En couple


Mercredi 21 février 3 21 /02 /Fév 10:11

La soirée continue...


La coquine, loin de cesser ses baisers, m'aspire un peu plus fort encore, les lèvres serrées autour de mon sexe. Aux tressautements de ma queue contre son palais, elle devine que l'orgasme est imminent ; elle ouvre la bouche, me libère et, de quelques mouvements du poignet, me fait jouir. Mes jets fusent, atterrissant sur son menton et sa poitrine. Elle n'arrête pas ses va et vient, désireuse d'extraire ma sève jusqu'à la dernière goutte. Quand enfin la source est tarie, elle lèche ma hampe, qui a un peu perdu de sa superbe, la débarrassant de toute trace de mon éjaculation. Puis, me regardant d'une moue coquine, elle passe un doigt sur un sein, récupère un peu de mon jus et le porte à sa bouche, le suçant en mimant une fellation.


Elle s'allonge à son tour à mes côtés. Je passe un bras autour de son cou, l'attire tout contre moi et nous échangeons un long baiser, emprunt d'une grande tendresse.


- "Jean-Marc, je veux que tu saches…

- Oui ?

- Tu es le premier depuis mon mari…

- Pourquoi me dis-tu cela ?

- Je ne veux pas que tu crois que j'ai pour habitude de me donner ainsi, aussi rapidement. D'ailleurs, j'ai encore du mal à réaliser ce qui vient de se passer…

- Je t'avoue que moi aussi, j'ai un peu de mal à me rendre compte que je tiens dans mes bras la femme qui me fait rêver depuis si longtemps…

- Tu es sérieux ?

- Tout à fait ! Maintenant, je peux bien te le dire, chaque occasion d'apercevoir un bout de cuisse, la naissance de ta poitrine, me rendait fou de joie. Même si j'étais persuadé que trop de choses nous séparaient…

- Tu veux parler de mon âge ?

- Tu es folle ! Pas du tout ! Non, plutôt de notre position sociale.

- Ici, je ne suis qu'Isabelle, pas ta chef !

- Je l'entends bien ainsi !"


Pour le lui prouver, je lui offre un nouveau baiser qu'elle ne refuse pas, bien au contraire.


Je me lève ensuite et vais prendre une douche.


- "Pendant que je me douche, il y a une bouteille de Champagne au frais… si le cœur t'en dit !

- Avec plaisir !

- Je te rejoins au salon."


Sous l'eau, je fais le point sur cette soirée, la plus belle depuis bien longtemps. Il est minuit, cela fait à peine quatre heures qu'Isabelle m'a interpellé dans le couloir et pourtant, j'ai l'impression qu'il s'en est écoulé plus du double !

La toilette terminée, je la rejoins au salon. Elle est assise dans le canapé, toujours nue, et je ne peux m'empêcher de l'admirer à nouveau.


- "Si tu désires te doucher, fais comme chez toi ! J'ai préparé le nécessaire !

- Merci. Je reviens très vite !

- J'espère !"


À son retour, Isabelle me trouve en train de croquer dans un biscuit.


- "L'activité physique, ça creuse ! Sers-toi !

- Merci."


Je ressers un verre puis Isabelle s'allonge, la tête sur mes cuisses. Je passe une main dans ses cheveux puis sur son front, la caressant doucement.


- "Il y a si longtemps que je ne me suis pas sentie aussi bien…"

 

Elle me regarde. Je distingue sur son sourire un je ne sais quoi d'un peu triste.


- "Qu'est ce qui te tracasse ?

- Demain. Le bonheur n'est jamais resté très longtemps dans ma vie… surtout ma vie affective. Je viens de passer une soirée formidable et…

- Quoi ?

- Tu vas me prendre pour une idiote !

- Pourquoi cela ? J'ai moi aussi passé une soirée super. Je suis aussi persuadé que j'ai envie d'en vivre plein d'autres comme celle-ci. Mais je sais tout autant les problèmes que cela peut te poser. Je ne t'en voudrais absolument pas si tu décides de ne pas continuer tous les deux, nos relations au boulot n'en pâtiront pas, je te rassure. Mais, avant que tu dises quoi que ce soit, je tiens à te dire que ce que j'éprouve pour toi, je ne l'ai jamais ressenti pour une autre femme. Et je suis tout à fait sincère !

- Tu veux dire que ?

- Que je t'aime Isabelle. C'est peut être idiot, on se connaît à peine mais cette soirée m'a permis de m'apercevoir que depuis le jour où tu m'as embauché, je suis amoureux de toi.

- Oh, Jean-Marc !"


Elle lève son visage et m'offre sa bouche. Ses bras se referment sur moi et elle me presse, comme si elle craignait que je lui échappe. Cette nouvelle étreinte a pour effet de ranimer mon ardeur et mon sexe se tend, ce dont elle se rend immédiatement compte.


- "Je te veux en moi ! Je veux que tu me prennes !"

 

Elle s'assied sur moi et, tenant mon sexe, le guide à l'entrée de sa grotte. Lentement, ses yeux rivés aux miens, elle descend. Je peux lire sur son visage le plaisir qu'elle prend à cette pénétration. Quand je suis entièrement en elle, elle reste immobile et savoure autant que moi le bonheur de cette union, le plaisir de nos deux corps qui, à ce moment, ne semblent plus en faire qu'un.


- "Mon chéri, moi aussi je t'aime… moi aussi depuis ce jour où tu es arrivé chez nous."

 

@ suivre... si vous aimes toujours !!!

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Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 11:04
Quand le tête à tête devient... beaucoup moins professionnel...

- "Jean-Marc, nous sommes fous !

- Peut-être… mais c'est si bon…"

Nouvelle étreinte. Isabelle, collée contre moi, ne peut ignorer mon état. Cela ne semble pas la déranger, bien au contraire, et son corps pèse un peu plus contre le mien. Nous reprenons le chemin du bureau. Que va t-il se passer maintenant ? Va t-elle me proposer d'aller chez elle ? Attendre que je fasse de même ? Ou, plus simplement, allons-nous nous séparer et rentrer chacun chez soi ?


Arrivés au parking, elle s'arrête devant sa voiture, ne faisant aucun geste pour la déverrouiller. Elle non plus ne sait que faire. Sans doute craint-elle tout autant de passer à mes yeux pour une femme facile ? Je l'embrasse une nouvelle fois puis, lui prenant la main, l'entraîne vers la mienne. J'ouvre la portière et, sans un mot, elle s'installe. Lorsque je démarre, d'une petite voix presque timide, elle me dit :


- "Ne crois pas que…

- Ne dis rien ! Laissons-nous emporter par notre folie !"


Nous voici au pied de mon immeuble. J'ouvre sa portière et lui prends la main quand elle descend. Dans l'ascenseur, elle ose à peine me regarder. J'ai l'impression d'accompagner une jeune vierge qui s'apprête à vivre sa première fois. Cette timidité renforce encore mon attirance pour elle.


La porte fermée, nous nous retrouvons, à nouveau enlacés, au milieu du salon. Je la débarrasse de sa veste de tailleur puis, sans cesser de l'embrasser, entreprend d'ôter son chemisier. Je sens contre moi son corps se raidir quand je m'attaque au premier bouton. Pourtant, elle ne se dérobe pas et je découvre bientôt avec ravissement son soutien-gorge. Mes mains caressent la peau nue de son ventre, remontent sur ses épaules, courent sur ses bras. Puis, m'enhardissant, je fais sauter l'agrafe du sous-vêtement, libérant sa poitrine, comme dans mes pensées, à la fois pleine et ferme. Du bout des doigts, j'effleure cette peau sin fine et si délicate, me rapprochant lentement des aréoles sombres et grumeleuses. J'y dessine quelques cercles puis caresse les deux bourgeons, déjà bien durs.


La respiration d'Isabelle s'est sensiblement accélérée et elle ne retient pas quelques légers soupirs.

Abandonnant mes caresses, je l'entraîne vers ma chambre. Là, je l'allonge sur le dos et, à genoux face à elle, la débarrasse de ses chaussures. Je lui masse les pieds, fins, au ongles vernis, puis remonte lentement sur ses mollets. Ma bouche découvre à son tour la douceur de sa peau et je couvre ses jambes de mille baisers. Vient le tour des genoux puis des cuisses à qui j'offre les mêmes caresses. Je me relève, trouve la fermeture éclair de la jupe que je descends. Isabelle soulève légèrement les fesses, m'aidant à baisser son vêtement. Seul un fin slip la vêt maintenant. Une main remonte sur son ventre tandis que l'autre poursuit ses caresses sur ses jambes. Peu à peu, celles-ci se desserrent et je peux admirer au travers du fin tissu sa toison brune. Comme attirés par un aimant, mes lèvres se posent sur son intimité, doucement, m'imprégnant de son odeur, évitant pour l'instant les zones trop sensibles. C'est ainsi que je lui embrasse le haut des cuisses, là où la peau est si fine, si sensible aux baisers. Ses jambes sont maintenant écartées au maximum et ses lèvres dépassent légèrement du slip. Elles sont alors l'objet de mes attentions, recevant des bisous du bout des lèvres ou des coups de langue plus accentués.

Je saisis l'élastique du sous-vêtement et le tire vers le bas. Une nouvelle fois, elle se soulève un peu et j'ai bientôt sous les yeux son adorable chaton, dont la toison taillée très court ne cache pas les détails. Je reste quelques instant l'admirer puis je me penche et reprends mes baisers, cette fois plus appuyés.


- "Oh oui… c'est bon !"


Elle n'a nul besoin de le dire, tant sa mouille abondante trahit son excitation. Ma langue, à l'entrée de son puits d'amour, recueille la délicieuse liqueur que je déguste avec plaisir. Puis, coquine, elle remonte et titille le bouton, saillant, pointant fièrement hors de son capuchon. Mes mains caressent la poitrine et le ventre d'Isabelle dont les contractions sont de plus en plus fortes au fur et à mesure que son plaisir grandit. Soudain, ses mains plaquent mon visage contre sa chatte, son corps se tend et, dans un râle, elle jouit, m'arrosant copieusement. Je me régale de son jus d'amour puis elle me repousse, la sensibilité exacerbée.

Je m'allonge à ses côtés ; les yeux fermés, de fines gouttelettes de sueur parsemant son front et son visage, le souffle un peu court. Je ne me lasse pas de la regarder, la trouvant d'une beauté à couper le souffle. Elle reste ainsi de longues minutes, savourant son orgasme, reprenant lentement conscience. Elle tourne la tête vers moi, un large sourire éclairant son visage :


- "C'était… il y a bien longtemps que je n'avais pas connu un tel plaisir… merci…"


Puis, à son tour, elle me déshabille, faisant rapidement voler chemise, pantalon et boxer. Tandis que sa bouche couvre mon torse et mon ventre de doux bisous, ses doigts se posent sur mon sexe et le caressent, un peu comme pour faire sa connaissance, effleurant la hampe, titillant le méat, frôlant les bourses. Lentement, son visage descend sur mon ventre jusqu'à atteindre les premiers poils pubiens. Alors, tenant mon sexe bien droit, elle passe la langue dessus, léchant la tige sur toute sa longueur avant de remonter sur le gland et s'y attarder, l'agaçant fort agréablement. Enfin ses lèvres s'ouvrent un peu plus et, lentement, elle m'avale. Je regarde mon membre coulisser et pénétrer cette bouche si douce et cette vision me fait durcir encore un peu plus.


Isabelle m'offre une fellation comme il y a bien longtemps que j'en ai connue ! Elle me prend entièrement en elle, fait tourner sa langue sur ma hampe, me ressort, ne gardant que mon gland entre ses lèvres qu'elle tète avec appétit. Ses mains ne restent pas inactives ; ma poitrine et mes bourses sont l'objet de toutes leurs attentions et elle se risque même à des caresses sur mon petit trou, massant mon œillet. En appui sur les coudes, je ne perds pas une miette de la scène, remontant ses cheveux pour mieux apprécier le spectacle.

Je fais de gros efforts pour retarder au maximum mon éjaculation mais, après quelques minutes, Isabelle parvient à ses fins et je sens le plaisir monter.


- "Isabelle, je… je vais venir !"


@ bientôt pour la suite...
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