Vendredi 23 février 5 23 /02 /Fév 14:54
Ah l'amour !!!

Ses bras autour de mon cou, mes mains sur ses hanches, nous faisons longuement l'amour, loin des chevauchées sauvages, en prenant tout notre temps, en y mettant toute notre tendresse, restant parfois immobiles, mon sexe fiché au fond du sien, nous embrassant avec passion.


Lorsque, après de longues minutes, Isabelle jouit, elle crie son plaisir, ses seins écrasés sur mon torse. À ce moment, comme si cet orgasme servait de déclencheur, notre étreinte se fait plus fougueuse, uniquement tournée vers le plaisir physique. Elle se relève, se met à quatre pattes sur l'épais tapis du salon et, tendant ses fesses, m'implore de revenir en elle.


- "Viens vite ! Viens me baiser mon amour !"


M'agrippant à ses hanches, je reprends possession de son sexe d'un puissant coup de rein, qu'elle accueille d'un long "ah".

Mes coups de reins, vigoureux, font claquer ses fesses contre mon bas ventre. Isabelle se déchaîne, m'encourageant à aller toujours plus loin, toujours plus fort.

Après la tendresse vient la passion, fougueuse, presque animale. Au point que j'ai presque du mal à reconnaître la femme si douce qu'elle était il y a encore quelques instants. D'une main, elle se caresse la fente, parfois mes couilles. Se cambrant au maximum, elle vient au devant de ce sexe qui la laboure.


- "C'est bon… oui… Jean-Marc… n'arrête pas… comme ça… oui… prends-moi toute ! Je suis à toi… pour toujours… baise-moi fort… je jouis… mon chéri.. je viens.. oui…"


C'est presque en hurlant qu'elle succombe à nouveau. Ses muscles intimes massent ma tige, me procurant des sensations extraordinaires.

Mes coups de boutoir ne cessent pas, au contraire, et j'ai l'impression qu'elle connaît orgasme sur orgasme, criant sans discontinuer, m'encourageant à la prendre encore et encore.

Quand je suis sur le point de céder à mon tour, elle me dit de venir sur son visage. Je quitte son doux écrin, m'agenouille face à elle et, s'emparant de mon sexe, elle le dirige sur elle et mes jets maculent ses cheveux, son front, ses joues.


- "Hum… c'est bon… jouis mon amour… arrose-moi de ta semence…"


Elle me prend ensuite en bouche et, comme tout à l'heure, me nettoie, ne se résignant à me lâcher que lorsque je suis redevenu mou.


- "Oh, Jean-Marc, c'était si bon… jamais de ma vie je n'avais pris mon pied comme ça ! Merci mon chéri, je t'aime tant !"


Une nouvelle douche s'impose. En nage, Isabelle du sperme partout sur le visage, nous partons, à sa demande, ensemble vers la salle de bains.

Cette toilette est prétexte à bien des caresses. Isabelle ne se lasse pas de me savonner, en profitant outrageusement, pour mon plus grand plaisir, pour s'attarder sur mes tétons, qu'elle pince légèrement, mes fesses, qu'elle caresse doucement et entre lesquelles elle aventure un doigt curieux, et, bien sûr, ma verge, qui bien qu'encore molle, l'attire irrésistiblement. Je ne suis pas en reste et sa poitrine, son adorable cul et sa fente font l'objet de soins tout particuliers.

Après nous être mutuellement séchés, Isabelle me regarde et, en souriant, me dit :


- "Comment je fais demain matin pour aller au bureau ?

- Pardon ?

- On est venu avec ta voiture…

- Je vois bien une solution mais…

- Dis toujours…

- Je te ramène au parking et tu la récupères…"


Ma phrase à peine terminée, je vois deux larmes couler sur ses adorables joues. Je regrette aussitôt cette pointe d'humour et m'empresse de rajouter :


- "Je plaisante ! Je te ramène effectivement au parking et tu reprends ta voiture… demain soir à la fin de la journée !

- Imbécile !"


Elle me file une grande claque sur les fesses puis, me prenant la main, m'entraîne presque en courant vers la chambre. Elle me pousse sur le lit puis, m'enjambant, se penche sur moi et m'embrasse voracement, nos dents s'entrechoquant. Puis elle reste blottie contre moi et je savoure tout autant qu'elle le bonheur d'être ainsi, ensemble, tendrement enlacés. C'est d'ailleurs dans cette position que le sommeil s'empare de nous.


Le lendemain matin, entendant le radio réveil, je mets quelques secondes à réagir. La nuit a été plutôt courte et j'ai bien du mal à émerger. Me tournant, je constate qu'Isabelle n'a visiblement rien entendu et qu'elle est toujours dans les bras de Morphée. Sans bruit, je me lève et file à la cuisine préparer le café puis, attendant qu'il passe, je file sous la douche.

À mon retour dans la cuisine, je prépare deux bols, fais griller quelques tartines et rejoins la chambre. Je reste quelques minutes immobile, contemplant ce corps endormi. L'envie est grande de rejoindre Isabelle pour un câlin matinal mais la raison l'emporte et, doucement, je réveille la belle endormie. Elle ouvre un œil et m'apercevant, m'offre le premier sourire de la journée.


- "Assieds-toi, j'ai apporté le petit déjeuner.

- Tu es un ange. Approche que je te remercie."


Je me penche et elle m'offre ses lèvres pour un baiser, rapide mais particulièrement tendre. Je pose le plateau sur ses genoux et m'assieds à ses côtés. Nous mangeons et buvons notre bol en silence puis, regardant l'heure, Isabelle se lève et va à son tour se laver. Pendant ce temps je m'habille, est, en me découvrant en cravate, je pense au boulot.


- "Isabelle ?

- Oui ?

- Euh… comment dire… au bureau… on… enfin…

- N'en dis pas plus. Écoute, ça fait des années que j'ai mis ma vie privée de côté. Aujourd'hui je suis heureuse et je n'ai absolument pas envie de me cacher. Donc, à moins que cela te pose un problème, on se dis 'tu' et tu m'appelles Isabelle. D'accord ?

- D'accord mais tu es sûre que ça ne va pas te créer de problèmes ?

- Pourquoi ? Bien entendu, hors de questions de passe notre temps ensemble à faire des cajoleries…

- Ah ? Dis-je en souriant.

- Idiot ! Alors, ça te va comme ça ?

- D'accord.

- Je suis prête, on y va ?

- On y va ! Juste une dernière chose.

- Quoi ?"


Je l'attire contre moi et lui offre un long baiser.


- "Si je dois attendre jusqu'à ce soir…

- Tu as raison, répond-elle en reprenant possession de ma bouche."


La journée se passe à la perfection. Contrairement à ce que je craignais, aucun collègue, en s'apercevant du changement dans nos rapports, n'a sourcillé ni posé la moindre question. Vers 18 heures, Isabelle vient dans mon bureau et demande :


- "Tu m'attends ? J'en ai pour un petit quart d'heure.

- D'accord."


Vingt minutes plus tard, elle me rejoint et ne peut s'empêcher de déposer un léger bisou sur le coin de mes lèvres. À cette heure, on ne risque plus de nous surprendre et je l'enlace pour un baiser plus appuyé, qu'elle ne refuse pas.


- "On prend un café ?

- Avec plaisir ! On va chez moi ?

- Ok."


Elle prend cette fois sa voiture et me suit. Arrivés chez moi, l'atmosphère est totalement différente de celle d'hier soir et Isabelle parfaitement à l'aise. Je sers le café que nous buvons, sagement installés au salon, presque comme un vieux couple. Cette pensée me fait sourire et, devant son regard étonné, je lui fais part de ma réflexion. Elle sourit à son tour puis me propose :


- "La semaine est finie. Ça te dit de passer le week-end ensemble, chez moi ?

- Je ne voudrais pas déranger…

- Ce que tu peux être bête ! Alors ?

- À ton avis ? Bien sûr que ça me dit de passer le week-end en ta compagnie, ici, chez toi, n'importe où, et pas que le week-end d'ailleurs !

- Méfie-toi ! Je pourrais te prendre au mot !

- Au mot seulement ? Moi je préfère te prendre… tout court…

- Tout court ? Ce n'est pas l'impression que j'en ai gardée !"


Nous éclatons de rire. Puis, se penchant sur moi, Isabelle pose une main sur ma braguette, constatant ainsi mon début d'érection.


- "Hum… c'est pour moi tout ça ?

- Tu vois quelqu'un d'autre ?

- J'ai envie d'y goûter… je peux?

- Si tu veux… mais ne mords pas, sinon…"


Nouveau rire puis elle ôte mon pantalon et mon caleçon.


- "Elle est toujours aussi belle !"


Lentement, elle approche son visage et m'avale, refermant ses lèvres sur ma tige. Sous ses caresses, mon érection est rapidement à son maximum et Isabelle met tout son cœur dans sa fellation. À tel point que je sens rapidement le plaisir me gagner.


- "Isabelle, attention, je vais venir !"


Comme si elle n'avait pas entendu, elle poursuit ses caresses. Je tente de me retenir mais cela devient de plus en plus difficile, Isabelle redoublant d'ardeur.


- " Je vais… Isabelle… je…"


Trop tard ! Je jouis, mes jets s'écrasant contre son palais. Elle avale mon sperme sans une grimace puis, se redressant, me regarde en souriant :


- "J'avais vraiment envie de te boire…"


Pas la peine de le dire, je m'en étais aperçu !


- "Tu prends des affaires et on y va ?

- Sans problème !


Je me rhabille et file vers la chambre. Je choisis quelques fringues cool et rejoins ma belle au salon. Elle ne m'a pas entendu revenir et je la vois, les jambes sensiblement écartées, la main posée sur son pubis, des mouvements révélateurs l'agitant. Je reste quelques instants immobile, jouant les voyeurs. Soudain, elle se tourne et m'aperçoit. Elle rougit aussitôt, comme une petite fille prise en train de voler des pots de confiture. Elle rabat vivement sa jupe et baisse la tête, comme si elle avait honte de ce qu'elle vient de faire.


- "Tu est très belle quand tu te caresses… tu veux continuer ?

- Non ! Allons-y !"


Nous prenons sa voiture et dès qu'elle a démarré, ma main se pose sur sa cuisse. Elle ne se dérobe pas et j'en profite pour, petit à petit, remonter vers son entrejambe. Nous parvenons chez elle après presque une demi-heure de route. Je découvre alors une maison coquette, abritée derrière une haie.


- "Nous y voilà !

- C'est charmant ! À ton image !

- Merci."


Nous entrons. L'intérieur est des plus agréable, lumineux, soigné.


- "Mets-toi à l'aise. Je vais prendre un bain. Si tu veux mettre de la musique, la chaîne est là."


Je la laisse partir, bien décidé à l'y rejoindre d'ici peu. En attendant, je fouille parmi les CD et, agréable surprise, m'aperçois que nous avons pas mal de goûts musicaux communs. Je glisse un album de Genesis et me laisse envahir par la voix magique de Peter Gabriel.

Après quelques instants, je me dirige vers la salle de bains, guidé par le bruit de l'eau. La porte est restée entrouverte et je jette un œil curieux en direction de la baignoire. Isabelle, les yeux fermés, savoure ce moment de relaxation. Sans bruit, je me déshabille et avance vers elle. Sans ouvrir les yeux, elle me lance :


- "Alors petit voyeur ! On se rince l'œil ?

- Comment résister à un aussi charmant spectacle ?

- Allez, viens !"



Vous aimez toujours ??? Vu le peu de commentaires, j'en doute... vais-je arrêter là ???
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