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Mercredi onze heures et demi. Jacques est accueilli par une Anne rayonnante, vêtue d'une jupe particulièrement courte et d'un chemisier transparent que tend une poitrine arrogante et libre, dont les bouts semblent vouloir percer le tissu. Elle se jette littéralement sur lui et lui roule une pelle gourmande.
- J'avais tellement hâte ! Et aussi tellement peur que tu ne viennes pas...
Ils échangent un nouveau baiser puis Anne attire son amant sur le canapé et l'y fait asseoir. Elle s'installe sur ses genoux et sa main trouve immédiatement son sexe déjà à demi dressé qu'elle caresse lentement. Jacques, n'oubliant pas l'arrivée imminente de Bernard, l'arrête et lui dit :
- Allons dans votre chambre ! J'ai envie de te baiser dans votre lit !
- Vicieux...
Elle se lève et les deux amants se dirigent vers la chambre conjugale. À peine y sont-ils parvenus que Jacques dit à Anne :
- Allonge-toi sans te dévêtir, je reviens dans une seconde...
Intriguée, mais néanmoins excitée, elle obéit, ce qui permet à son partenaire d'aller en vitesse déverrouiller la porte-fenêtre, comme convenu.
De retour, il s'installe sur le lit, tout contre elle et entame une longue série de caresses par dessus ses vêtements, s'amusant à entretenir chez elle une excitation maximale, sans toutefois l'amener jusqu'au point de non retour.
Anne apprécie cette tendresse ; elle le regarde, plus précisément ses mains qui se promènent sur son corps, qui lui donnent la chair de poule. Ses tétons sont dressés, sa chatte trempée. Par de légers mouvements de bassin, elle vient à la rencontre de ces doigts quand ils se posent sur son pubis ; alors, Jacques cesse toute caresse à cet endroit et retourne sur les cuisses, le ventre ou la poitrine.
- Tu veux me rendre folle ?
- Folle, oui... de désir...
Une nouvelle fois, la main abandonne le sein qu'elle caressait et se pose sur l'épaule. Alors, lentement, Jacques commence à déboutonner le chemisier, libérant la poitrine, qu'il s'empresse d'embrasser, avant de terminer ce premier effeuillage. Il trouve sans difficulté la fermeture éclair de la jupe qui, à son tour, finit au pied du lit. Anne est maintenant nue, les jambes écartées, offerte sans retenue à son amant.
Sans plus attendre, il s'installe entre ses cuisses et s'introduit en elle, lui tirant un long gémissement. Il fait quelques allers et retours puis, contre toute attente, sort de son vagin. Elle le regarde s'emparer de quelque chose dans sa poche de blouson et, surprise, découvre qu'il s'agit d'un godemiché.
- Mets-toi à quatre pattes !
Elle obtempère et il reprend possession de sa grotte, pour son plus grand plaisir. Elle savoure cette queue qui l'emplit bien, qui lui procure un plaisir indescriptible. C'est pourquoi elle ne dit rien, ni ne se dérobe quand elle sent peser contre son anus un doigt de Jacques. Il appuie un peu et finit par forcer l'étroit passage. Elle qui s'attendait à ressentir de la douleur est surprise du côté presque agréable de cette intrusion au plus intime d'elle-même. Le doigt coulisse plutôt facilement, lui offrant des sensations inconnues mais loin d'être déplaisantes.
Cette nouvelle caresse ne dure guère et, rapidement, le doigt est remplacé par quelque chose de plus conséquent.
- Ne te crispe pas ! Tu vas voir... tu vas aimer...
Doucement, l'olisbos force le passage et progresse entre les reins de la jeune femme.
Anne subit cette première sans rechigner, offrant à son amant ce qu'elle a toujours, et malgré ses nombreuses demandes, refusé à son époux. C'est elle-même qui demande à Jacques :
- Enlève-le ! Remplace-le par ta bitte !
Si son intention était bel et bien de prendre ce petit trou, Jacques est pourtant surpris que cette demande vienne d'Anne et, en plus, aussi rapidement ! Ravi, il ressort l'engin, se positionne contre le petit œillet et, lentement mais sûrement, prend à son tour possession de ce cul particulièrement serré.
- Ça va ? Tu n'as pas trop mal ?
- Non...
Rassuré, il appuie un peu plus, s'enfonçant plus rapidement. Après quelques minutes, il lui annonce :
- Ça y est ! Je suis tout entier dans ton derrière. Ça va toujours ?
- Oui... ça fait bizarre mais... c'est pas désagréable...
C'est à ce moment que Jacques distingue la silhouette de Bernard dans l'entrebâillement de la porte. Un petit signe entre les deux hommes et, s'emparant à nouveau du gode, il l'introduit dans le sexe de sa maitresse et le fait aller et venir, ne tardant pas à faire gémir la belle.
- C'est bon ça, hein ?
- Hum... oui... vas-y... j'aime comme ça...
- Tu imagines deux mecs pour toi toute seule ? Quel pied tu prendrais...
- Oh oui... deux belles bittes... une dans chaque trou... ah Jacques... tu me rends folle !!!
Levant les yeux, il voit que Bernard s'est mis nu. Son érection ne laisse aucun doute sur son excitation. Il s'approche du couple et, sans lui laisser le temps de réagir, roule une pelle à sa femme tout en empoignant un sein.
- Mais ? Qu'est-ce que...
La pauvre Anne se trouve littéralement paniquée devant l'arrivée de son mari. Ses yeux s'emplissent de larmes et elle tente de se libérer de l'emprise de Jacques qui, le plus tranquillement du monde, poursuit ses va et vient.
- Ainsi donc, ma petite femme adorée se fait reluire par le voisin et, en plus, elle en redemande !
- Bernard, je t'en prie... ce n'est pas ce que tu crois... oh mon dieu...
- Laisse-le où il est et viens plutôt, répond-il en s'allongeant.
Lui prenant le poignet, il l'attire contre elle et, tenant son sexe à la verticale, la fait s'empaler. Quelques coups de reins suffisent pour que l'excitation prenne le dessus sur la peur et les gémissements de la jeune femme résonnent bientôt à nouveau.
- Quelle salope ! T'es vraiment une sacrée cochonne ! Jacques, vient donc exaucer son vœu ! Encule-la !
Jacques ne se le fait pas répéter et il retrouve avec joie le chemin si serré dans lequel il s'enfonce avec le même plaisir.
- Alors ma chérie ? Tu es contente ? Tu les as tes deux queues ?
- ...
- Réponds ! Tu aimes pas comme on te baise ?
- Si...
- Alors dis-le ! Mieux que ça !
- J'aime vous avoir tous les deux... vous sentir en moi...
- Si j'avais pu deviner quelle cochonne tu étais...
Les coups de reins des deux hommes ne tardent pas à amener leur partenaire au septième ciel et c'est presque en hurlant qu'elle jouit, plaquée contre le torse de Bernard, les queues de ses deux amants fichées dans ses orifices.
Son orgasme déclenche celui de Jacques qui sort des fesses et éjacule longuement, zébrant le dos de la belle de traînées blanchâtres. À son tour, Bernard se laisse aller. D'une dernier coup de boutoir, il s'enfonce dans le vagin de sa femme qu'il arrose abondamment dans un long râle.
Ils reprennent tous les trois leurs esprits, assis sur le lit. Anne a encore du mal à se rendre compte de la situation et ne sait que dire, ni que faire.
- Alors, à mon tour, j'ai rejoins je vaste camp des cocus...
- Pardon mon chéri... je ne sais pas ce qui m'a pris...
- Pardon, pardon.... c'est bien beau... d'autant plus que tu montrais avec Jacques une ardeur à laquelle tu ne pas pas habitué...
À ce moment, la sonnette de la porte d'entrée retentit.
- Vas donc ouvrir, ordonne Bernard à Anne
- Mais... laisse-moi au moins passer quelque chose...
- Pas la peine... dépêche-toi !
Vaincue, et n'ayant aucune envie de se mettre son mari un peu plus encore à dos, Anne se lève et quitte la chambre. Restés seuls, Bernard dit à Jacques :
- Voici l'heure de la dernière surprise... J'espère que tu es en forme...
Affolé, il reste un instant immobile, le sexe toujours fiché entre les fesses de Véro mais qui perd très rapidement de sa superbe et se retrouve éjecté. Il se relève, la queue entre les jambes et, les yeux baissés, n'ose regarder Jacques.
- "Je suis persuadé que ta femme serait heureuse de te savoir ici…
- S'il te plait… je ne sais pas ce qui nous a pris… on s'est trouvé face à face à la sortie du bureau et… comme un coup de folie…
- Ne raconte pas d'histoire. Véro m'a tout dit.
- Mais…"
Totalement paniqué, il ne sait quelle attitude adopter. D'autant plus que Jacques enfonce le clou :
- "Alors, comme ça, tu aimes, comme tu le dis si délicatement, enculer ma femme bien profond…
- Tu sais… c'est des paroles qu'on dit comme ça… sans réfléchir…
- Mais tu l'aimes ou non son cul ?
- Hein ?
- Ben, oui. Tu aimes la prendre par là ?
- Euh… oui…
- Qu'est-ce que tu attends pour continuer ?
- Pardon ?
- Tu n'as plus envie ?
- Mais …
- Chérie, viens donc l'aider à retrouver la forme."
Effaré, il regarde Véro le reprendre en bouche et s'appliquer à le sucer. Malgré la situation, son excitation reprend le dessus et il se retrouve à nouveau en érection. Satisfaite, elle reprend sa position et l'invite à la réinvestir. Un coup d'œil à Jacques qui le regarde en souriant et il se décide enfin et replonge dans l'étroit conduit. D'abord timides, ses coups de reins se font plus énergiques et les fesses de Véro claquent contre son pubis.
Jacques les regarde un instant puis, se mettant nu à son tour, prend place devant sa femme. Elle n'hésite pas, en voyant son sexe dressé à quelques centimètres de son visage, et, ouvrant les lèvres, l'accueille et le suce avec un plaisir non dissimulé. Il regarde son sexe aller et venir dans la bouche de sa femme, appréciant la virtuosité de la langue, la douceur des lèvres. Il la laisse ainsi se régaler puis décide de franchir un nouveau palier. S'allongeant sur le dos, il se glisse sous le corps de sa femme. Son sexe se retrouve à hauteur de celui de Véro. Bernard a deviné où il voulait en venir et a cessé tout mouvement. Il soulève un peu sa maîtresse, permettant à Jacques de prendre possession de la chatte. Enfin, ça y est ! Les deux orifices comblés, ils entament une nouvelle chevauchée, trouvant vite la bonne cadence.
Ainsi comblée, Véro jouit de leurs coups de boutoir puissants. Au début, il vont et viennent en elle alternativement mais bientôt les deux tiges la pénètrent simultanément, lui donnant l'impression d'être littéralement transpercée par les deux membres. Les soupirs, ahanements et autres gémissements résonnent dans la pièce. Les trois corps sont en nage et les respirations de plus en plus courtes.
Soudain, Véro sent monter en elle une déferlante de plaisir. Elle enfouit son visage dans le creux de l'épaule de son mari, ses mains passées dans le cou le maintiennent tout contre elle et elle connaît un orgasme fulgurant. Hurlant sa jouissance, elle tend ses fesses au devant des deux verges, comme si elle cherchait à les faire pénétrer toujours plus loin.
A leur tour, les deux hommes approchent du nirvana. Leurs coups de reins redoublent d'intensité. Le premier, Bernard, s'arque au plus profond des entrailles et dans un cri, se libère, ses jets arrosant copieusement le conduit anal. Jacques quant à lui résiste un peu plus longtemps puis cède à son tour, se déversant longuement dans le ventre de sa femme.
Épuisés, les trois partenaires reprennent leur souffle. Allongés côte à côte, ils semblent attendre que le cœur retrouve un rythme plus normal. Véro, la première, se relève et, presque en titubant, se sert un verre d'eau. Elle sent couler sur ses cuisses le sperme et sa propre mouille et décide d'aller prendre une douche.
Restés seuls, Bernard ne sait que dire. Jacques rompt le silence :
- "Je viens de passer un moment formidable.
- Moi aussi. J'avoue que tout à l'heure, tu m'as filé la frousse de ma vie… Tu sais depuis quand ?
- Depuis hier. Ça va te paraître idiot, mais j'ai envie de te remercier.
- Pourquoi cela ?"
Jaques lui raconte alors sa découverte et leur soirée d'hier.
- "Comme tu vois, grâce à son infidélité, j'ai redécouvert ma femme…
- A mon avis, elle avait envie que tu la découvres…
- Je pense aussi.
- En tout cas, tu es un sacré veinard !
- Pourquoi ?
- Moi aussi, j'aimerais vivre ce genre d'expérience avec Anne…Malheureusement, elle est un peu coincée de ce côté…
- Et s'il lui arrivait la même aventure qu'à Véro ?
- Tu serais d'accord pour essayer de la séduire ?
- Sans aucun problème, elle est plutôt charmante… par contre, je ne sais pas si elle me trouve à son goût…
- Elle m'a dit une dois qu'elle te trouvait du charme… je pense donc que de ce côté là, tu n'as pas à t'en faire.
- Je te propose d'essayer… on verra bien…
- Si tu veux un tuyau, en ce moment, notre ordinateur a des problèmes. Je peux lui dire que tu vas passer voir…
- Pourquoi pas ?"
Une poignée de main scelle cet accord juste au moment où Véronique les rejoint. Leur demandant la raison de cette entente, elle ne reçoit en réponse qu'un large sourire des deux hommes.
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