouton, qu'elle fait saillir avant de le caresser puis enfonce le majeur dans sa grotte, tout en poussant un léger mais suggestif gémissement.

    - Tu es belle ma Claire ! Continue ! Mets tes doigts dans ton con !

Ma chérie se lâche complètement et deux doigts vont et viennent en elle, avec des "floc" des plus torrides. La bouche entrouverte, les yeux qui ne quittent pas la caméra, elle se masturbe comme la dernière des collégiennes.

    - Superbe ! Jamais j'aurais cru que tu m'offrirais l'occasion de te filmer comme ça. N'oublie pas ton petit trou !

Un doigt mutin appuie contre sa rondelle et s'enfonce lentement dans son petit trou, assez rapidement suivi d'un second. Claire se branle en cadence, gémissant de plus en plus fort.

    - On va changer un peu ! Mets-toi à quatre pattes !

La voici sur le tapis, à quatre pattes, les cuisses largement ouvertes, les reins cambrés. Ses doigts reprennent possession de ses orifices alors que Patrick me montre le martinet qu'il a ramené en même temps que le caméscope. Il effleure le dos et les reins de Claire avec les lanières, lui donnant la char de poule, puis, prenant tout de même soin de ne pas lui faire mal, en donne un premier coup sur les fesses de ma chérie qui, instantanément, se cambre un peu plus. Voyant cela, il en assène un second, accueilli cette fois par un "ah" de plaisir. Je regarde ma chérie dont les doigts vont et viennent plus rapidement, plus profondément dans sa chatte et son cul.

    - Regarde un peu comme elle aime ça !

Il fait maintenant courir les lanières dans la raie, les passant et repassant puis, sans prévenir, elles claquent une troisième fois.

    - Mon cher Marc, je ne peux pas résister plus longtemps...

Il pose le martinet, s'installe derrière ma femme et, d'une seule poussée, investit la chatte qui n'attendait que cela.

    - Oh oui ! Viens ! Donne ta queue ! Baise-moi !

À grands coups de reins, Patrick pilonne Claire, la faisant gémir et crier sans discontinuer. Cela dure quelques minutes puis notre ami se retire du vagin de Claire et pointe son gland contre le petit trou fripé.

    - Je vais te faire le cul ma belle !
    - Oh oui ! Encule-moi ! Prends mes fesses !

Sans être une inconditionnelle de la sodomie, ma chérie n'est pas contre, lorsqu'elle est bien excitée, une incursion dans son joli petit fessier. C'est donc sans réelle difficulté que Patrick, appuyant un peu, s'enfonce entre ses reins.
Il la lime un long moment, variant le rythme de ses va et vient, lui donnant parfois une claque sur les fesses. Je m'approche de ma chérie, m'empare de ses seins qui ballottent sous les coups de boutoir de Patrick et les caresse un peu.

Patrick et moi échangeons un sourire puis il me dit :

    -Cher Marc, allonge-toi donc sur le dos ! Nous allons faire découvrir à ta chère petite femme le bonheur de se sentir complètement possédée.

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Jeudi 17 avril 4 17 /04 /Avr 10:54

L'après-midi de Claire

Pourquoi s'arrêter en si bon chemin ?

Une première fois, ma main claque sur son postérieur, lui tirant un petit cri, plus de surprise que de douleur. Une dizaine de fois, je la fesse, chauffant son postérieur qui a viré au rose foncé.

Estimant la punition suffisante, je me tourne vers notre hôte :

    - Mon cher Patrick, je t'offre la chatte de Claire. Baise-la comme tu en as envie !
    - Marco, je te remercie de cette offrande.

Il prend ma chérie par la main et la fait s'installer à quatre pattes sur le tapis du salon.

    - Écarte bien les jambes et cambre-toi ! Offre-moi ton sexe !

Patrick s'installe derrière elle, à genoux. Il caresse la fente de son gland puis, d'un seul et puissant coup de rein, investit la chatte, accueilli par un long "oui" de plaisir. Fermement agrippé à ses hanches, il la pilonne longuement, lui tirant de profonds soupirs de plaisir. De temps en temps, sa main claque l'une ou l'autre fesse, la faisant se cambrer encore plus, comme pour mieux offrir son cul à cette main qui la frappe.

    - T'aimes ça te faire bien baiser, hein ?
    - Hum... oui...
    - Tout à l'heure, je te prendrais le cul... je te défoncerais ton petit trou...

En attendant, il décide de changer de position. S'allongeant à son tour sur le tapis, il se fait chevaucher par Claire qui, les mains en appui sur le torse de son partenaire, monte et descend le long de son membre. Patrick s'empare de ses seins qu'il pelote vigoureusement, pince les tétons, les étire, faisant geindre ma chérie de plaisir. Il l'attire ensuite contre lui et ils échangent un baiser particulièrement vorace.

Nouveau changement ! Cette fois, il installe Claire sur le côté et lui derrière elle. Il lui tient une jambe levée et reprend tout de suite possession de sa chatte, d'un puissant coup de queue qui lui tire un cri de plaisir. Il la baise ainsi quelques minutes puis, me regardant, dit :

    - Marco, viens donc profiter de sa bouche ! Donne-lui ta bitte à bouffer !

Je m'installe en tailleur tout contre elle qui, sans l'ombre d'une hésitation, engloutit ma verge pour une fellation des plus gourmandes. Patrick lui caresse la poitrine pendant que je descends une main sur son ventre, atteints son sexe et trouve son bouton que je titille, la faisant gémir de plus belle.
Il ne faut que quelques minutes pour que Claire, dont les gémissements, étouffés par mon sexe, vont crescendo, connaisse un nouvel orgasme. Elle lâche mon membre pour mieux exprimer son plaisir dans un long cri et jouit longuement, le sexe de Patrick fiché au plus profond de son intimité.

Notre ami, à son tour, se lâche ; il sort du délicieux fourreau et ses jets aspergent copieusement le ventre de ma chérie, arrosant même ses seins de quelques gouttes.
Les deux partenaires, trempés de sueur, reprennent tranquillement leur souffle, savourant leur plaisir. Patrick regarde les fesses de Claire, qui n'ont pas encore retrouvé leur couleur.

    - Alors ma petite Claire ? On a apprécié cette petite séance ?
    - Oui...
    - T'as aimé ça te faire fesser, pas vrai ?
    - ...
    - Ben réponds !

Un léger "oui", presque un souffle, sort des lèvres de ma belle.

    - Et je ne suis pas certain que tu refuserait d'autres expériences de ce genre... je me trompe ?
    - Je ne sais pas... Je n'aime pas trop avoir mal...
    - Il ne s'agit pas de te faire souffrir ! Je ne suis pas spécialement adepte du Divin Marquis. Non, juste t'apprendre        à obéir, à faire des choses que tu n'aurais pas oser faire.
    - Quoi par exemple ?
    - Le choix est vaste... sortir cul nu par exemple. Aller dans des lieux pour t'exhiber...
    - Je ne sais pas.
    - Tu aimes te toucher ?
    - Hein ? Euh... il y a longtemps que je ne l'ai pas fait...
    - Vas-y ! Là ! Maintenant ! Met-toi dans le fauteuil !
    - Tu veux que... je...
    - Que tu te branles, oui ! Et avec conviction, compris ?

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