A trois

Mercredi 9 avril 3 09 /04 /Avr 13:21

La punition continue...

Suite des aventures de Claire

Il retourne caresser l'entrejambe, s'y attardant plus longuement et tirant un "hum" de plaisir à ma femme.

    - Tu aimes que je te caresse, hein ?
    - Hum... oui...
    - Écarte bien tes jambes ! Voilà, comme ça ! Tu veux que je te fasse jouir avec mes doigts ?
    - Oui...
    - Alors, demande-le moi...
    - Patrick... caresse-moi ! Oui... comme ça...

Dire que je suis excité en la regardant se faire caresser par notre ami et se comporter comme elle fait serait un doux euphémisme !

Patrick fait aller et venir le majeur dans la grotte ruisselante tandis que, de l'autre main, il reprend sa séance de fessée. Claire ne se gêne plus pour exprimer son plaisir :

    - Oh c'est bon ton doigt... enfonce-le bien ! Fouille-moi !
    - J'aurais pas cru que t'étais aussi chaude, ma belle.
    - C'est toi qui m'excite... vas-y ! Punis-moi ! Fesse mon cul en me branlant !

Patrick lui prodigue caresses et fessées pendant quelques minutes puis, la sentant au bord de l'orgasme, cesse tout mouvement, la laissant frustrée.

    - Pourquoi tu arrêtes ?
    - Lève-toi et mets-toi à poil !

Ma chérie se relève et se retrouve rapidement sans vêtement, offrant sa nudité sans aucune gêne. Patrick lâche un sifflement en découvrant son corps. Il s'empare d'un sein qu'il caresse avec tendresse avant d'en pincer le téton assez fort, tirant un "aïe". Il aventure de nouveau un doigt dans la fente, y fait quelques va et vient avant de le sortir et de l'approcher de la bouche de Claire.

    - Goûte ton jus ! Suce mon doigt !

Avec une moue des plus coquines, elle entrouvre les lèvres et fait aller et venir le doigt dans sa bouche.

    - Hum... si tu suces tout avec le même appétit... Marc doit se régaler.

Il s'approche d'elle, son visage à quelques centimètres de celui de Claire, se penche un peu et leurs lèvres se trouvent pour un baiser passionné. Quand ils se séparent, Patrick lui dit, je devrais plutôt dire lui ordonne :

    - Déshabille-moi ! Je vais t'offrir un sucre d'orge.

En prenant tout son temps, ma chérie ôte les habits de notre ami qui, après quelques minutes, est lui aussi dans le plus simple appareil. Je ne peux m'empêcher de regarder son sexe, fièrement dressé. Il semble un peu plus épais que le mien mais un peu moins long.

    - À genoux, coquine !

Claire ne se fait pas prier et s'accroupit face à lui, le visage à hauteur de la verge tendue. Elle la caresse un peu, soupèse et griffe les bourses avant de revenir sur la hampe. Elle y dépose ensuite de légers bisous sur toute la longueur de la colonne. Parvenue au gland, elle titille le méat, tirant de légers soupirs à son partenaire. Enfin, elle ouvre la bouche et fait coulisser le membre entre ses lèvres. Elle l'avale le plus loin qu'elle peut, à la limite de l'étouffement puis le fait ressortir, luisant de salive, avant de la gober à nouveau.

    - Oh, putain c'que t'es bonne ! N'arrête pas ! Pompe-moi bien à fond !

Ma chérie le suce ainsi de longues minutes puis Patrick la fait se relever et se pencher sur la table, en appui sur les coudes.

    - Tu sais ce que tu viens de faire ?
    - Oui... te sucer...
    - Et t'appelles ça comment ?

Ma chérie ne répond pas, visiblement déroutée par cette question pour le moins inattendue.

    - T'as trompé ton mari ! Et devant lui en plus !
    - Euh...
   - Marc, mon ami, je pense que cette petite gourgandine mérite que tu la punisses pour s'être comportée ainsi...
    - Effectivement. Je ne peux laisser un tel affront impuni. Tu en es bien consciente ?
    - C'est vrai. Je suis une salope... et j'accepte ton châtiment.
    - Parfait. Mon ami, venge-toi et fais donc rougir ce cul !

@ suivre... sans doute

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Mercredi 2 avril 3 02 /04 /Avr 13:35

Punie ? ou ravie ?

Découvrez aujourd'hui comment Claire se fait punir... mais est-ce vraiment une punition ?

        - Mais ça ne va pas non ?

C'est ainsi que Claire, ma charmante épouse, réagit à ma proposition de la voir sortir sans culotte.
Patrick, notre ami, chez qui nous passons l'après-midi, la regarde puis lui dit :

        - Une femme n'a pas à se soustraire aux désirs de son mari...
        - Écoutez-le, le macho ! On n'est plus au dix neuvième siècle... au cas où tu n'aurais pas remarqué...
        - C'est bien là le drame ! On ne peut même plus se faire obéir.

Connaissant notre ami, nous savons, ma femme et moi, qu'il ne pense pas un mot de ce qu'il affirme, bien au contraire. Claire, toutefois, décide d'entrer dans son jeu :

        - Manquerait plus que ça qu'on vous obéisse au doigt et à l'oeil !
      - Tu mériterais d'être châtiée pour un tel comportement...
        - Voyez-vous cela ? Et comment envisagerais-tu ce châtiment ?
        - Je pense qu'une bonne fessée pourrait te faire revenir à de meilleurs sentiments.
        - Rien que ça ?

Un silence suit leur discussion. Je n'ose intervenir, ne sachant jusqu'où les deux protagonistes, surtout ma chérie, désirent aller.

       - Et je présume que tu serais volontaire pour tenir le rôle du bourreau...
    - bourreau... voilà un bien grand mot... mais... oui... pourquoi pas ? Tu sais que je ne refuse jamais de rendre service.

Nouveau silence. Je regarde ma femme. Un léger sourire aux lèvres mais il me semble que ses joues ont quelque peu rosi, signe d'une certaine émotion ? Coup d'oeil vers notre ami qui paraît pour sa part assez sûr de lui. Un froncement de sourcils dans ma direction m'indique pourtant que lui aussi s'interroge sur la suite de cette conversation. Il poursuit :

        - Mais peut-être y as-tu déjà goûté petite impertinente ?
        - Et non ! Désolée de te décevoir...
        - Ce sera donc une première.
        - Tu me parais bien sûr de toi !
        - Tu ne crois pas si bien dire !

Jouant le tout pour le tout, il saisit ma chérie par une main et la fait basculer sur ses genoux. Surprise, Claire n'a pas eu le temps d'esquiver et la voici, sur le ventre, un bras de Patrick la maintenant contre ses cuisses.

        - Alors ? On fait moins la fière, hein ?
        - ...
        - Pardon ?
        - Idiot.

Voyant qu'elle ne cherche aucunement à se libérer, Patrick laisse tomber sa main une première fois, sans grande force, comme pour lui indiquer qu'il est prêt à poursuivre cette petite joute.

        - Mais t'es fou ma parole !
        - Attention à toi ! Encore une remarque de ce genre et je soulève la jupe...
        - C'est bien ce que je dis.. t'es ouf !

En guise de réponse, notre ami saisit la jupe et la remonte sur les reins, dévoilant le shorty en dentelle qui découvre une bonne moitié des fesses. Claire se débat quelque peu, mais de façon bien trop molle pour être vraiment crédible.
Cinq nouvelles fois, la main de Patrick s'abat sur le fessier de Claire. À la fin de cette seconde série, ma chérie, décidément bien peu intimidée, me lance un regard en disant :

        - Et toi, tu le laisses faire ? Tu laisse ta femme se faire fesser sans réagir ?
        - Toujours aussi impertinente ma chère amie. Je te préviens, la prochaine fois, c'est le slip qui tombe.

À chaque minute, je m'attends à ce que Claire mette fin à cette séance, qu'elle se fâche pour de bon mais rien... si ce n'est cette nouvelle réflexion :

        - Un mari mou et un ami fou... je suis bien entourée...
        - Je t'avais prévenue.

Il saisit l'élastique du sous-vêtement et le tire vivement. Le shorty se retrouve sur les chevilles de ma femme sans qu'elle n'ait fait le moindre geste pour l'éviter. La voici maintenant cul nu, les fesses offertes au regard de Patrick qui ne peut s'empêcher de la complimenter :

        - J'ignorais que tu avais un aussi mignon popotin...
        - C'est bon ? Tu t'es bien rincé l'oeil ? Allez, lâche-moi maintenant !
        - Pas avant que je ne juge la punition suffisante...

S'ensuit une nouvelle série de dix fessées au terme de laquelle les deux globes ont pris une teinte rose très vive. Patrick se rince à nouveau l'oeil, longuement puis, d'un geste doux, caresse une fesse. Il en profite pour flatter furtivement la fente d'un doigt et s'écrie alors :

        - Ça alors ! Non seulement, notre petite Claire se comporte comme une peste mais en plus se faire fesser l'excite... regarde Marco ! Elle est toute mouillée !

Vous avez aimé ?
À suivre...