A trois


Mercredi 17 décembre 3 17 /12 /Déc 18:24
La soirée se poursuit, Une nouvelle étape est franchie !

Il ne répond pas, se lève et reste face à elle, les bras ballants, attendant qu'elle le débarrasse de ses vêtements.
Après quelques minutes, notre ami n'a plus sur lui que son caleçon, déformé par une bosse pour le moins conséquente.


  • Oh, oh ! voilà qui semble des plus prometteurs, s'exclame ma chérie en flattant la barre.
  • J'espère qu'elle va te plaire...
  • On va voir... je suis plutôt difficile, tu sais ? Répond-elle avec un sourire.

Elle ôte ce dernier rempart et découvre un sexe d'une longueur peu commune.


  • Hum... joli morceau !

Catherine, comme lui tout à l'heure, s'installe dans le canapé, le visage à quelques centimètres du bas-ventre et, du bout des doigts, flatte la hampe dressée. Les yeux baissés, il la regarde faire ; quelques légers soubresauts trahissent son excitation et il l'encourage :

  • C'est bon! Ta main est douce et chaude...

Catherine poursuit ses caresses pendant que son autre main s'empare des bourses gonflées à qui elle offre un doux et délicat massage.

Je regarde, excité comme jamais, ma petite femme masturber, pour la première fois devant moi, un autre sexe masculin. Comme nombre d'hommes, il m'est arrivé de l'imaginer sous les assauts d'un autre homme ; allant même quelques fois, jusqu'à me caresser en y pensant. Pourtant, même si Catherine n'est pas une oie blanche, je n'aurais jamais cru vivre pareille situation.

  • Elle est belle ma bitte noire, hein ?
  • Hum... oui... très...
  • Je suis sûr que tu as envie d'y gouter... allez ! Vas-y ! Prends-la dans ta jolie bouche !

Jérémy a définitivement perdu toute timidité !

Comme si elle n'attendait que cela, ma chérie pose les lèvres sur le gland gonflé et l'embrasse tendrement. Puis elle ouvre la bouche et fait lentement coulisser la tige de chair bien dure, parvenant à l'avaler aux trois quarts, pour le plus grand plaisir de notre ami.

  • Oh, oui... c'est bon !

Ainsi encouragée, Catherine s'applique à lui offrir une fellation des plus gourmandes. Connaissant sa science et surtout son goût pour la chose, je n'ai aucun mal à imaginer ce que doit ressentir Jérémy, le membre ainsi confié aux petits soins de ma coquine chérie.
Ses soupirs et gémissements trahissent d'ailleurs son excitation. D'une main, il lui caresse les cheveux pendant que de l'autre, il s'empare d'un sein dont il agace le téton, déjà bien dur et dressé.
Je décide de garder une trace de ce moment et fais quelques photos, notamment deux ou trois gros plans où l'on peut admirer la joue de Catherine déformée par le membre de son amant.

Après un long moment, notre ami est sur le point d'abdiquer et succomber au plaisir. Galamment, il prévient ma femme de l'imminence de son plaisir. Contre tout attente, elle ne cesse pas ses caresses, bien au contraire, et semble décidée à aller jusqu'au bout.
Elle n'attend guère et bientôt, dans un grognement, Jérémy jouit, se déversant dans la bouche accueillante de ma chérie qui déguste, avec semble t-il grand plaisir, le fruit de son orgasme.

Elle le relâche puis, d'un geste, me fait signe d'approcher. Elle me tend ses lèvres et nous échangeons un baiser pendant lequel elle me fait goûter un peu du sperme de Jérémy qu'elle avait gardé en bouche. Il lui arrive assez régulièrement de partager mon jus après une fellation mais je suis surpris qu'elle le fasse ce soir. Doublement surpris même car, loin d'en trouver le goût désagréable, je prends plaisir à cette offrande.

Quand nous nous séparons, Jérémy remercie ma petite femme :

  • Il y a bien longtemps qu'on ne m'avait offert une si délicieuse gâterie !

Il l'invite ensuite à s'allonger sur le canapé :

  • À mon tour de t'offrir du plaisir... et d'en prendre en dégustant ton corps !

Il s'agenouille à côté du canapé et l'embrasse longuement, une main caressant son ventre. Il dépose ensuite de légers baisers sur le visage de ma femme, du front au menton, avant de descendre sur le cou puis le torse.

  • Tu as une peau délicieuse...

Il lui embrasse les seins, tout en évitant soigneusement les tétons, puis sa bouche remplace ses doigts sur le ventre. Aucun centimètre carré n'est oublié.

Catherine, les yeux mi-clos, savoure ces attentions ; sa bouche, légèrement entrouverte, laissant parfois échapper un soupir d'aise.
Quand il parvient au renflement du Mont de Vénus, ma chérie écarte un peu plus les jambes, visiblement désireuse de goûter ses baisers sur ses parties les plus sensibles. Il n'en fait pourtant rien et poursuit son exploration sur la cuisse gauche, lui donnant la chair de poule.
Ses lèvres couvrent de baisers la jambe de ma chérie, jusqu'au bout du pied puis, toujours lentement, remonte, empruntant l'autre jambe.
Parvenu à cet endroit stratégique où les cuisses se rejoignent, il relève un peu la tête, regarde la fourche offerte puis, posant une main dessus, flatte doucement la fente. Le souffle de Catherine s'accélère, sa poitrine se soulève plus rapidement et elle ne retient pas quelques légers cris quand un doigt appuie sur son bouton.

  • Retourne-toi ! J'ai envie de goûter tes fesses !

Obéissante, Catherine se met sur le ventre, cambre les reins, offrant sans pudeur son cul aux caresses de notre invité.
Les mains s'emparent des deux globes charnus et les massent vigoureusement, les écartent parfois largement, offrant au regard curieux de Jérémy le petit oeillet sombre qui palpite, comme s'il quémandait des attentions bien particulières. Attentions qui ne tardent pas d'ailleurs puisque d'un doigt curieux notre ami teste la résistance du sphincter tirant un léger cri de surprise :

  • Ton cul est bien serré... tu aimes qu'on te prenne par là ?
  • Euh... pas trop non...
  • Tu verras... je serai très doux...

Il est vrai que Catherine n'est pas très fan de la sodomie et les rares, trop rares, fois où elle m'a autorisé à la prendre par là, elle ne l'a fait que pour mon plaisir, même si elle a avoué ressentir quelque chose de "bizarre mais pas douloureux". En entendant donc notre ami évoquer une prochaine pénétration de son cul, mon sexe fait donc un nouveau bond dans mon caleçon.

Pour l'instant, c'est de la langue qu'il entreprend la découverte de l'endroit. Il lèche longuement la raie sur toute sa longueur, s'attarde par moments sur le petit trou à qui il offre de légers baisers avant de parvenir à en forcer l'entrée du bout de la langue. Il relève le visage et s'exclame :

  • En plus d'être super, ton cul a un goût délicieux !

Cette remarque fait rougir un peu ma chérie, peu habituée à ce genre de compliments sur cet endroit particulièrement intime, presque tabou.

Jérémy passe une main sous son ventre et lui fait relever le bassin. Les jambes largement écartées, elle offre son intimité dans son intégralité. Son partenaire délaisse son côté pile et revient lécher sa fente, s'enfonçant dans la grotte trempée, agaçant le bouton. Ces caresses ne tardent pas à faire leur effet et, après quelques minutes, les gémissements de Catherine se font plus forts, les soupirs se transforment en petits cris et soudain, dans un long râle, elle jouit. Les reins cambrés à l'extrême, elle régale de son nectar Jérémy qui déguste le fruit de son plaisir, la bouchée comme collée à son sexe.

@ suivre
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Lundi 10 novembre 1 10 /11 /Nov 14:23
Il y a bien (trop ?) longtemps que je ne vous avais pas proposé une nouvelle histoire. Manque de temps, d'inspiration...
Aujourd'hui, je vous invite à découvrir le début d'un nouveau récit. Début soft, j'en conviens mais qui, j'espère, vous plaira et, surtout, vous donnera envie de lire la suite.

Bonne lecture !

La soirée se déroule à merveille. Catherine, ma chérie, a une fois de plus fait parler ses talents de cordon bleu et régalé Jérémy et moi-même d'un repas digne des plus grandes tables. Nous voici maintenant installés au salon, dégustant un café.

Jérémy, collègue récemment arrivé de la capitale pour prendre la direction des ressources humaines de la société dont je suis le directeur régional, s'avère un convive des plus agréables. Catherine m'a confirmé le trouver particulièrement sympa ; "autre chose que son prédécesseur" a-elle rajouté, me rappelant qu'entre elle et lui, jamais le courant n'était passé... et c'est peu dire.

En plus d'être sympa, Jérémy est plutôt bel homme. Le mélange Bretagne, Côte d'Ivoire a, dans son cas, donné un résultat des plus réussis.

Je propose d'ouvrir la bouteille de Champagne qu'il a amené et les laisse seuls pour faire le service. À mon retour, il règne dans la pièce une atmosphère quelque peu étrange.

  • Que vous arrive t-il ? Vous avez l'air bizarre...
  • Euh... ne te fâche surtout pas mais j'ai peut-être eu des paroles malheureuses...
  • Mais non ! Pas du tout ! L'interrompt Catherine. Tu m'as juste un peu surprise, voilà tout.
  • Vous m'expliquez ou je reste dans l'ignorance ?
  • Jérémy disait juste qu'il aimait les femmes comme moi, avec des rondeurs...
  • Effectivement, c'est plutôt agréable comme réflexion...
  • Bon, c'est vrai, il a ajouté que depuis un moment, il n'arrivait pas à débander...
  • Ah, oui ! Là, c'est un peu plus direct.

Je tourne les yeux vers notre ami. Ses joues sont rouge pivoine et il semble manquer d'air.

  • Euh... pardon... je ne sais pas ce qui m'a pris...
  • C'est vrai au moins ?
  • Quoi ?
  • Et bien, que tu bandes en regardant Catherine.
  • Oui... mais ne m'en voulez pas ! C'est physique... je n'y peux rien...
  • Je ne t'en veux pas, rassure-toi !
  • Moi non plus... je suis même flattée.
  • Et ce qui te fait bander, c'est juste de la voir ou d'imaginer certaines choses ?
  • Les deux. En fait, j'essaye de l'imaginer sans rien sur elle...

Devant la réaction plutôt positive de ses hôtes, Jérémy retrouve son assurance.

  • Oui. Sans rien du tout. Nue et offerte à mes yeux...
  • Dis-nous un peu comment tu imagines ses seins !
  • Hum... deux beaux pamplemousses... bien fermes... bien ronds...

Je regarde ma femme et remarque, sans réelle surprise, cette lueur dans son regard et sa bouche légèrement entrouverte, signes que je connais bien et qui trahissent sans aucune erreur possible une excitation montante.

  • Et mes fesses ? Demande t-elle à son tour ? Tu les vois comment ?
  • Bien rondes elles aussi... et très douces à caresser...
  • Ah parce que non seulement tu m'imagines nue mais en plus tu veux toucher !
  • Et je suis sûr que si tu lui proposes d'embrasser, il ne refusera pas, je rajoute en riant.

Contre toute attente, et parvenant cette fois à me surprendre, Catherine se lève et se plante devant Jérémy, les mains sur les hanches.

  • Alors ? Et maintenant ? Tu fais quoi ? Tu me déshabilles ou t'as que la gueule ?

Jérémy reste coi. Il me jette un regard et, devant mon sourire, est rassuré sur mon accord. Il se lève donc et entreprend de déboutonner lentement le chemisier, dévoilant peu à peu la poitrine opulente emprisonnée dans la dentelle. Il ôte le vêtement et, remontant ses mains dans le dos, dégrafe le soutien-gorge, mettant à nu les seins de Catherine. Il reste immobile, admirant les deux globes de chair :

  • Ils sont comme je les imaginais... superbes !

Il se penche et dépose un baiser sur chacun des mamelons, tirant un léger soupir à Catherine. Il se rassied , ouvre le bouton de la braguette et descend, toujours aussi lentement, la fermeture éclair.
Voici ma chérie, uniquement vêtue, si l'on peut dire tant il est léger, de son slip, offerte à nos deux regards excités.
Il pose ses mains sur les hanches de Catherine et la fait se retourner, se retrouvant avec ses fesses juste sous les yeux.

  • Quel beau cul tu as !

Ses doigts accrochent l'élastique du sous-vêtement et le font glisser, dévoilant le cul nu de ma chérie. Il attire Catherine contre lui et caresse les fesses, tantôt doucement, tantôt un peu plus fermement, comme s'il les massait.
Ma chérie de bouge pas, seul le mouvement de sa poitrine m'indique sa respiration plus rapide.

  • Penche-toi un peu !

Prenant appui sur la table basse, Catherine obéit. Les mains de Jérémy poursuivent leur exploration.

  • Écarte les jambes !

Des deux pouces, il écarte les fesses, dévoilant la raie sombre sur laquelle il ne résiste pas à donner quelques coups de langue, faisant frémir mon épouse. Il la fait ensuite se retourner. La toison taillée très ras met plus en valeur qu'elle ne masque la chatte de Catherine. À cette vision, Jérémy ne retient pas un sifflement admiratif et dépose un baiser appuyé sur le renflement du Mont de Vénus.

Catherine le regarde, à la fois excitée par ses caresses et amusée par son attitude et lui dit :

  • Ça te plait ?
  • Et comment !
  • Maintenant, à mon tour de faire connaissance avec ton intimité !
Ce début vous a plu ?
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