A trois


Mercredi 6 août 3 06 /08 /Août 09:04
Quand Michel découvre les joies du libertinage...

Depuis cette nuit, les deux amants se sont revus plusieurs fois, pour des tête à tête toujours aussi torrides. Lors de leur dernière rencontre, Michel a souhaité en apprendre plus sur la vie intime de sa maîtresse et Jeanne lui a révélé un pan de sa vie, évoqué ses soirées ibertines en club  Loin de le choquer, ces récits ont l'excité et il n'a désormais qu'une envie : vivre avec elle  une telle soirée.
 
C'est ainsi que ce soir, ils se dirigent, tendrement enlacés, vers l'entrée du X. boite renommée de la région. Il y a quelques mois que Jeanne ne s'était pas autorisé une soirée de ce genre et elle reconnait volontiers que cela lui manquait un peu.

À l'entrée, le physionomiste la reconnait et lui fait une bise tout en lui souhaitant une excellente soirée :

- Je suis certaine qu'elle le sera, répond-elle avec un sourire.

Ils s'installent à une table proche de la piste de danse. La maitresse des lieux, amie de Jeanne, vient les saluer et leur offre une coupe de Champagne. Elle reste un peu discuter avec eux, n'étant pas encore trop prise par les clients, encore peu nombreux à cette heure. Apprenant qu'il s'agit de la première visite de Michel dans ce genre d'endroit, elle lui promet qu'il ne le regrettera pas.

Peu à peu, la clientèle afflue et la piste de danse est bientôt bien garnie. À l'occasion d'une série de slows, les corps de rapprochent, les mains s'égarent et Michel découvre, quelque peu surpris, que bien des jupes se relèvent, dévoilant sans pudeur aucune les derrières de leur propriétaire, jeunes et moins jeunes. Excité, il pose une main sur la cuisse de Jeanne qu'il caresse doucement, remontant lentement le tissu.
Leur verre bu, elle lui propose de découvrir le reste de la boite. Ils quittent la salle et pénètrent dans un couloir dont l'éclairage tamisé souligne l'ambiance érotique. Une première pièce s'ouvre à eux. Au sol, un épais tapis, comme un tatami, prêt à accueillir les ébats.

- Il y en a quelques comme celle-là avec parfois quelques variantes.

Effectivement, la seconde a une paroi percée de plusieurs trous : les fameux "gloryhole". La pièce qu'ils découvrent ensuite ressemble à une sale de tortures. En son centre, une table, identique à celles que l'on peut trouver dans un cabinet médical, mis à part son revêtement de couloir noir et, surtout, des liens qui en pendent. Aux murs, des fouets, menottes et autres instruments du même acabit.

- Une fois, j'ai vu une femme y passer deux heures, attachée, livrée au bon vouloir des passants. Crois-moi ! Elle a ramassé sévère !
- Tu en l'as jamais testée ?
- Et non ! Qui sait ? Peut-être un jour...

Cette conversation, tout comme l'endroit, font monter l'excitation de Michel dont la main, qui tenait Jeanne par la hanche, descend pour se poser sur une fesse qu'elle caresse tendrement. Jeanne, elle, envoie une main curieuse à hauteur de la braguette de son ami et découvre une bosse significative.

- C'est la pensée de me voir attachée sur cette table qui te fait cet effet ?
- Pas que ça... même si l'idée de te voir prise par plusieurs types ne m'est pas désagréable...
- Monsieur se découvre voyeur ! Allez ! Poursuivons notre visite !

Ils reprennent leur chemin et parviennent bientôt dans une salle de cinéma. Sur l'écran, une femme se fait sodomiser sans ménagement par un grand brun. La salle, contrairement à un cinéma ordinaire, comporte en guise de sièges de larges banquettes sur lesquelles sont allongés un couple et, un peu plus loin, un homme seul, qui ne les quitte pas des yeux. Il faut dire que le spectacle qui lui est offert est au moins aussi intéressant que le film projeté. La femme, à quatre pattes, face à son partenaire, le suce avec un appétit que trahissent les bruits de succion de sa bouche sur le membre. Le spectateur, tout en se régalant de la scène, se caresse doucement.
Jeanne et Michel restent quelques minutes, regardant à la fois le film ce qui se passe dans la salle. C'est alors que Michel, sentant une présence se retourne. Un jeune homme, la trentaine environ, est derrière Jeanne, les yeux rivés sur la main qui lui caresse les fesses.
Michel ôte alors sa main et, d'un sourire, lui fait comprendre que la place est libre. Le nouvel arrivant n'hésite que quelques petites secondes avant de remplacer Michel  et flatter le postérieur de Jeanne.
Elle s'est aperçue du manège et, loin de s'en offusquer, tend les fesses, indiquant à leur partenaire qu'elle accepte son initiative. Rassuré, les caresses se font plus franches et, même, après quelques minutes, la jupe de Jeanne est relevée, dévoilant son léger slip. Ce petit jeu dure un bon moment ; Michel jette de fréquents coups d'oeil à jeune homme, et plus particulièrement à ses mains qui ont pris possession du cul de Jeanne et qui le caressent à même la peau, le slip étant largement descendu.

- Tu as envie de lui ?
- Hum... en fait, j'ai envie de vous deux... le coeur t'en dit ?
-  À ton avis ?
- Jeune homme, si nous trouvions un endroit plus confortable ?
- Avec plaisir Madame !

Des "vous" et des "madame" alors que la dame en question se fait peloter le cul par celui qu'elle vouvoie ; le ton de cette courte conversation fait sourire Michel.

À peine entrés dans la pièce, Jeanne ôte son slip, s'installe à quatre pattes, la jupe relevée sur les reins :

- Venez me baiser cher ami ! Et toi Michel, donne-moi ton sucre d'orge à sucer !

Ni une ni deux, le jeune homme se met nu, s'agenouille derrière Jeanne, la prend par les hanches et, d'un puissant coup de rein, investit sa chatte, accueilli par un sonore et expressif "Ah oui !".

Michel reste quelques secondes sans bouger, regardant son amie se faire pilonner puis, à son tour, se débarrasse de ses vêtements et offre son sexe à la bouche de Jeanne.

Les coups de reins de leur partenaire sont puissants. Leurs deux corps claquent l'un contre l'autre et Jeanne a le plus grand mal à sucer le membre de son amant convenablement. Au bout d'un moment, elle le lâche donc et dit, entre deux gémissements :

- Ah... j'en peux plus... il me baise trop fort... c'est bon... continue... prends-moi à fond... oui...

Michel découvre le plaisir du voyeurisme en regardant son amie se faire ainsi ramoner. Se retournant, il découvre un couple, resté à l'entrée de la pièce et qui, lui aussi, assiste a spectacle. Il reconnaît les deux spectateurs du cinéma et leur fait signe d'entrer. Tout naturellement, la femme se retrouve entre Michel et son compagnon qui, une main par dessus son épaule, lui caresse un sein. Elle tourne la tête vers Michel et lui sourit, semblant l'inciter à faire de même.
Il ne se gêne pas et prend possession de l'autre rondeur qu'il découvre particulièrement agréable au toucher et aux bouts très sensibles.
Devant eux, Jeanne ne semble plus très loin de l'explosion. Ses gémissements laissent de plus en plus souvent la place à de longues plaintes et les "oh oui !", "c'est bon !" et autres "plus fort !" vont en s'amplifiant. Son partenaire accélère alors la cadence et, après quelques minutes, dans un long cri, Jeanne succombe à l'orgasme. Le jeune homme sort alors de son sexe et, en quelques va et vient, éjacule longuement sur ses fesses, les zébrant des longues traînées. Il se relève ensuite et, fort galamment, lui tend la main et l'aide à se remettre debout.

@ suivre ?
Ecrire un commentaire
Voir les 5 commentaires

Mercredi 7 mai 3 07 /05 /Mai 12:47
L'après-midi se termine... mais pas les aventures de notre trio !

Je m'installe, Patrick abandonne Claire quelques secondes, le temps pour elle de venir s'empaler sur mon sexe, puis il reprend possession de ses reins. Pour la première fois, ma petite chérie est prise à la fois dans la chatte et le cul et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle apprécie cette découverte !

    - Ah mes salauds ! C'est bon ! Oh vos deux bittes ! J'adore ! Baisez-moi ! Bourrez-moi le cul et la chatte !  Oui ! Comme ça ! Allez-y ! OH OUI !!!

Elle se penche sur moi et écrase sa bouche sur la mienne, m'embrassant avec une violence inouIe. Jamais je ne l'ai vue dans un tel état ! Je ne la reconnais pas ! Elle d'ordinaire plutôt discrète, n'appréciant que fort modérément que je lui parle pendant l'amour, ne répondant que très rarement quand je lui pose une question, est ce soir on ne peut plus volubile.
J'en profite donc :

    - Quelle salope tu fais ma chérie ! T'aimes ça te faire bourrer le fion et le cul en même temps, hein ?
    - Oh oui ! C'est trop bon !
    - Dis-nous que tu n'es qu'une salope ! Une cochonne qui aime le cul !
    - OUI, crie t-elle ! J'aime le cul ! J'aime me faire baiser partout !
    - On voit ça, renchérit Patrick ! J'ai jamais vu une gonzesse prendre son pied comme toi ! T'es super bonne ma belle ! Tiens !

Ce disant, il lui donne quelques claques sur les fesses tout en donnant de puissants coups de reins qui le propulsent au plus profond de son intimité, lui tirant de nouveaux cris de plaisir.
Elle parvient rapidement à un nouvel orgasme et c'est pratiquement en hurlant qu'elle prend son pied. Son sexe, sous l'effet de son plaisir, serre le mien convulsivement et j'ai bien du mal à me retenir de gicler. Patrick semble lui aussi en proie aux mêmes difficultés et, pour retarder son éjaculer, il décide de quitter le cul étroit et de redonner quelques coups de martinet à Claire qui décidément, prend goût aux sévices :

    - Oui... punis la cochonne que je suis ce soir ! Je suis une pute qui se donne à deux mecs et qui mérite la fessée. Vas-y Patrick ! Fais rougir mon cul !

Patrick s'en donne à cœur joie et quelques coups tombent même sur mes cuisses, me faisant chaque fois sursauter et m'enfoncer un peu plus dans la chatte de ma chérie. C'en est trop alors et, d'une dernière ruade, je m'enfonce en elle et me déverse dans son vagin, salué comme il se doit :

    - Oh chéri ! C'est bon ! Arrose-moi ! Donne-moi ton jus ! Ah oui ! Encore ! Patrick, prend sa place et vide tes couilles dans ma chatte !

Je n'ai que le temps de quitter son vagin que notre ami en prend possession. À grands coups de reins, il la pilonne, la faisant crier. Il parvient à tenir quelques minutes puis, à son tour, jouit, lui offrant, comme elle le lui a demandé, le fruit de son plaisir.

Un nouveau break est le bienvenu pendant lequel nous nous désaltérons. Je regarde Claire, trempée de sueur, les cheveux collés au front, la respiration rapide.

Notre hôte regarde l'heure puis, avec un large sourire, déclare :

    - À peine dix-huit heures ! Mes amis, pour fêter cette journée, je vous invite au restaurant.
    - Avec plaisir ! Mais nous t'offrons l'apéro et le café !
    - C'est OK ! ma chère petite femme, slip et soutien-gorge interdits bien entendu...
    - Mais...
    - Y'a pas de mais ! L'interrompt Patrick. Tu obéis à ton mari, sinon...

Il lève la main :

    - Tu trouves que ton cul n'a pas assez rougi ?
    - Euh... d'accord... juste ma jupe et mon chemisier...
    - Tu vois ma chérie, c'est pas si compliqué.

Après une douche réparatrice et rafraichissante, nous nous préparons puis nous mettons en route.
Il est un peu plus de vingt heures trente à notre arrivée en ville. Nous nous garons et partons à la recherche d'un bonne table. Claire entre nous, deux bras autour des hanches, ce qui fait se retourner quelques curieux, et curieuses, sur notre passage !


Nous trouvons assez rapidement notre bonheur et nous installons à une table un peu à l'écart.

    - Claire, relève ta jupe pour t'asseoir !

Ma chérie s'assied donc cul nu sur la banquette, ne pouvant réprimer un frisson quand sa peau entre en contact avec le cuir froid. Durant le repas, Patrick, qui s'est installé à côté d'elle, ne se gêne pas pour la caresser, lui faisant parfois lâcher quelques soupirs d'aise. Par deux fois le garçon, apportant les plats, peut voir la main de mon ami entre les cuisses de ma femme et, bizarrement, son service s'en trouve ralenti.

    - Ma puce, enlève donc un ou deux boutons de ton chemisier. Je suis sûr que le serveur en sera heureux...
    - Mais qu'est-ce que vous me faites faire vous deux ? Répond elle en obéissant.

Au retour du serveur, celui-ci marque un temps d'arrêt en découvrant un peu plus que la naissance de la poitrine. Patrick le regarde puis, d'un geste vif, écarte le chemisier, dévoilant  l'intégralité d'un sein pour la plus grande joie du jeune homme dont le visage s'éclaire d'un large sourire.
Ecrire un commentaire
Voir les 8 commentaires

Flux

  • Flux RSS des articles

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés