A trois


Vendredi 2 mars 5 02 /03 /Mars 10:00

Elle ne répond rien. Il glisse alors un doigt sous l'élastique du slip et le fait lentement glisser, dévoilant les fesses.

Parvenu à ses pieds, d'un geste tout à fait naturel, Léa l'enjambe et s'en débarrasse. Maintenant, faire marche arrière se complique sérieusement !

Marc pose ses deux mains sur les fesses et concentre ses caresses sur les deux globes. Puis, ne pouvant résister, il les remplace par sa bouche et embrasse le cul de ma femme, sous mes yeux excités.

Ses mains ne restent pas inactives ; elles remontent sur le dos, passent sur le ventre, ôtant les boutons du chemisier au fur et à mesure de leur progression. Enfin, elles atteignent la poitrine, emprisonnée dans son écrin de dentelle. Plus pour longtemps car pendant qu'une flatte les seins, l'autre dégrafe le sous-vêtement.

Ma femme est désormais pratiquement nue, offerte aux caresses et baisers de Marc qui ne semble pas vouloir, pour l'instant, délaisser son adorable postérieur.

Je me lève, m'approche de ma chérie et fait glisser le chemisier le long de ses épaules, achevant ainsi de la dénuder. Nous échangeons un long baiser puis ma bouche, abandonnant la sienne, se pose sur sa poitrine que j'embrasse doucement, m'attardant sur les aréoles grumeleuses et les tétons durcis par l'excitation.



- Allonge-toi sur le canapé !



Léa s'installe sur le dos, les bras le long du corps, dans un posture somme toute sage. Notre ami découvre alors avec ravissement le côté face de ma chérie. Il reste quelques instants immobile, les yeux allant des seins tendus à la fente à peine voilée par une toison taillée très ras.



- Tu es magnifique ma chère Léa ! Tu as un corps qui est fait pour l'amour !



Il s'agenouille, dépose de légers bisous sur le front de Léa, sur ses joues et, enfin, sur ses lèvres. Ma femme ne refuse pas et ils échangent un premier baiser. Puis, il embrasse le cou, les épaules et atteint la poitrine sur laquelle il s'attarde.

Une de ses mains caresse le ventre, effleure le mont de Vénus sans toutefois insister.

Je les regarde tout en parcourant du bout des doigts les jambes de ma chérie, des mollets au haut des cuisses qui, peu à peu s'écartent, livrant sans plus aucune retenue sa chatte.

Marc s'installe alors face à elle, entre ses jambes et, se penchant explore, du bout de la langue, la fente maintenant ouverte. Cette caresse procure à Léa une décharge et elle pousse un petit cri de plaisir quand son amant, il faut bien l'appeler ainsi désormais, insiste un peu sur son bouton.

Je remplace Marc et m'occupe des seins de ma femme, les pelotant, en agaçant les bouts, les mordillant ou leur donnant de doux coups de langue.



Ainsi livrée à nos mains et bouches, ma petite puce ne tarde pas à sentit monter en elle les prémices du plaisir :



- C'est trop bon... ah, les gars... vous me faites mourir... je vais... oh oui... je...



Elle ne peut terminer. Les mains maintenant la tête de Marc plaquée contre son sexe, son corps se tend et, les yeux révulsés, la bouche grande ouverte, elle succombe à son premier orgasme.

Elle retombe ensuite, inerte, reprenant lentement son souffle pendant que Marc et moi la regardons, la trouvant magnifique dans le plaisir.

Après quelques minutes, elle rouvre les yeux, nous regarde à tour de rôle et nous sourit :



- C'était... pardonne-moi mon chéri mais j'ai joui comme jamais !!

- Je ne t'en veux pas... tu es si belle quand tu prends ton pied...

- Tout ça m'a donné soif... Marc, tu veux bien m'offrir un verre ?

- Comment te refuser cela ?



Il se lève et revient avec la bouteille et nos 3 verres.



- Je propose de trinquer à cette soirée !

- à nos amours !

- euh... à mes amants !!



Nous dégustons notre verre puis ma chérie, décidément en forme ce soir, fait remarquer qu'elle est la seule à ne plus rien avoir sur le dos. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, Marc et moi nous débarrassons de nos vêtements et c'est nus tous les trois que nous nous rasseyons, Léa entre ses deux chevaliers servants.

Bien vite, la coquine pose son verre vide puis ses mains sur nos jambes. Elle nous caresse doucement, presque négligemment, allant du milieu de nos cuisses à la base de nos sexes. Ceux-ci, dont la tension était quelque peu retombée, retrouvent rapidement une raideur maximale et Léa joue à les agacer, titillant notre tige du bout des ongles, l'abandonnant bien vite pour griffer nos bourses, puis nos cuisses, avant d'y revenir, nous maintenant dans un état d'excitation indescriptible.

Marc et moi, aux anges, la laissons faire, les jambes largement écartées, complètement à sa merci. Elle nous caresse de longues minutes, alternant effleurement et caresses plus appuyées.

Après ce petit jeu, Léa me délaisse, se penche vers notre hôte et, après lui avoir roulé une pelle, descend vers son ventre, embrassant, comme il le lui a fait tout à l'heure, sa poitrine, non sans s'attarder quelque peu sur les tétons, eux aussi en érection. Elle délaisse tout d'abord le membre et s'attarde sur les couilles, qu'elle honore de légers baisers. Enfin, les premiers coups de langue laissent leur trace humide sur la tige dressée et tirent des soupirs de bonheur à Marc.

 

@ suivre...

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Mercredi 28 février 3 28 /02 /Fév 15:41
Allez, je vous ai fait assez attendre... La voici cette nouvelle histoire...

- Mais tu ne te mets jamais en maillot de bain ? Même à la plage ?

- Non.

- Ma petite femme a honte de son corps...

- Honte, n'exagère pas ! Mais avoue que comme spectacle, il y a mieux !

- Mais tu crois que les gens passent leur temps à mater ? Crois-moi, j'en ai vu des femmes en maillot, des boudins de première, parfois même en bikini, voire à poil ! Eh bien, personne ne paraît choqué... en plus, permets-moi de te le dire : tu es vraiment très loin, mais alors très très loin d'être moche !

- Je te remercie.


La conversation s'arrête là. Léa n'a visiblement guère envie de s'attarder sur le sujet et, la connaissant, je sens qu'il n'en faudrait pas plus pour qu'elle s'énerve.


Nous continuons à déguster notre coupe de champagne, sagement installés dans le canapé de Marc, notre meilleur ami, qui, ce soir, nous reçoit à dîner pour fêter sa promotion. Le repas s'est déroulé comme d'habitude dans une excellente ambiance et je n'ai pas du tout envie que cela dégénère. C'est pourquoi, d'un léger clignement de paupières, je fais signe à notre hôte de ne pas insister.


Celui-ci, pourtant, ne semble pas vouloir tenir compte de mon avertissement :


- Moi, j'adorerais te voir en petite tenue...


Sa remarque ne rencontre aucun écho. Léa lui jette un regard quelque peu surpris et je crains fort, à ce moment, que notre soirée parvienne à son terme plus tôt que prévu !

S'il est vrai qu'entre nous, les conversations sont toujours très libres, les blagues coquines courantes, c'est la première fois qu'il ose une remarque aussi directe.


- Ben, tiens donc ! Rien que ça !

- Euh... pas que ça non... mais ce serait déjà pas mal...

- Tu l'entends Pat ? Tu en penses quoi ?

- J'en pense que Marc est plutôt culotté... de souhaiter te voir déculottée...

- Comme tu dis...


Un silence suit cet échange. Visiblement, et contrairement à ce que je craignais, Léa ne montre pas de réel signe de colère.

Je sais qu'elle trouve notre ami beau gosse et elle est sans doute plus flattée que fâchée de sa remarque. Je me demande pourtant comment va se poursuivre cette soirée et si Marc n'est pas allé trop loin. D'autant que ce dernier en remet une couche :


- Tu te mettrais en maillot pour moi ?

- Quelle question ! ... je n'en sais rien...


Ma chérie semble quelque peu troublée. Il s'en rend compte et insiste :


- Avoue que se montrer en maillot n'a jamais tué personne !

- Oui, bien sûr ! Mais enfin là, tu me proposes rien de moins que me dévoiler pour toi... m'exhiber quoi... ce qui n'est pas pareil que me mettre en maillot à la plage...

- C'est vrai... je te l'accorde... mais que crains-tu ? Patrice est là... je ne vais pas te violer...

- Il ne manquerait plus que ça !


Tiens, tiens... Marc a, volontairement j'en suis persuadé, abandonné le conditionnel pour le présent sans que Léa n'y trouve à redire. Et sans qu'elle ne s'oppose plus vivement à cette invitation.


- Tu sembles oublier une chose, mon cher ami... je n'ai pas ce genre de vêtement avec moi aujourd'hui...

- Maillot ou simple slip, la différence n'est pas énorme...

- Ben voyons ! D'abord en maillot de bain, maintenant en slip... la prochaine étape, c'est quoi ? À poil ????


Nouveau silence. L'ambiance est devenue plus lourde. J'ai l'impression que cette soirée, jusque là très amicale, pourrait devenir plus...

Comme paraît-il pas mal de maris, il m'est arrivé d'imaginer ma chérie avec un autre homme. Mais jamais nous n'en avons parlé et si Léa n'était plus vierge quand nous nous sommes rencontrés, j'ignore si elle partage ce genre de fantasme.


- Tu te lèves, tu baisses ton pantalon et tu nous montres tes fesses... ça ne t'engage tout de même pas à grand-chose...


Cette fois, les dés sont jetés !


- Alors ? Tu es chiche ?


Léa tourne la tête vers moi.


- Tu ne dis rien toi ?

- Que veux-tu que je dise ! Tu fais comme tu le sens ! Tu sais que je ne suis pas jaloux...

- Si c'est comme ça...


Elle hésite encore quelques courtes secondes puis se lève et se met au milieu du salon, dos à nous. Lentement, elle baisse son pantalon, dévoilant son slip.


- Superbe ! Descend-le encore un peu que je puisse admirer tes cuisses !

- T'es jamais content...


Malgré tout, elle baisse un peu plus le vêtement puis se décide à le lâcher.


- Comme disait Marielle : Ah nom de Dieu, quel cul ! !! Léa, tu as un derrière superbe !!

- Trop aimable !

- Approche-toi un peu !


Léa recule un peu. Les yeux rivés sur le postérieur de ma chérie, il lui demande en souriant :


- Tu vois ce n'est pas si compliqué que cela... ça te fait quoi d'être ainsi en slip devant moi ?

- En fait, pas grand-chose... je ne suis tout de même pas à poil...

- C'est vrai... dommage...

Il tend une main et effleure le haut d'une cuisse. Léa a un léger sursaut mais ne fait rien pour s'esquiver. Les doigts courent sur la jambe, du genou au pli des fesses, lui donnant la chair de poule.

Une seconde main se pose sur l'autre jambe. La respiration de Léa se fait un peu plus courte, un peu plus rapide, seul signe de son trouble. Je remarque pourtant que lorsque la main de notre ami tente de s'insinuer entre les jambes, celles-ci, presque imperceptiblement, s'écartent, juste assez pour ne pas le décourager, insuffisamment pour offrir l'accès à plus de privautés.

Cela dure quelques minutes, dans un silence total, donnant à la scène un côté particulièrement sensuel.



- C'est agréable ?

- ... oui...

- écarte un peu plus les jambes !



Léa obéit, lui offrant l'accès à son entrecuisse. Accès dont Marc profite aussitôt, envoyant une main flatter la fente ainsi livrée. Léa ne peut contenir un léger soupir et ouvre un peu plus le compas de ses jambes.



- J'ai envie d'admirer ton cul... nu...



Le début  vous plait ? Faites-le moi savoir avec un petit comm...
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