A trois


Dimanche 1 avril 7 01 /04 /Avr 16:18
De plus en plus dur pour la pauvre Véro...


C'en est trop pour elle qui éclate en sanglots, persuadée qu'elle est en train de perdre l'homme qu'elle n'a jamais cessé d'aimer. Il la regarde pleurer un moment puis demande :


- "Tu dois le revoir quand Bernard ?

- Il doit m'appeler au bureau demain… je lui dirai que c'est terminé, je te le jure !

- Pas du tout ! Au contraire, tu lui donneras rendez-vous ici… et débrouille-toi pour avoir ton après-midi libre.

- Quoi ? Tu veux que je continue de le voir ? Et ici ?

- Tu as bien compris. Ce n'est pas tout ça mais il est l'heure de dormir."


Le lendemain matin, Jacques est réveillé par l'odeur du café. Il se lève et retrouve son épouse qui se prépare à partir. Passant derrière elle, il soulève sa jupe et caresse les fesses. Brusquement, il tire sur le slip qui ne résiste pas. Véronique se retrouve cul nu mais avant qu'elle ne puisse dire un mot :


- "Désormais, tu t'en passeras !

- Tu n'es pas sérieux ?

- J'ai l'air de plaisanter ?"


Résignée, elle enjambe les lambeaux du sous-vêtement puis s'approche de son mari pour l'embrasser avant de partir. Le simple baiser se transforme en véritable patin et Jacques en profite pour glisser une main sur la fente. Il la caresse un peu et s'aperçoit que ses doigts ne la laissent pas indifférente. Cette constatation l'excite et, dans son caleçon, son membre se tend.

Il quitte la bouche de sa femme et lui dit :


- "T'es vraiment une cochonne… ta chatte est trempée…

- Tu y es un peu pour quelque chose, non ?

- Ce n'est pas plutôt la pensée de ton prochain rendez-vous qui t'excite ?

- Tu es sûr de le vouloir ?

- Plus que jamais ! En attendant, tu as bien 5 minutes ?

- Pourquoi ?"


Sans répondre, il lui fait prendre appui sur la table et, s'installant derrière elle, relève sa jupe puis, libérant son sexe, l'appuie sur la fente. Véronique se cambre, écarte les jambes, il s'enfonce en elle et entreprend de la baiser avec fougue. Rapidement, l'orgasme les saisit tous les deux.

Il se retire, s'agenouille et regarde sa fente béante d'où coulent des filets de sperme et de mouille.


- "Ne bouge pas, je vais te nettoyer !"


Sa langue la lèche, offrant par la même occasion des frissons à son épouse. Lorsqu'il estime que son sexe est propre, il se relève et l'embrasse à nouveau, lui faisant partager le goût du mélange de leurs jus. Sur ce dernier baiser, elle le quitte et part au travail.


Resté seul, il boit un grand bol de café puis file prendre une douche sans cesser de penser à la surprise qu'il réserve à son voisin.


Dans la matinée, il appelle Véronique au bureau :


- "Tu as des nouvelles ?

- Il vient de m'appeler. C'est confirmé pour ce midi. Euh… tu seras là ?

- Oui, restez dans le salon, si possible vers le canapé. Je ne serai pas loin mais vous ne pourrez pas me voir… enfin, pas tout de suite…

- Je peux te demander quelque chose ?

- Vas-y toujours !

- Tu n'as pas l'intention de… le cogner.

- Tu te souviens de cette nuit ?

- Bien sûr !

- Tu peux donc être rassurée. Allez, je te laisse !

- Je t'aime !

- A tout à l'heure."


Midi approche. Jacques est de plus en plus excité à l'idée de retrouver sa femme et surtout de la voir dans les bras de son amant. Depuis hier soir, il a pris conscience qu'elle partage ses fantasmes et il est de plus en plus persuadé que son récit a été écrit intentionnellement, dans l'unique but de le lui faire savoir.


Enfin, il entend une voiture puis deux portières claquer. Il se cache dans le placard, totalement invisible, il a une vue sur pratiquement toute la pièce, en particulier le canapé.

Deux minutes plus tard, ils entrent dans la salle, s'enlacent et échangent un long baiser, les mains de Bernard caressant le dos de Véro. Elle l'invite à s'asseoir et lui demande s'il désire boire quelque chose :


- "Et comment ! Je meurs d'envie de boire à ta petite source d'amour. Reste-là !"


Il la prend par la main et l'installe face à lui. Ses mains remontent les cuisses et atteignent la fourche :


- "Je rêve ! Tu n'as pas de slip ?

- Je l'ai enlevé juste avant que tu arrives, ment-elle.

- Quelle excellente idée !"


Il relève la jupe et regarde un instant le sexe nu avant d'y plonger le visage et de lécher l'intimité. Ses mains caressent les fesses puis remontent sur le ventre, déboutonnant le chemisier, et prennent possession de la poitrine.

Les gémissements de Véronique emplissent la pièce, l'encourageant dans ses caresses. Après quelques minutes, il abandonne le sexe et, se levant, lui embrasse à nouveau la bouche. Ses mains ne restent pas inactives et il réussit à la mettre totalement nue. Il se détache d'elle, la regarde et dit :


- "Tu es vraiment superbe ! A ton tour de me mettre à poil !"


Elle ôte un à un les boutons de sa chemise, puis la ceinture et il se retrouve en slip. Slip déformé par une bosse prometteuse qu'elle ne se prive pas de flatter.


- "Je veux ta bouche !"


A genoux, elle le libère et l'avale jusqu'à la racine. Jacques regarde la joue de sa femme déformée par l'engin qu'elle suce avec gourmandise, encouragée par son amant :


- "Oh, oui… c'est bon… t'es vraiment une pipeuse hors pair ! Vas-y ! Après je te le mettrai dans ton cul de salope…"


"Quel poète !", pense Jacques qui sent monter en lui l'excitation à la vision de ce spectacle.


La fellation ne dure pas. Bernard fait se relever sa maîtresse puis, s'asseyant, l'attire sur lui. Tenant sa verge dressée, il la présente à l'entrée du vagin et l'empale sur lui. Lorsque ses bourses butent contre le sexe de Véro, il la fait monter et descendre, d'abord assez lentement puis de plus en plus rapidement, entrant et sortant dans un bruit de clapotis qui trahit l'état d'excitation de la femme.

Très vite, il lui offre un premier orgasme. Elle ne fait rien pour taire son plaisir et jouit dans un long feulement. Bernard continue ses va et vient puis sort d'elle et la fait mettre à quatre pattes, les reins cambrés, les jambes écartées. Il se penche et embrasse longuement son cul avant d'y introduire un doigt qu'il fait aller et venir. Le doigt est très vite remplacé par son sexe et il pénètre sans peine le cul de Véro qui l'accueille dans un râle. Ses coups de reins sont puissants et à nouveau il commente sa sodomie :


- "Tu l'aimes, hein, ma grosse bite dans ton cul ?

- Oui… continue… c'est bon…

- Sûr que je vais continuer… j'adore t'enculer bien profond… tu vas voir, je vais te l'inonder ton petit trou…"


C'est le moment que choisit Jacques pour sortir de sa cachette. S'approchant en silence, il parvient à rejoindre le couple sans qu'aucun des deux partenaires ne le remarque. Il pose alors une main sur l'épaule de Bernard et dit :


- "Vous avez le bonjour du cocu !"


@ suivre... sans doute...
Ecrire un commentaire
Voir les 6 commentaires

Jeudi 29 mars 4 29 /03 /Mars 16:29
Ça se corse...


Le trio revient à la maison. Sitôt la porte franchie, Jacques ôte le vêtement de sa femme et, se tournant vers leur invité :


- "Au naturel, ça te plait aussi ?

- Il faudrait être difficile !

- Véro, vas chercher à boire et rejoins-nous au salon."


Ils s'installent tous les deux dans le canapé. Jacques explique à Marc que ce soir sa femme fera ce qu'il lui demandera et qu'il peut donc en profiter. À son retour, Véronique sert trois verres et, à l'invitation de Marc, s'assied entre eux deux.


- "Tu sais que tu es vraiment bandante !

- Le mieux serait de lui montrer, tu ne penses pas ?"


Marc se lève et se débarrasse de son pantalon, une bosse déforme son slip et il demande :


- "Enlève-le !"


Elle tend les bras afin de saisir le sous-vêtement mais il l'interrompt :


- "Je préfère que tu le fasses avec tes dents."


Elle se tourne vers son mari, constate qu'il la regarde en souriant et se décide à obéir. Son visage se retrouve à quelques centimètres du bas-ventre. Elle avance encore et saisit le tissu entre ses dents. Lentement, elle le fait glisser vers le bas. Elle est obligée de l'écarter car la raideur de Marc empêche le slip de descendre. La verge lui saute pratiquement au visage, assez impressionnante, tant par sa longueur que son diamètre.


- "Tu disais tout à l'heure que tu voulais la caresser… je t'en prie !"


Timidement, elle s'empare du membre et entame quelques va et vient sur la hampe, la faisant durcir encore un peu. Marc l'encourage et rapidement, toute crainte oubliée, elle le masturbe plus franchement, n'hésitant ni à griffer les bourses qu'elle devine gonflées, ni à titiller le méat. Les gémissements lui montrent, s'il en était besoin, qu'il apprécie ses caresses. Il la laisse faire quelques minutes puis retourne sur le canapé et lui fait signe d'approcher. Sachant très bien ce qu'il désire, Véronique se retrouve à quatre pattes entre les cuisses musclées. Elle reprend ses caresses puis, très vite, pose les lèvres sur le gland qu'elle embrasse longuement avant d'engloutir lentement la totalité du bâton de chair. Sous les yeux de son mari, elle fait aller et venir la verge avec une voracité qu'il ne lui connaissait pas.

À nouveau, Marc décide de changer de position. Lui faisant appuyer les mains sur le canapé, il se place derrière elle et lui caresse la fente de son gland. Réagissant immédiatement, Véronique se cambre, tendant son sexe au devant du gland qui lui procure tant de sensations, mourant d'envie de le sentir enfin en elle. C'est sans compter sur la patience de son partenaire qui réussit à empêcher la pénétration à chaque fois. Au contraire, il abandonne la vulve et, remontant légèrement, pointe sa queue au centre des fesses. Il appuie légèrement, testant la résistance du sphincter. Sentant Véronique se crisper, il décide de ne rien brusquer. Il revient poser son membre à l'entrée de la grotte plus accueillante et, d'un puissant coup de rein, s'enfonce totalement en elle, accueilli par un long râle. Il reste fiché dans son vagin quelques secondes puis entreprend une longue série de va et vient, rythmés par les gémissements de sa partenaire qui, oubliant toute retenue, exprime bruyamment son plaisir.

Jacques ne quitte pas des yeux le spectacle de sa femme en train de se faire fougueusement limer par Marc. Son érection lui fait presque mal. Il prend la place qu'occupait Marc auparavant et présente son sexe à la bouche de sa femme qui, sans hésiter, le gobe et lui offre une superbe fellation.

Sous les coups de reins de Marc, Jacques s'enfonce totalement et Véronique, par deux fois, est au bord de la suffocation mais elle s'emploie à ne pas le lâcher et resserre même un peu plus les lèvres autour de lui.

Ses caresses ne tardent pas à venir à bout de la résistance de son mari ; elle sent contre son palais les soubresauts de sa verge puis, très vite, un premier jet vient s'écraser contre son palais. Pour la toute première fois, elle avale le sperme de son mari, prenant même soin de ne pas en perdre une goutte, avec beaucoup de mal d'ailleurs tant l'éjaculation est puissante. Elle le garde en elle jusqu'à ce qu'il débande, le nettoyant avec sa langue.

Derrière elle, Marc la pilonne toujours aussi régulièrement est à son tour, elle sent les prémices de l'orgasme. Les yeux fermés, elle se concentre sur son plaisir et ne tarde pas à éclater en criant. Ses muscles intimes contractent la verge de son amant, déclenchant son orgasme, il sort de son vagin et son sperme arrose ses fesses et son dos de traînées blanchâtres.

Sans douceur, il la fait se retourner et la force à le nettoyer à son tour, ce que Véronique accepte sans hésitation.


Les trois partenaires marquent une pause en dégustant un autre verre puis Jacques demande à sa femme d'aller dans leur chambre chercher le tube de vaseline. Devant son étonnement, il répond simplement :


- "Il est dans le tiroir de ma table de nuit."


Quelques minutes plus tard, elle réapparaît, tenant dans ses mains la vaseline qu'elle lui tend. La faisant s'allonger sur la table basse du salon, il demande à Marc de lui relever les jambes. Il dépose une noix du lubrifiant sur sa rondelle qu'il masse lentement, faisant peu à peu pénétrer son doigt qu'il fait aller et venir pour assouplir le muscle. Un second puis bientôt un troisième doigt la fouillent alors un peu avant qu'il ne se mette face à elle, le sexe à l'entrée de ce cul qu'il désire depuis si longtemps.

Au début crispée, Véronique se détend peu à peu et apprécie finalement ces caresses. Caresses qui ne durent pas car Jacques sort ses doigts et vient apppuyer son gland contre l'anneau. Il pousse et, assez facilement, s'enfonce avec délice dans ce conduit qu'il découvre. Lorsqu'il est tout en elle, il ressort presque entièrement avant de la réinvestir d'une seule et ferme poussée, lui arrachant un cri. Les mains fermement agrippées aux hanches, il va et vient presque brutalement, leurs deux corps claquant l'un contre l'autre, et ne peut s'empêcher de lui crier :


- "Tu l'aimes, hein, ma bitte dans ton cul de salope ?

- Oui… c'est bon…

- Quand je pense que tu me l'as si longtemps refusé et que c'est l'autre con qui en a eu la primeur…

- N'y pense plus ! Prends-moi bien à fond ! Oh, Oui… comme ça…c'est bon !"


Marc, les regarde puis se penche vers Véronique et lui roule un long patin, non sans lui caresser la poitrine. Une main passée derrière sa nuque, elle le retient contre lui tandis que son autre main descend sur le ventre et s'empare de son sexe qu'elle caresse doucement. Elle le fait ensuite venir sur elle et, pressant la verge entre ses seins, lui administre une magnifique cravate de notaire, en profitant parfois pour déposer un baiser sur le gland qui dépasse. Sous ce doux supplice, Marc retrouve une superbe érection et elle l'embouche alors, se régalant de cette masse de chair bien dure.


Cette nouvelle séance dure ainsi une dizaine de minutes puis Jacques propose à Marc d'échanger leur place. Ce dernier ne se fait pas prier et sa queue ne tarde pas à s'enfoncer dans les entrailles de Véronique dont un rictus déforme la bouche, son sexe étant sensiblement plus imposant que celui de son mari.

Il parvient néanmoins à ses fins et, à son tour, la sodomise à grands coups de reins. La douleur a fait place au plaisir et elle ne tarde pas à gémir de bonheur sous cette nouvelle sodomie. Contrairement à Marc, Jacques s'est installé à côté de sa femme et peut donc à loisir admirer le membre qui va et vient dans le fondement de sa chérie. Il pose une main sur la chatte trempée et titille le bouton, faisant bondir Véro comme sous le coup de décharges électriques. Elle a tourné la tête et le suce mais a bien du mal à ne pas le laisser échapper tant les ondes de plaisir qui la parcourent l'empêchent de se concentrer. Bientôt, elle renonce à cette fellation, se contentant de le branler pendant que, les yeux clos, le corps en nage, elle s'enfonce dans le plaisir.


Marc les quitte vers deux heures du matin, repu et heureux de cette soirée. Après une douche, les voici au lit, Véronique demande à son mari :


- "Ça t'a plu ?

- Oui…

- Je suis pardonnée ?

- On n'en est pas encore là."

La suite selon vos comm !!!
Ecrire un commentaire
Voir les 4 commentaires

Flux

  • Flux RSS des articles

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés