Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 11:04
Quand le tête à tête devient... beaucoup moins professionnel...

- "Jean-Marc, nous sommes fous !

- Peut-être… mais c'est si bon…"

Nouvelle étreinte. Isabelle, collée contre moi, ne peut ignorer mon état. Cela ne semble pas la déranger, bien au contraire, et son corps pèse un peu plus contre le mien. Nous reprenons le chemin du bureau. Que va t-il se passer maintenant ? Va t-elle me proposer d'aller chez elle ? Attendre que je fasse de même ? Ou, plus simplement, allons-nous nous séparer et rentrer chacun chez soi ?


Arrivés au parking, elle s'arrête devant sa voiture, ne faisant aucun geste pour la déverrouiller. Elle non plus ne sait que faire. Sans doute craint-elle tout autant de passer à mes yeux pour une femme facile ? Je l'embrasse une nouvelle fois puis, lui prenant la main, l'entraîne vers la mienne. J'ouvre la portière et, sans un mot, elle s'installe. Lorsque je démarre, d'une petite voix presque timide, elle me dit :


- "Ne crois pas que…

- Ne dis rien ! Laissons-nous emporter par notre folie !"


Nous voici au pied de mon immeuble. J'ouvre sa portière et lui prends la main quand elle descend. Dans l'ascenseur, elle ose à peine me regarder. J'ai l'impression d'accompagner une jeune vierge qui s'apprête à vivre sa première fois. Cette timidité renforce encore mon attirance pour elle.


La porte fermée, nous nous retrouvons, à nouveau enlacés, au milieu du salon. Je la débarrasse de sa veste de tailleur puis, sans cesser de l'embrasser, entreprend d'ôter son chemisier. Je sens contre moi son corps se raidir quand je m'attaque au premier bouton. Pourtant, elle ne se dérobe pas et je découvre bientôt avec ravissement son soutien-gorge. Mes mains caressent la peau nue de son ventre, remontent sur ses épaules, courent sur ses bras. Puis, m'enhardissant, je fais sauter l'agrafe du sous-vêtement, libérant sa poitrine, comme dans mes pensées, à la fois pleine et ferme. Du bout des doigts, j'effleure cette peau sin fine et si délicate, me rapprochant lentement des aréoles sombres et grumeleuses. J'y dessine quelques cercles puis caresse les deux bourgeons, déjà bien durs.


La respiration d'Isabelle s'est sensiblement accélérée et elle ne retient pas quelques légers soupirs.

Abandonnant mes caresses, je l'entraîne vers ma chambre. Là, je l'allonge sur le dos et, à genoux face à elle, la débarrasse de ses chaussures. Je lui masse les pieds, fins, au ongles vernis, puis remonte lentement sur ses mollets. Ma bouche découvre à son tour la douceur de sa peau et je couvre ses jambes de mille baisers. Vient le tour des genoux puis des cuisses à qui j'offre les mêmes caresses. Je me relève, trouve la fermeture éclair de la jupe que je descends. Isabelle soulève légèrement les fesses, m'aidant à baisser son vêtement. Seul un fin slip la vêt maintenant. Une main remonte sur son ventre tandis que l'autre poursuit ses caresses sur ses jambes. Peu à peu, celles-ci se desserrent et je peux admirer au travers du fin tissu sa toison brune. Comme attirés par un aimant, mes lèvres se posent sur son intimité, doucement, m'imprégnant de son odeur, évitant pour l'instant les zones trop sensibles. C'est ainsi que je lui embrasse le haut des cuisses, là où la peau est si fine, si sensible aux baisers. Ses jambes sont maintenant écartées au maximum et ses lèvres dépassent légèrement du slip. Elles sont alors l'objet de mes attentions, recevant des bisous du bout des lèvres ou des coups de langue plus accentués.

Je saisis l'élastique du sous-vêtement et le tire vers le bas. Une nouvelle fois, elle se soulève un peu et j'ai bientôt sous les yeux son adorable chaton, dont la toison taillée très court ne cache pas les détails. Je reste quelques instant l'admirer puis je me penche et reprends mes baisers, cette fois plus appuyés.


- "Oh oui… c'est bon !"


Elle n'a nul besoin de le dire, tant sa mouille abondante trahit son excitation. Ma langue, à l'entrée de son puits d'amour, recueille la délicieuse liqueur que je déguste avec plaisir. Puis, coquine, elle remonte et titille le bouton, saillant, pointant fièrement hors de son capuchon. Mes mains caressent la poitrine et le ventre d'Isabelle dont les contractions sont de plus en plus fortes au fur et à mesure que son plaisir grandit. Soudain, ses mains plaquent mon visage contre sa chatte, son corps se tend et, dans un râle, elle jouit, m'arrosant copieusement. Je me régale de son jus d'amour puis elle me repousse, la sensibilité exacerbée.

Je m'allonge à ses côtés ; les yeux fermés, de fines gouttelettes de sueur parsemant son front et son visage, le souffle un peu court. Je ne me lasse pas de la regarder, la trouvant d'une beauté à couper le souffle. Elle reste ainsi de longues minutes, savourant son orgasme, reprenant lentement conscience. Elle tourne la tête vers moi, un large sourire éclairant son visage :


- "C'était… il y a bien longtemps que je n'avais pas connu un tel plaisir… merci…"


Puis, à son tour, elle me déshabille, faisant rapidement voler chemise, pantalon et boxer. Tandis que sa bouche couvre mon torse et mon ventre de doux bisous, ses doigts se posent sur mon sexe et le caressent, un peu comme pour faire sa connaissance, effleurant la hampe, titillant le méat, frôlant les bourses. Lentement, son visage descend sur mon ventre jusqu'à atteindre les premiers poils pubiens. Alors, tenant mon sexe bien droit, elle passe la langue dessus, léchant la tige sur toute sa longueur avant de remonter sur le gland et s'y attarder, l'agaçant fort agréablement. Enfin ses lèvres s'ouvrent un peu plus et, lentement, elle m'avale. Je regarde mon membre coulisser et pénétrer cette bouche si douce et cette vision me fait durcir encore un peu plus.


Isabelle m'offre une fellation comme il y a bien longtemps que j'en ai connue ! Elle me prend entièrement en elle, fait tourner sa langue sur ma hampe, me ressort, ne gardant que mon gland entre ses lèvres qu'elle tète avec appétit. Ses mains ne restent pas inactives ; ma poitrine et mes bourses sont l'objet de toutes leurs attentions et elle se risque même à des caresses sur mon petit trou, massant mon œillet. En appui sur les coudes, je ne perds pas une miette de la scène, remontant ses cheveux pour mieux apprécier le spectacle.

Je fais de gros efforts pour retarder au maximum mon éjaculation mais, après quelques minutes, Isabelle parvient à ses fins et je sens le plaisir monter.


- "Isabelle, je… je vais venir !"


@ bientôt pour la suite...
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