En couple


Lundi 26 mars 1 26 /03 /Mars 09:33
Un peu de patience avant de découvrir la suite des aventures de Lucie... en attendant, voici le début d'une nouvelle histoire...


- Vive la RTT !


Jacques est heureux de disposer de cette journée. Les enfants sont pour la semaine chez leurs grands-parents, Véronique, son épouse, au travail et il compte bien profiter de ce temps libre pour faire un peu de ménage dans l'ordinateur. Depuis longtemps, le disque dur est la proie d'installations de logiciels aussi inutiles qu'encombrants et il est plus que temps de faire un peu de place. D'autant plus qu'il compte bien installer un nouveau système d'exploitation et que les mégaoctets risquent de devenir très cher.

Cela fait une heure qu'il sauvegarde les données essentielles et le boulot est loin d'être terminé. Il s'attaque à un nouveau dossier et doit, pour certains fichiers, jeter un œil afin de juger de leur importance. Il vient d'en ouvrir un et commence à le lire lorsque son sang se glace.

À l'écran, le récit d'une journée qui sertait banale si, à mesure que les lignes défilent, il n'en découvrait la teneur hautement érotique. Les enfants, de 6 et 9 ans étant bien incapables, fort heureusement, d'une telle prose, il ne peut s'agir que de l'œuvre de son épouse. S'il existait encore un doute, la description de la maison et surtout de la principale protagoniste, ressemblant trait pour trait à Véronique, le lui ôte sans hésitation.

Le texte évoque une relation, qui semble durer depuis déjà quelques temps, entre celle qui semble bien être sa femme et un homme dont il pourrait s'agir de Bernard, leur voisin et ami, lui aussi marié.

La description des scènes n'omet aucun détail, ni sur la physique des deux acteurs ni sur le déroulement de leurs ébats.

Il découvre avec effarement les fellations, sodomies et doubles pénétrations avec accessoires auxquelles se livre celle qui se décrit elle-même comme une garce. Pratiques auxquelles sa femme refuse absolument de se livrer.

À la fin de cette lecture, Jacques est complètement désorienté. Il n'a guère de doute sur l'identité des deux personnes et se demande maintenant si ce texte est le récit de fantasmes ou celui d'une relation réelle.


Mariés depuis 15 ans, Véronique et lui semblent incarner le couple idéal : belle situation, maison agréable, deux enfants charmants et une vie sociale épanouie. L'intimité du couple est quelque peu différente. Après les premières années d'amour passionné, leur relation s'est un peu muée en en amitié amoureuse. Il ne font plus guère l'amour qu'une fois par mois, parfois moins, et sans aucune fantaisie. Il a bien tenté de lui faire évoquer ses envies, ses fantasmes, d'essayer des positions moins académiques mais, chaque fois, Véronique s'est dérobée.

Amoureux d'elle comme au premier jour, Jacques vit assez mal cette situation. Malgré tout, il ne l'a jamais trompée, bien que l'occasion s'est parfois présentée, et espère toujours qu'un changement intervienne.

Seul devant l'écran, il ne sait vraiment pas quoi faire : doit-il imprimer ce texte et le montrer à sa femme ce soir ? Doit-il au contraire faire celui qui n'a rien vu ? Dans son esprit, les pensées se télescopent.


Le problème du nettoyage du disque dur lui paraît maintenant à des années lumière. Il relit une nouvelle fois le récit et sent peu à peu l'excitation le gagner, bien malgré lui. Il se surprend à fermer les yeux et à imaginer sa femme, totalement offerte et heureuse, subissant les assauts de son amant et une érection déforme bientôt son pantalon. Comme nombre d'hommes, parmi ses fantasmes figure celui du triolisme. Fantasme qu'il a tenté, il y a quelques années, de faire partager à son épouse, sans y réussir. Et aujourd'hui, c'est elle qui s'offre à un autre homme et qui, en plus, en garde le souvenir en racontant ses péripéties. Jacques se demande si elle n'a pas fait exprès de trancrire son histoire dans le seul but qu'il la découvre. Elle sait que l'ordinateur est son jouet favori et qu'il n'a aucun secret pour lui. Elle a donc bien du se douter qu'il découvrirait ce fichier un jour ou l'autre. Il prend la décision d'en parler à sa femme dès ce soir.

Lorsqu'elle rentre du bureau, elle arbore un sourire radieux. Jacques se demande s'il lui est destiné ou si elle a vu son amant. Il se force à ne rien laisser paraître de son trouble, bien qu'une foule de questions lui brûle les lèvres, et lui demande juste si sa journée s'est bien passée.

Le repas terminé, ils s'installent tous les deux dans le canapé. Véronique a troqué ses vêtements de ville contre un vieux tee-shirt sous lequel il sait qu'elle ne porte qu'un slip. Bien que le film soit intéressant, Jacques a le plus grand mal à le suivre. Il jette de temps en temps un œil vers sa femme, admirant comme toujours le galbe de ses cuisses et sa poitrine, dont les bouts pointent sous le tissu. Se remémorant certains passages du récit, il lui semble la voir, les jambes écartées, son intimité offerte, prête à s'abandonner aux caresses de son rival. Il sent une érection déformer son caleçon et tente vainement de penser à autre chose. Le film lui semble interminable mais enfin, le mot "Fin" apparaît. Sa femme se tourne vers lui et lui demande ce qu'il a fait aujourd'hui.


- "Comme prévu, j'ai préparé l'ordinateur à la prochaine mise à jour. J'ai fait le tour des fichiers et sauvegardé ceux qui le méritaient."


S'il s'attendait à ce que sa réponse trouble sa femme, il en est pour ses frais. Elle répond juste :


- "Tu as bien fait ! J'espère juste que tu n'as pas effacé par mégarde certains fichiers importants.

- Non, rassure-toi ! Ceux pour lesquels j'avais un doute, je les ai regardés avant de les virer."


Cette fois, il lui semble distinguer une légère lueur d'inquiétude dans son regard. Elle ne peut pourtant pas ignorer qu'il agirait de la sorte.


- "Ça m'a d'ailleurs permis de faire quelques découvertes…

- Ah bon ! Lesquelles ?"


Il se lève et va dans le bureau chercher les feuilles qu'il a imprimées. Revenant s'asseoir, il les lui tend. Elle les parcourt d'un œil rapide et cette fois, ses joues rosissent et elle a le plus grand mal à contrôler le tremblement de ses mains.


- "Ce n'est pas moi qui l'ai écrit et je ne pense pas que ce soit les enfants…

- …

- Je ne vois donc qu'une personne ici…

- …

- Je ne te connaissais pas ces talents d'écrivain… c'est du vécu ou de l'imaginaire ?"


Il voit alors deux larmes couler sur les joues. Bien décidé à apprendre la vérité, il poursuit :


- "Alors? J'attends ta réponse !

- Pardon…

- Pardon pour quoi ? Je veux que tu me dises exactement ce qu'il en est. Tu me trompes ?

- … Oui…

- Cela dure depuis longtemps ?

- Un peu… je ne sais pas ce qui m'a pris… je t'en prie… pardonne-moi !

- J'ai cru reconnaître Bernard. Il s'agit bien de lui ?

- Oui.

- Tu sais ce que tu es ?

- … Oui…"


Jacques se lève alors. Se penchant vers sa femme, il empoigne le tee-shirt et, d'un geste brusque, le déchire en deux. Véronique se retrouve presque nue, toujours en pleurs. Jacques ne se laisse pas impressionner par ses larmes, au contraire. Il baisse son caleçon, exhibe son sexe et, l'approchant du visage de sa femme, lui dit d'un ton ferme :


- "Suce !"


Comme un robot, elle avance le visage et referme la bouche sur la verge tendue. Il regarde son membre aller et venir entre les lèvres de son épouse et reconnaît qu'elle suce sacrément bien. Ses mains caressent les cheveux puis descendent sur les épaules avant de trouver les seins qu'il pelote assez fermement, faisant bien vite durcir les tétons sous ses doigts.


- "Tes seins sont tout durs ! Ça t'excite de te comporter comme la dernière des salopes !"


Véronique ne répond pas mais il sent ses lèvres serrer un peu plus son membre. Elle l'avale de plus en plus profond et sa langue semble virevolter autour de sa tige. Jamais encore elle ne lui a offert une fellation aussi intense ! En lui se mêlent une certaine colère et une étrange excitation à la pensée qu'elle a pu offrir à un autre cette caresse aussi intime.

Il se recule soudain et regarde sa femme. Les lambeaux du tee-shirt la recouvrent toujours, la rendant encore plus excitante. Il la fait se lever puis lui ordonne :


- "Penche-toi ! Les mains sur le canapé !

- Qu'est-ce que tu vas faire ?

- Tais-toi !"


Il s'approche d'elle et, d'un geste rapide, fait glisser le slip le long des jambes. Il reste un instant admirer cette chute de reins dont il ne se lasse pas puis il lève une main et l'abat une première fois sur les fesses, tirant un cri, plus de surprise que de douleur. La fessée se fait plus régulière et bientôt le cul de Véronique rosit sous la chaleur des coups. Malgré tout, il n'est pas sans remarquer que sa femme se cambre de plus en plus, tendant ses fesses au devant de la main qui, impitoyable, s'abat sur elles à intervalles réguliers. Il cesse un moment le châtiment et glisse un doigt dans l'intimité. Ce qu'il prévoyait se révèle exact et il le ressort tout humide.


- "En plus, tu aimes qu'on te fesse !

- …

- Il te le fait aussi ton jules ?

- …

- Réponds !

- Des fois…

- Quelle salope tu fais…"



Cette histoire vous plait ? Si oui, je vous offre la suite... N'oubliez donc pas un petit comm !!
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Lundi 26 février 1 26 /02 /Fév 09:15

Je l'abandonne et descends.

Bizarrement, le fait de me trouver nu, chose qui m'arrive souvent chez moi, dans cette maison qui n'est pas la mienne, me met presque mal à l'aise. Je jette un œil aux fenêtres pour vérifier que personne ne peut voir à l'intérieur et, quelque peu rassuré, emplit deux verres de Martini.

Isabelle me rejoint quelques minutes plus tard et, la voyant, je ne peux retenir un sifflement admiratif :

 

- "Tu es… encore plus que cela !"

 

Ravie, elle fait un tour sur elle-même, me permettant d'apprécier son ensemble. Bleu nuit, le soutien-gorge ne cache pas grand chose de ses seins. Le slip est pour sa part réduit à sa plus simple expression, surtout le derrière, limité à une fine bande de dentelle qui met plus en valeur qu'elle ne cache les fesses. Comble de raffinement, Isabelle s'est également parée d'un porte-jarretelles et de bas foncés.


- "Je vois que tu apprécies, me dit-elle en baissant les yeux vers mon bas ventre."


Effectivement, sa tenue a réveillé mon excitation, quelque peu retombée après le bain. Je me lève, lui tends son verre et nous trinquons, debout au milieu du salon. Après une gorgée, je l'enlace et esquisse quelques pas de danses. Elle ne refuse pas, nous posons nos verres et nous laissons bercer par la voix de Etienne Daho. Mes mains caressent son dos, ses fesses, tandis que les siennes, sagement posées sur mes épaules, se contentent de me retenir contre elle.

Après deux morceaux, elle met fin à la récréation et me demande ce que je désire manger :

 

- "Toi…

- Tu es bête… ça, sera ton dessert.

- Qu'as-tu à me proposer ?

- Et si on se faisait des grillades ? Je n'ai pas spécialement envie de faire la cuisine ce soir. Ça ne te dérange pas ?

- Pas du tout ! J'adore !

- On mange dehors ? Il fait encore beau.

- Euh… dans ces tenues ?

- Personne ne peut nous voir, n'aie pas peur !

- Si tu le dis !"

 

Je m'occupe d'allumer le barbecue pendant qu'elle prépare la viande. Un second apéritif nous permet de patienter pendant la cuisson puis nous passons à table. La situation est pour le moins cocasse. Moi, en tenue d'Adam, Isabelle, en dessous chics. Il ne faudrait pas qu'un voisin vienne demander un peu de sel !

Après le repas, la température fraîchissant, nous retrouvons le salon pour prendre le café, assis l'un contre l'autre.

 

- "Tu sais, Jean-Marc, j'ai fait plus l'amour en 24 heures que ces 3 dernières années.

- Je croyais que ton divorce ne datait que de deux ans…

- C'est vrai.

- Tu veux dire que ton mari et toi êtes restés un an sans coucher ensemble ?

- C'est tout à fait ça ! Submergée par le boulot, je venais de reprendre la boîte, je l'ai délaissé et il a fini par aller voir ailleurs. Le pire c'est que j'étais presque heureuse qu'il me fiche enfin la paix, qu'il ne cherche plus à me toucher…

- Ça alors !

- Surtout lorsque tu es arrivé dans l'entreprise. Et oui, en te voyant arriver à l'entretien d'embauche, j'ai immédiatement flashé sur toi…

- …

- Tu es surpris ? Moi non plus, je ne voulais pas le croire mais, plus les mois passaient, plus il m'était difficile de ne voir en toi qu'un collaborateur.

- Tu as bien caché ton jeu !

- Pas tant que ça ! Martine, ma secrétaire s'en est aperçue et c'est un peu grâce à elle que j'ai osé te demander de rester hier soir.

- Tu veux dire que ?

- Que l'étude du dossier était une excuse, oui.

- Je suis bluffé ! Tu me feras penser à offrir un bouquet de fleurs à Martine !"

 

Isabelle me sourit puis pose une main sur ma cuisse, me caressant doucement, se contentant de m'effleurer du bout des doigts. Lentement elle remonte et finit par atteindre mon sexe. Sans appuyer plus ses caresses, elle fait courir ses doigts sur la hampe et, peu à peu, la 'bête' sort de sa somnolence, s'étire, redresse la tête. Je regarde cette main si fine, si douce, aller et venir, ses ongles griffer légèrement la peau. Abandonnant alors mon sexe, Isabelle remonte sur mon torse, agace mes tétons, les faisant eux aussi s'étirer. Parfaitement immobile, je la laisse faire, savourant la douceur de ses mains sur moi. Alors, elle me fait lever et, sans un mot, me fait allonger sur le sol.

La fraîcheur du carrelage me surprend quelque peu mais je l'oublie très vite quand Isabelle, me chevauchant, s'installe sur moi en position de 69. Sous mes yeux, le spectacle de son intimité, ses lèvres roses, aux contours finement ciselés, l'entrée de son puits d'amour d'où perle la si délicieuse liqueur, fruit de son excitation. Mes mains s'emparent de ses fesses que je masse quelque peu fermement, les écartant parfois pour admirer son petit œillet sombre. Lequel dans un premier temps fait l'objet de toute mon attention ; je le lèche abondamment puis, de la pointe de la langue, en assouplis le muscle. Isabelle ne se dérobe pas et, après quelques minutes de patience, je parviens à pénétrer son sanctuaire, lui tirant même un léger soupir.


Pendant ce temps, elle n'est pas restée inactive et fait coulisser mon membre entre ses lèvres, m'offrant une fois de plus une superbe fellation. Je délaisse pour l'instant son côté pile et ma langue poursuit son chemin sur sa fente. Sa chatte est trempée et je me régale de sa mouille. Son bouton pointe fièrement et quelques coups de langue bien appuyés suffisent à faire crier ma compagne. Retour sur son petit anneau qui, cette fois, ne résiste pas à mon intrusion. Je salive abondamment tout en faisant aller et venir un doigt dans sa grotte puis sors la langue et la remplace par ce doigt mouillé. Je regarde, j'admire devrais-je dire, la lente progression de mon majeur dans ce cul encore inviolé. Sous la surprise, et craignant sans doute une douleur quelconque, Isabelle a lâché mon sexe.


- "Vas doucement mon chéri !

- Sois tranquille, je ne veux que ton plaisir."


Quelque peu rassurée, elle reprend sa fellation et se détend. Mon doigt est maintenant tout en elle, je la laisse s'habituer à sa présence puis, lentement, le fais ressortir. Je regarde son œillet se refermer et, portant le doigt à ma bouche, goûte sa saveur épicée. À nouveau, ma langue mouille en abondance le petit trou avant de céder la place à mon doigt qui revient à la conquête de cette virginité. L'entrée en est plus facile, Isabelle, totalement rassurée par mon premier essai, est maintenant tout à fait décontractée et mon majeur retrouve son étroit fourreau sans gros problème. Je le fais aller et venir, d'abord lentement puis accélérant les va et vient. Les gémissements de ma belle, quoique étouffés par mon sexe, me rassurent quant au plaisir qu'elle commence à y trouver. Plaisir renforcé par les caresses de ma langue et les baisers sur son intimité. Elle a de plus en plus de mal à rester concentrée sur les caresses qu'elles m'offrent tant les miennes lui procurent du plaisir.


- "Ne t'occupe plus de moi ! Laisse-toi aller !"


Elle abandonne mon sexe, pose son visage sur ma cuisse et se contente de savourer les caresses que je lui offre, gémissante.

Sa chatte ressemble de plus en plus à une cascade, à un volcan en éruption même tant elle est chaude. Se sentant sur le point de partir, c'est presque en criant qu'elle me demande 'de lui branler le cul plus fort', selon ses propres mots. J'accélère alors les va et vient de mon doigt dans son anus, ma langue se concentre sur son bouton et soudain, dans un véritable hurlement, Isabelle parvient à l'orgasme m'abreuvant en abondance de sa mouille dont je ne me lasse jamais et que je bois, la langue fichée dans sa grotte. Vivement, comme si elle venait de recevoir une décharge électrique, elle se relève avant de revenir sur moi et de s'empaler sans autre forme de procès sur mon sexe tendu. S'appuyant sur mon torse, elle monte et descend rapidement, gémissement à chaque fois que mon sexe bute au fond de son vagin. Les yeux fermés, le front ruisselant de sueur, les cheveux en bataille, elle donne l'impression de ne jamais vouloir s'arrêter, ponctuant ses va et vient de petits 'oui' ou de 'c'est bon' qui en disent long sur son bonheur.

Je fais le maximum pour me retenir mais, plus le temps passe, plus je sens qu'à mon tour je vais jouir. Isabelle s'en rend compte également et, ouvrant les yeux, me dit :

 

- "Vas-y mon chéri ! Prends ton pied ! Ne te retiens plus !"

 

Son encouragement suffit à déclencher mon orgasme et je n'ai que le temps de quitter son adorable écrin pour me répandre en longs jets, arrosant autant son ventre que le mien.


Cette rencontre a eu lieu il y a presque un an, comme le temps passe vite ! Je regarde Isabelle, assise à côté de moi, souriante, heureuse. Comme elle vient de me l'apprendre, il me faudra réfléchir à un cadeau l'année prochaine... pour la fête des mères. Je lui souris moi aussi. Je l'aime.

FIN

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