En couple


Mercredi 30 mai 3 30 /05 /Mai 10:08
Et oui !! Une toute nouvelle histoire... J'espère qu'elle vous plaira...

Jeudi 23h45

Catherine, ma femme, se lève du canapé et va se laver les dents, m'indiquant ainsi qu'elle a décidé d'aller se coucher. Il est vrai que le reportage n'est pas si intéressant que nous le prévoyions et ma chérie préfère visiblement s'endormir en feuilletant quelques pages d'un magazine. Je fais le tour de la maison, vérifiant que les portes sont verrouillées et, à mon tour, passe à la salle de bains.

Je la retrouve ensuite, le dos appuyé sur son oreiller, lisant son magazine favori. Je m'installe à mon tour et ouvre un livre. Après quelques minutes, ravi, je sens la main de Catherine se poser sur mon ventre et me caresser doucement.


- Au fait, j'ai oublié de te dire que Guéna était passée cet après-midi.

- Ça faisait un bail... comment va t-elle ?

- Très bien.


Guéna, ou plutôt Guénaëlle, et son mari Pierrick, sont nos meilleurs amis. Ils se sont connus grâce à nous, lui, un de mes amis d'enfance, et elle, collègue de Catherine, se sont rencontrés lors d'un anniversaire de ma femme. Depuis un peu plus de vingt ans, notre amitié ne s'est jamais démentie même s'il nous arrive de rester quelques temps sans nous voir.


- Tu sais, j'en ai appris de belles !

- Ah oui ? Quoi donc ?

- Figure-toi qu'elle m'a révélé que Pierrick et elle aller parfois au Must.


Le Must est un établissement de la région, club privé et motel. Il est autant réputé pour la qualité de son accueil que pour les mœurs particulièrement libres de ses clients. Ainsi donc nos amis se révèlent être libertins. Connaissant Pierrick, je ne suis qu'à moitié surpris.


- Tiens donc !

- Et oui. Elle m'a dit qu'ils avaient découvert cet endroit grâce à un couple qui travaille avec Pierrick et qu'après une première fois où ils s'étaient contenté de regarder, ils avaient, après en avoir longuement parlé, décidé d'y retourner.


Tout en me disant cela, ma petite femme laisse vagabonder sa menotte et le bout de ses doigts effleure parfois ma toison pubienne, jouant avec les boucles d'une manière tout à fait innocente.


- Et ils ont aimé ?

- À l'entendre, oui, et même beaucoup. Elle semble prendre un grand plaisir à se livrer à des inconnus... et même des inconnues...

- Et Pierrick n'est pas jaloux ?

- Pas du tout ! Il adore visiblement la regarder baiser avec d'autres... d'ailleurs, il ne se gêne pas non plus pour le faire avec d'autres femmes...

- Ça alors !


La main se fait plus curieuse, plus entreprenante et effleure ma hampe, la griffant légèrement de temps en temps. À mon tour, j'envoie une main sur sa cuisse, remonte lentement, caresse avec tendresse le haut de la jambe.


- Tu imagines ? Faire ainsi l'amour à des gens que tu ne connais pas...

- Je présume qu'ils se protègent.

- Oui mais quand même...

- Tu trouves moins gênant de le faire avec des amis ?

- Quelle question ! Tu dirais quoi toi si je le faisais avec quelqu'un d'autre ?


Au début de notre relation, il nous est arrivé d'évoquer nos fantasmes. J'avais alors avoué à Catherine que je ne serais pas contre une expérience avec un autre partenaire. Nous en avions souri mais jamais reparlé et elle a visiblement oublié.


- Pourquoi ? Tu en aurais envie ?


Ses doigts se sont refermés sur mon membre et elle me masturbe désormais franchement. Je pose la main sur sa fente et la découvre totalement trempée. L'évocation des soirées de nos amis ne semble pas la laisser indifférente, loin s'en faut !

Est-ce pour éviter de me répondre, ou par simple envie ? Tirant d'un coup le drap, Catherine me découvre puis se penche sur moi et m'avale, me faisant coulisser entre ses lèvres pulpeuses. Je l'attire sur moi et nous nous retrouvons en position de 69. J'admire sa fente, ses lèvres roses, fines et si délicates, si sensibles à mes caresses et baisers. Je l'embrasse puis, de la langue, l'explore, me régalant comme chaque fois et de son parfum et de son goût. J'investis sa grotte, dégustant sa liqueur intime. Plus haut, j'ose un baiser sur son œillet. Ses fesses se couvrent de chair de poule quand mes mains les effleurent. Son ventre se tend quand ma langue agace son bouton dressé. Abandonnant ses fesses, une main s'empare d'un sein et en titille le téton déjà fièrement dressé.

Les gémissements de ma chérie, bien qu'étouffés par mon sexe, m'indiquent qu'elle apprécie mes caresses. Puis, subitement, elle lâche mon membre et dans un râle, exprime cette jouissance, aussi intense que rapide.

Peu désireux de jouir tout de suite, je me dégage et lui demande :


- Tu ne m'as pas répondu... alors ?


Quelque peu surprise, Catherine met quelques secondes pour se remémorer ma question puis, enfin :


- Je ne sais pas... pourquoi pas ? À condition, bien sûr, que tu sois d'accord... et que tu sois là...

- Ben tiens donc !

- Ne te fâche pas ! Ce n'est qu'une hypothèse ! Mais, si mes souvenirs sont bons... il me semble que cela faisait partie de tes fantasmes...


Ainsi donc, elle n'a pas oublié ! Ses doigts ont repris possession de mon sexe et le caressent lentement, comme pour entretenir mon excitation sans, toutefois, m'amener au point de non retour.


- Tu aimerais vraiment essayer ?

- Franchement, je n'y avais jamais vraiment réfléchi mais Guéna semble y prendre un tel plaisir... et puis... c'est l'occasion de mettre un peu de piment dans notre vie...

- Pourquoi ? Elle te paraît fade ?

- Pas du tout, idiot !


À peine sa réponse terminée, sa bouche s'empare de la mienne pour un profond et passionné baiser, comme si elle voulait me rassurer sur ses sentiments.

Nous nous séparons, nous retrouvons allongés sur le côté, face à face. Sa main ne m'a pas lâché ; je lui caresse la poitrine et nous poursuivons notre conversation.


- Tu t'imagines avec plusieurs hommes en même temps ?

- Pas vraiment... mais il paraît que c'est génial ! Enfin, c'est ce que dit Guéna.

- Elle t'en a dit des choses !

- Elle a beaucoup vanté ces soirées, c'est vrai... et elle paraissait vraiment sincère...

- Si je comprends bien, tu es convaincue !

- Et toi ?

- Tu connais déjà la réponse... mais toi ? Si je le fais avec une autre femme, tu ne vas pas me faire de scène ?

- Non, rassure-toi !

- Dans ce cas...

- Justement, Guéna m'a proposé de découvrir les lieux samedi soir... elle a précisé que cela ne nous obligeait en rien...

- Puisque tout est déjà en place... je te fais confiance !

- Je t'aime mon chéri !

- Moi aussi.


Alors, ce début ? il vous plait ? Faites-le moi savoir si vous voulez connaître la suite... J'attends vos comm
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Mardi 27 mars 2 27 /03 /Mars 15:05
La vengeance de Jacques sera t-elle terrible ?

Découvrez-le en lisant ce qui suit !


Jacques est quelque peu désarçonné. Lui qui croyais la punir pour son infidélité n'obtient d'autre résultat que son excitation. Il choisit alors de cesser sa fessée et la fais asseoir dans un fauteuil. Il l'installe les jambes posées sur les accoudoirs et elle se retrouve ainsi totalement ouverte, la vulve béante. La regardant dans les yeux, il lui demande alors :


- "Tu l'as vu quand la dernière fois ?

- Ce midi…

- Vous avez baisé ?

- Oui.

- Raconte-moi !

- Non… s'il te plait…

- Tu choisis : ou tu me racontes ou j'appelle chez lui et je raconte à sa femme vos petites séances…"


Vaincue, elle lui narre alors dans le détail les deux heures passées à l'hôtel avec son amant. Il apprend ainsi que Bernard, sous son attitude relativement timide, est, dans ces moments intimes, plutôt dominateur. Depuis le début de leur relation, il lui a appris à avaler sa semence puis, petit à petit, l'a amené à accepter la sodomie. Bref, il a réussi à en faire une parfaite maîtresse ne refusant plus aucune fantaisie amoureuse.


Jacques pense alors que sous ses refus, sa femme a du longtemps secrètement espérer qu'il insiste et l'amène ainsi à connaître les multiples facettes d'une sexualité qu'elle semble découvrir aujourd'hui. Si ce constat lui fait un peu mal, il se dit néanmoins qu'il n'a peut-être pas encore tout à fait perdu sa femme. Décidé à être fixé, il lui demande alors :


- "Tu veux qu'on se sépare ?

- Pas du tout ! Je t'aime ! Bernard, c'est juste… sexuel…

- Tu dis que tu m'aimes et tu te fais troncher par d'autres, drôle de façon d'aimer…

- Pas par d'autres ! Il n'y a eu que lui… je te le jure ! Et je te promets de ne plus jamais recommencer…

- Voyez-vous cela ! Et si moi, je ne veux plus de toi…

- S'il te plait… pardonne-moi… je t'aime… je ferais tout ce que tu voudras !

- Vraiment tout ?

- Oui… je te le promets.

- Débarrasse-toi de ces lambeaux et suis-moi !"


Il entre dans le bureau, installe une seconde chaise devant l'ordinateur et la fait s'y asseoir :


- "Puisque tu aimes tant te dévoiler, voyons ce que pensent de toi les internautes…

- Que vas-tu faire ?

- C'est simple, je vais me connecter sur un chat et t'exhiber devant la caméra."


Tout en lui répondant, il règle la webcam et vérifie la qualité de l'image. Sur l'écran, elle regarde l'image de sa poitrine et de sa toison, son sexe est lui encore caché par ses jambes croisées.


- "Écarte les cuisses qu'on voit bien ta chatte !"


Docile, elle obéit, livrant son intimité à l'œil de la caméra. Satisfait, Jacques lance une connexion Internet puis se branche sur un salon où il sait qu'il trouvera des hommes ou des couples heureux de profiter de l'aubaine.

Les premiers messages ne tardent pas à arriver et rapidement, un homme lui demande une visioconférence que Jacques accepte. Il regarde sa femme qui a lu les messages échangés et sait que dans quelques secondes, elle dévoilera son corps à cet inconnu. Ils voient apparaître dans une fenêtre un torse. A première vue, l'homme semble jeune et sa voix parvient des haut-parleurs :


- "Bonsoir ! Je suis ravi… madame est très mignonne…

- Merci pour elle… tu n'as pas l'air mal non plus…

- J'aimerais voir ses fesses, c'est possible ?

- Tu as entendu ma chérie ?"


Véronique se lève et fait un demi-tour, offrant son postérieur aux yeux curieux.


- "Superbe ! Elle peut écarter les jambes et montrer son petit trou du cul ?"


Sans que Jacques le lui dise, elle se baisse et écarte ses fesses. Son anus est nettement visible, pour la plus grande satisfaction de l'homme.


- "Parfait ! Je suis sûr qu'elle mouille, tu peux vérifier ?

- Avec plaisir !"


Elle se rassied et, écartant à nouveau les jambes, permet à son mari d'introduire un doigt dans sa fente. Il le fait aller et venir deux ou trois fois et le ressort bien humide. Il le porte à sa bouche et s'en régale avant de dire à son interlocuteur :


- "Tu as raison. Elle est trempée… et délicieuse !

- Hum… veinard… regardez l'effet qu'elle me fait !"


Il se lève un peu et ôte son unique vêtement, dévoilant un sexe tendu aux dimensions plus qu'honorables. Il se caresse quelques secondes puis demande :


- "Elle lui plaît ?

- Vas-y ! Réponds !

- Euh… oui…

- Tu aimerais la caresser ?

- Oui…

- J'aime ta voix… décris-moi ce que tu aimerais me faire !

- …

- Allez ! N'aie pas peur !

- Euh… j'aimerais la caresser comme vous le faites en ce moment…

- Tu peux dire 'tu'. Après ?

- Je ne sais pas… la goûter peut-être…

- Oh oui… j'adorerais que tu me suces… tu aimes les pipes ?

- Oui.

- C'est bien. Ensuite, je te la mettrai bien à fond dans ta chatte. Tu aimes te faire baiser profond, pas vrai ?

- Si !

- Je bande encore plus en t'écoutant. Toi aussi branle-toi !"


Lentement, Véronique descend une main vers son intimité et se caresse doucement, prenant bien soin de montrer ses gestes à l'écran. Jacques zoome un peu puis, passant derrière elle, s'empare de ses seins. L'homme les félicite pour le spectacle qu'ils lui offrent avant de regretter de ne pas pouvoir participer en réel.


- "Tu habites où ?

- À 5 km de X.

- C'est vrai ? Nous sommes à Y. pas très loin de chez toi.

- Ça alors ! Vous m'invitez ?"


Jacques se retourne vers sa femme. Celle-ci, entendant leur dialogue a cessé ses caresses, comme si elle aussi attendait la réponse de son mari.


- "Rendez-vous dans 1/4 d'heure devant la mairie, ça te va ?

- Et comment. Je coupe, je vais me préparer. A tout à l'heure."


Le silence retombe. D'autres hommes envoient des messages mais Jacques se déconnecte.


- "Tu mets ton imper et tu m'accompagnes !

- Tu veux vraiment que…

- Que quoi ?

- Qu'il vienne ici ?"


Jacques ne répond pas et plonge la main vers la fourche. Il caresse un peu la fente puis enfonce un doigt dans la grotte qu'il trouve littéralement trempée. Il le ressort et demande :


- "Ose dire que tu n'es pas excitée ?

- Mais s'il veut me…

- S'il veut te baiser ?

- Oui…

- Il fera ce que je voudrais bien qu'il fasse et tu n'as aucun intérêt à désobéir.

- Tu ne seras pas jaloux ? Même s'il me donne du plaisir ?

- On verra bien !"


Ils sortent et se dirigent vers le rendez-vous. Véronique, comme le lui a demandé son mari, n'est simplement vêtue que d'un imper et elle sent l'air frais caresser son corps.

Ils attendent à peine quelques minutes avant qu'une voiture ne vienne vers eux au ralenti. Arrivé à leur hauteur, la vitre se baisse et l'homme demande :


- "Tu es Jacques ?

- Et toi Marc ?

- Oui.

- On va chez nous. Tu peux laisser ta voiture ici."


J'attends vos comm pour continuer...
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