Mai 2025 | ||||||||||
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Je ne peux m'empêcher, en la regardant, de m'imaginer qu'elle le fait exprès ; qu'elle se comporte ainsi dans le seul but de m'exciter. Pourtant, rien n'indique qu'elle s'est rendu compte de ma présence. La haie qui sépare nos deux jardins est suffisamment épaisse pour que je puisse la mater sans être débusqué ; le trou qui me sert de "poste de guet" se situe dans un angle au fond de leur jardin. Elle est donc là, intégralement nue, allongée sur un drap de bain, le corps offert aux rayons du soleil et, surtout, à mes yeux.
La trentaine, cheveux clairs coupés court, un corps entretenu par le sport ; je sais qu'elle fréquente régulièrement la piscine ; une poitrine, ni trop petite, ni trop grosse, de longues jambes musclées. Bref, un bien joli brin de femme dont il ne me déplairait de faire la connaissance plus intimement. Il est toujours permis de rêver, non ?
Cela fait trois jours qu'elle passe ainsi une heure à se faire bronzer. Trois jours qu'elle me permet de l'admirer en cachette, presque honteux de l'espionner ainsi. Aujourd'hui, sa position, les pieds tournés vers mon jardin, m'offre une vue des plus agréables sur son ventre et son bas-ventre. Vision qui a immédiatement provoqué une érection presque douloureuse. Cela ne s'arrange pas quand elle replie les jambes et les écarte sensiblement, me proposant ainsi l'intégralité de son intimité. J'en reste baba ! Dans mon short, c'est l'affolement ! Je ne sais pas ce qui me retient de me passer à travers les branches pour me jeter sur elle. Et elle ne s'arrête pas en si bon chemin ; la voici qui pose une main sur son Mont de Vénus et le caresse doucement, presque négligemment. Cette fois, c'est sûr, je vais mourir d'une crise cardiaque !
Une voix masculine vient, presque opportunément, rompre ces instants aussi magiques que douloureux. Son mari, ce veinard, vient de rentrer et la rejoint. Un baiser sur les lèvres et, à son tour, il se met dans le plus simple appareil et s'installe tout contre elle. Tout naturellement, sa main remplace celle de sa femme et court de la base de la poitrine à celle du renflement pubien. Ce n'est pas vrai ? Ils ne vont tout de même pas...
Je n'ai pas le temps de réfléchir plus que la coquine referme les doigts autour de la hampe de son chéri et entreprend une lente masturbation. Ah, les salauds ! si ça continue, je vais lâcher ma purée dans mon short, sans me toucher, comme le dernier des collégiens boutonneux !!
Après l'image, le son. Les soupirs de la belle, à peine étouffés, parviennent à mes oreilles comme une douce musique. Puis viennent les paroles :
Ainsi encouragé, le chéri se penche et pose les lèvres sur le sexe de sa femme. Les jambes s'écartent un peu plus, les gémissements se font plus sonores.
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