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Timidement, je prends le bâton de chair de Marc en main et fais quelques va et vient. Je me surprends à en apprécier le contact. Son sexe est chaud, dur et doux à la fois et je prends plaisir à le masturber. Mon ami, à son tour, pose un main sur mon sexe qu'il flatte du bout des doigts, de la base au gland. Peu à peu, nos deux sexes se redressent sous nos caresses, pour le plus grand plaisir de ma femme :
- Vous voyez vous aimez ça, vous branler... allez-y mes petits chéris ! Branlez-vous !
Nos gestes sont maintenant plus francs, plus appuyés aussi et nous nous masturbons sans plus aucune retenue, y trouvant vite un plaisir insoupçonné.
Marc, m'allonge sur le dos, me chevauche et nous nous retrouvons en 69. Au-dessus de mon visage, les couilles de mon pote et sa queue tendue m'attirent irrésistiblement et, sans réfléchir une seconde, j'y pose les lèvres et embrasse les deux boules et la tige. Très vite, je gobe le gland et la bitte de Marc coulisse entre mes lèvres. Un gémissement m'encourage et je prends un vif plaisir à lui offrir ma première fellation.
Je sens à mon tour son souffle sur ma queue puis la chaleur de ses lèvres qui se referment sur moi. Cette fois, Léa est aux anges !
- Qu'est-ce que vous êtes mignons ainsi !!! Allez-y ! Pompez-vous la bitte ! Vous êtes excitants !!!
Les bruits de succion résonnent dans le salon, bientôt rejoints par les gémissements de mon amour qui, visiblement, se fait du bien toute seule.
Notre duo dure ainsi de longues minutes, jusqu'à ce que ma chérie, à priori en manque de caresses, ne le désunisse :
- Allez, à mon tour de jouer un peu !
Elle fait signe à Marc de se relever puis, d'un trait, vient s'empaler sur moi. Prenant appui sur mon torse, elle monte et descend, alternant va et vient rapides et pénétration plus lentes. Marc a saisi ses seins et la pelote, puis se penche sur elle et l'embrasse longuement.
Puis, excitée comme jamais, Léa fait s'allonger Marc et, m'abandonnant, s'empale sur lui, dans un long gémissement. Elle le chevauche quelques minutes avant de m'appeler :
- Mon amour, viens ! J'ai envie de vous sentir tous les deux en moi !
Comment résister à une telle demande ?
Je les rejoins ; Marc attire ma chérie contre lui et lui écarte les fesses, m'offrant son petit trou. J'appuie un peu et m'enfonce sans difficulté dans les reins de Léa. Lorsque nos corps se touchent, je reste immobile, la laissant s'habituer à ma présence puis, lentement, ressors avant de la réinvestir d'un poussée plus puissante.
Ce dernier coup de rein semble la déchainer, c'est presque en hurlant qu'elle nous intime l'ordre de la baiser « tous les deux bien fond » !
Marc et moi trouvons rapidement la cadence idéale et Léa reçoit nos coups de boutoir avec des gémissements, des cris, qui vont crescendo. Jamais je ne l'ai vue dans un tel état !
- Ah.... oui... salauds... vous me défoncez... je vais jouir... baisez-moi encore... ça y est... je viens... je jouis... aaahhhh !!
Malgré ce nouvel orgasme, nous ne ralentissons pas et poursuivons au contraire notre chevauchée de manière encore plus violente. Les fesses de ma chérie claquent contre mon bas-ventre ; ses seins ballotent, sa chatte, sans aucun doute ruisselante, fait des flocs aussi obscènes qu'excitants.
Nous la prenons ainsi de longues minutes puis, le premier, je sens le plaisir me submerger. D'un dernier coup de reins, je me fiche au fond d'elle et me répands longuement, dans un râle. Marc n'attendait-il que ce signal ? Il jouit à son tour, ayant à peine le temps de quitter le doux refuge pour exploser sur le ventre et les seins de Léa.
Ma belle, vaincue, s'effondre contre le torse de son amant, son cœur bat à tout rompre, les yeux mi-clos, elle semble presque ailleurs, dans un autre monde.
Lentement, je me relève et file boire une longue gorgée d'eau. Je suis en nage ! Je reviens vers le couple et constate qu'eux aussi ruissellent de sueur. Ma chérie me regarde et tend la main, quémandant la bouteille. Elle se redresse pour boire à son tour avant de la tendre à Marc.
Cela fait maintenant deux heures que notre soirée amicale s'est transformée en partie de jambes en l'air. Léa demande à notre hôte si elle peut aller prendre une douche et nous abandonne, Marc et moi, sagement assis dans le canapé.
- Si on m'avait dit...
- Et moi donc ! Jamais je n'aurais cru que Léa soit capable de la faire...
- Jamais je n'aurais cru non plus que je sucerais un mec...
- Tu as aimé ?
- Beaucoup et toi ?
- Hum... oui...
- J'aurais même bien voulu aller plus loin...
- Tu veux dire que tu aurais voulu que je t'encule ?
- T'aurais accepté ?
- Je pense, oui
- et maintenant ?
- Maintenant quoi ?
- Tu veux le faire ?
- Euh... laisse-moi reprendre un peu de force...
J'ai à peine terminé ma phrase que Marc pose la main sur mon sexe et le caresse.
- J'aime bien ta bitte... elle est douce... tu aimes ma main sur toi ?
- Oui...
- Je vois !
Effectivement, sous ses doigts, mon sexe réagit et grossit à nouveau. Encouragé, il remplace ses doigts par sa bouche et, de retour de la salle de bains, Léa nous découvre, moi allongé par terre, lui à genoux entre mes cuisses, ma bitte dans la bouche.
Sa position me permet un accès aux fesses de ma chérie ; je m'empare des deux globes que je masse, insinuant un doigt curieux dans l'étroite vallée qui les sépare. J'y découvre avec ravissement le petit anneau, tout serré, sur lequel j'appuie légèrement, en testant l'élasticité. Mon amour tend les fesses, va au devant de mes caresses, m'encourageant à les poursuivre, à les accentuer.
Mon autre main se pose sur son minou et je la masturbe franchement, alternant caresses sur le bouton et pénétration de deux doigts.
À mon invitation, Léa s'agenouille face à Marc et écarte largement les jambes. Je m'installe derrière elle, appuie mon gland contre sa grotte et m'enfonce lentement en elle, accueilli par un soupir étouffé par la queue de notre ami.
Pour la première fois, ma chérie se retrouve ainsi, deux orifices pris en même temps. Je la lime doucement, lui permettant ainsi de continuer à s'occuper du sexe de notre ami, pour le plus grand plaisir de ce dernier.
D'un pouce curieux, j'explore son fondement, allant et venant au même rythme que ma queue dans son vagin.
Je jette un coup d'œil vers Marc qui, d'un signe, m'indique qu'il apprécie à sa juste valeur la fellation que lui offre Léa. Connaissant le coup de ma chérie pour cette pratique, ainsi que son savoir en la matière, je le crois sur parole !!
Je lui demande s'il désire que nous intervertissions les rôles et c'est ainsi que ma chérie accueille les sexe de notre hôte dans sa grotte par un long "hum" de plaisir avant de m'avaler et de me faire profiter à mon tour de ses dons de pipeuse.
Mes mains s'emparent de ses seins que je pelote, par moments avec douceur, parfois avec plus de vigueur, n'hésitant pas à pincer et étirer les tétons, faisant gémir ma petite chérie.
Les coups de reins de Marc propulsant ma belle contre mon bas -ventre et elle a de plus en plus de difficulté à rester concentrée sur sa fellation. Je lui relève donc la tête et, avec un sourire, lui dit :
- Laisse-toi aller ma chérie !
- Hum... oui... c'est bon...
- Tu aimes la bitte de Marc dans ta chatte ?
- Oui... il me baise bien... mon chéri... je suis une salope...
- Oh oui mon amour... une jolie salope qui se fait prendre devant son mari... et qui adore ça !
- Tu as raison... j'adore sa grosse queue !
Léa doit être terriblement excitée pour parler de la sorte, elle qui d'ordinaire n'est guère loquace dans les moments intimes.
Marc, qui se retenait un peu, se déchaîne maintenant et je regarde ma chérie se faire défoncer à grand coups de queue, encourageant son amant par ses gémissements et ses cris.
Après de longues minutes, notre ami ne parvient plus à se retenir. Il sort sa queue et ses jets fusent, zébrant le dos de Léa de longues trainées blanchâtres. Comme si elle n'attendait que sa jouissance, ma chérie, dans un nouveau cri, parvient une nouvelle fois au nirvana.
Je prends sans attendre la place de Marc et réinvestit le sexe de ma chérie. Quelques va et vient suffisent à me faire connaître le plaisir et c'est planté au plus profond d'elle que je jouis, me déversant dans sa grotte d'amour.
Nous faisons une seconde pause, arrosée d'une nouvelle coupe de champagne et d'une cigarette. Marc, une nouvelle fois, nous remercie pour cette soirée, pour ce cadeau de Léa dont il révèle avoir si soudain rêvé, qui a maintes fois alimenter ses fantasmes.
- Tu veux dire que tu t'es branlé en pensant à moi ?
- Oh oui ! Et plus d'une fois !
- Et tu imaginais quoi ? Moi toute nue ?
- Euh, oui... et aussi que je faisais avec toi ce qu'on vient de faire...
- Et la réalité n'est pas trop décevante ?
- Tu veux rire ! C'est au delà de mes espoirs les plus fous !!
- Merci...
Tendrement, elle se penche sur lui et l'embrasse une nouvelle fois.
- J'aimerais moi aussi concrétiser un vieux fantasme...
- Ah oui ma chérie ? Lequel ?
- Voir deux mecs se faire du bien.
Marc et moi nous regardons, surpris par cette demande.
J'apprécie, et ma chérie le sait, qu'elle me titille l'anus pendant qu'elle me suce ; elle connait aussi le plaisir que je prends à lui rouler un patin lorsque je viens juste de lui arroser la bouche mais quand même !
Marc semble tout aussi perplexe que moi et, le premier, demande à Léa de préciser ce qu'elle veut dire par "se faire du bien"
- Vous caressez, vous embrassez... ce que vous avez envie quoi !
- Et si on n'a envie de rien ensemble ?
- Je suis certaine que ce n'est pas le cas... je me trompe ?
-Euh... pour ma part... une fois... avec un pote de lycée... on a joué à touche pipi...
- T'a s aimé ?
-Euh... c'était pas désagréable...
- Donc pas de problème ! Et toi, mon chéri, ose me dire que tu n'as pas envie de caresser la bitte de Marc !
- Pourquoi pas ?
- Dans ce cas, je m'installe et je vous regarde !
Elle s'assied dans le canapé, sa coupe à la main, rallume une clope et nous regarde en souriant, visiblement très amusée par la situation.
@ suivre...
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