Lundi 18 juin 1 18 /06 /Juin 16:02
Voici la suite des aventures de Catherine et son mari...

Nous échangeons un baiser puis Catherine s'empare à nouveau de mon sexe et m'offre une fellation des plus appliquées.


- Ne te retiens pas ! Laisse-moi te faire jouir !


Comment résister ? Je me laisse donc aller à savourer ces coups de langue, ses doigts sur mes bourses et, après quelques minutes, je sens monter le plaisir. Je la préviens, sachant qu'elle n'apprécie pas toujours d'avaler mon sperme mais, contre toute attente, elle resserre un peu plus les lèvres autour de ma hampe et je ne tarde pas à jouir, me déversant longuement dans sa bouche, sans qu'elle n'en perde une goutte. Elle ne libère mon sexe que lorsqu'il a perdu toute sa superbe. Elle me regarde, ouvre la bouche, me montre le fruit de mon éjaculation sur sa langue puis la referme et l'avale, le tout avec un air des plus coquins.


- Allonge-toi sur le ventre ! J'ai très envie de te masser le cul.


Elle s'installe, m'offrant le spectacle de son fessier, à la fois rond et ferme, de ses deux globes, séparés par cette vallée étroite où j'aime tant promener la langue et les doigts. Mes mains parcourent ses fesses, les massent, les écartent parfois, me permettant d'admirer son joli petit trou. Catherine tourne la tête et me regarde, mi-souriante, mi-excitée. Je me penche et dépose un baiser sur sa joue puis lui propose une cigarette.


- Avec plaisir !

- Ne bouge pas, je reviens !

- Je n'en ai pas du tout l'intention, répond-elle en riant.


Je file chercher les cigarettes, le cendrier ainsi que l'appareil photo numérique et, en passant, prend également le vibro. Petit jouet bien sympathique mais dont Catherine n'apprécie pas assez à mon goût l'usage.

De retour dans la chambre, je prends quelques clichés de ma chérie, ou plus précisément de son postérieur sans qu'elle ne m'en empêche. Cette nuit est décidément pleine de surprises !


J'allume deux cigarettes et, m'asseyant tout contre elle, de ma main libre, je reprends mes caresses. Ma cigarette terminée, je prends le vibro et le passe et repasse sur la raie de Catherine, moteur au minimum.

Lentement, ma chérie écarte les jambes, m'offrant l'accès à son sexe, ce dont je ne me prive pas. Le jouet explore celle-ci, s'enfonce parfois dans la grotte. Ses gémissements m'indiquent qu'elle trouve cette séance particulièrement agréable.


Peu à peu, Catherine relève le bassin. Sa position, jambes largement écartées, reins cambrés, est d'une indécence totale ; son sexe, comme son cul, largement exhibés. J'alterne les caresses sur ses deux orifices, pénétrant sa chatte avec le gode en même qu'un doigt s'enfonce entre ses reins.


- Tu imagines deux queues en même temps ?

- Hummm...

- Tu aimerais, hein, te faire mettre comme ça... une bitte dans la chatte et une autre dans ton cul...

- Oh, oui...

- Tu es une délicieuse petite cochonne, tu sais...

- Oui... continue... c'est bon... viens ! Donne-moi ta queue !


J'ôte le gode et, m'installant derrière elle, m'enfonce d'une seule poussée au plus profond de son con, un long "ah" accueillant cette pénétration.

Je la lime ainsi quelques minutes puis m'empare de vibro et le pose contre son petit trou, moteur au ralenti. Lentement, j'appuie, Catherine ne se dérobe pas ; il me semble même qu'elle recule un peu, comme pour encourager mon initiative. Je cesse mes va et vient dans son sexe. Le gland factice a maintenant presque totalement disparu entre les fesses.


- Ça va ? Tu n'as pas trop mal ?

- Non... ça fait bizarre... continue !


Je poursuis donc cette intromission et, après quelques minutes de patience, ma chérie est pratiquement totalement prise par le faux membre. Je le laisse immobile, fiché au plus profond de ses reins, j'augmente un peu la vitesse des vibrations et je reprends mes aller et retour dans son sexe.


- Tu vois ma chérie, te voilà prise des deux côtés, comme tu en as envie...

- C'est délicieux... vas-y ! baise-moi bien à fond ! Oui ! Comme ça ! Ah c'est bon !!!


Fermement agrippé à ses hanches, je lui donne de puissants coups de boutoir qui la font crier de plaisir. Puis, voyant ses bonnes dispositions, je décide d'en profiter et de gouter à son petit trou de balle. Je sors le gode et le remplace par mon sexe. Je glisse dans l'étroit fourreau, presque surpris de la facilité avec laquelle je possède ce cul qui ne m'est que trop rarement offert.


- Ah salaud ! Tu en profites pour m'enculer... vas-y ! elle est bonne ta bitte dans mon cul... oh... tu vas me faire mourir... oui... comme ça... encule ta petite salope !


C'est elle même qui, s'emparant du gode, l'enfonce sans ménagement dans sa chatte, la vitesse au maximum.


Catherine n'est pas particulièrement adepte de la sodomie mais aujourd'hui, elle semble y prendre un plaisir particulièrement fort. Ses fesses claquent contre mon bas-ventre à chaque coup de rein et en quelques minutes, elle atteint une nouvelle fois le plaisir. C'est presque en hurlant qu'elle jouit, mon sexe fiché dans ses reins, le gode enfoncé entièrement dans sa chatte, transmettant ses vibrations à travers la fine paroi qui séparent ses deux puits d'amour. Son plaisir déclenche le mien et je me répands longuement en elle.


Après ce moment de plaisir, nous nous allongeons, nous enlaçons tendrement et échangeons un long baiser, très tendre, très amoureux.


- Il y a bien longtemps que je n'avais pas pris un tel pied !

- Moi non plus... et jamais je n'avais parlé comme ça... comme une... salope... tu es choqué ?

- Pas du tout ! Je suis très heureux que tu te sois ainsi laissée aller.

- On devrait peut-être dormir, non ? Demain, on est vendredi et donc... encore au boulot !

- Tu as raison. Bonne nuit ma chérie

    - Bonne nuit mon amour.

Le sommeil s'empare de moi rapidement et ma nuit est peuplée de rêves bien agréables, où Catherine et moi nous vautrons dans la luxure.


Vous aimez ? Si oui, merci de me le faire savoir. vous savez comment !! J'attends vos comm (un minimum de 10) pour mettre en ligne la suite...
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Mercredi 30 mai 3 30 /05 /Mai 10:08
Et oui !! Une toute nouvelle histoire... J'espère qu'elle vous plaira...

Jeudi 23h45

Catherine, ma femme, se lève du canapé et va se laver les dents, m'indiquant ainsi qu'elle a décidé d'aller se coucher. Il est vrai que le reportage n'est pas si intéressant que nous le prévoyions et ma chérie préfère visiblement s'endormir en feuilletant quelques pages d'un magazine. Je fais le tour de la maison, vérifiant que les portes sont verrouillées et, à mon tour, passe à la salle de bains.

Je la retrouve ensuite, le dos appuyé sur son oreiller, lisant son magazine favori. Je m'installe à mon tour et ouvre un livre. Après quelques minutes, ravi, je sens la main de Catherine se poser sur mon ventre et me caresser doucement.


- Au fait, j'ai oublié de te dire que Guéna était passée cet après-midi.

- Ça faisait un bail... comment va t-elle ?

- Très bien.


Guéna, ou plutôt Guénaëlle, et son mari Pierrick, sont nos meilleurs amis. Ils se sont connus grâce à nous, lui, un de mes amis d'enfance, et elle, collègue de Catherine, se sont rencontrés lors d'un anniversaire de ma femme. Depuis un peu plus de vingt ans, notre amitié ne s'est jamais démentie même s'il nous arrive de rester quelques temps sans nous voir.


- Tu sais, j'en ai appris de belles !

- Ah oui ? Quoi donc ?

- Figure-toi qu'elle m'a révélé que Pierrick et elle aller parfois au Must.


Le Must est un établissement de la région, club privé et motel. Il est autant réputé pour la qualité de son accueil que pour les mœurs particulièrement libres de ses clients. Ainsi donc nos amis se révèlent être libertins. Connaissant Pierrick, je ne suis qu'à moitié surpris.


- Tiens donc !

- Et oui. Elle m'a dit qu'ils avaient découvert cet endroit grâce à un couple qui travaille avec Pierrick et qu'après une première fois où ils s'étaient contenté de regarder, ils avaient, après en avoir longuement parlé, décidé d'y retourner.


Tout en me disant cela, ma petite femme laisse vagabonder sa menotte et le bout de ses doigts effleure parfois ma toison pubienne, jouant avec les boucles d'une manière tout à fait innocente.


- Et ils ont aimé ?

- À l'entendre, oui, et même beaucoup. Elle semble prendre un grand plaisir à se livrer à des inconnus... et même des inconnues...

- Et Pierrick n'est pas jaloux ?

- Pas du tout ! Il adore visiblement la regarder baiser avec d'autres... d'ailleurs, il ne se gêne pas non plus pour le faire avec d'autres femmes...

- Ça alors !


La main se fait plus curieuse, plus entreprenante et effleure ma hampe, la griffant légèrement de temps en temps. À mon tour, j'envoie une main sur sa cuisse, remonte lentement, caresse avec tendresse le haut de la jambe.


- Tu imagines ? Faire ainsi l'amour à des gens que tu ne connais pas...

- Je présume qu'ils se protègent.

- Oui mais quand même...

- Tu trouves moins gênant de le faire avec des amis ?

- Quelle question ! Tu dirais quoi toi si je le faisais avec quelqu'un d'autre ?


Au début de notre relation, il nous est arrivé d'évoquer nos fantasmes. J'avais alors avoué à Catherine que je ne serais pas contre une expérience avec un autre partenaire. Nous en avions souri mais jamais reparlé et elle a visiblement oublié.


- Pourquoi ? Tu en aurais envie ?


Ses doigts se sont refermés sur mon membre et elle me masturbe désormais franchement. Je pose la main sur sa fente et la découvre totalement trempée. L'évocation des soirées de nos amis ne semble pas la laisser indifférente, loin s'en faut !

Est-ce pour éviter de me répondre, ou par simple envie ? Tirant d'un coup le drap, Catherine me découvre puis se penche sur moi et m'avale, me faisant coulisser entre ses lèvres pulpeuses. Je l'attire sur moi et nous nous retrouvons en position de 69. J'admire sa fente, ses lèvres roses, fines et si délicates, si sensibles à mes caresses et baisers. Je l'embrasse puis, de la langue, l'explore, me régalant comme chaque fois et de son parfum et de son goût. J'investis sa grotte, dégustant sa liqueur intime. Plus haut, j'ose un baiser sur son œillet. Ses fesses se couvrent de chair de poule quand mes mains les effleurent. Son ventre se tend quand ma langue agace son bouton dressé. Abandonnant ses fesses, une main s'empare d'un sein et en titille le téton déjà fièrement dressé.

Les gémissements de ma chérie, bien qu'étouffés par mon sexe, m'indiquent qu'elle apprécie mes caresses. Puis, subitement, elle lâche mon membre et dans un râle, exprime cette jouissance, aussi intense que rapide.

Peu désireux de jouir tout de suite, je me dégage et lui demande :


- Tu ne m'as pas répondu... alors ?


Quelque peu surprise, Catherine met quelques secondes pour se remémorer ma question puis, enfin :


- Je ne sais pas... pourquoi pas ? À condition, bien sûr, que tu sois d'accord... et que tu sois là...

- Ben tiens donc !

- Ne te fâche pas ! Ce n'est qu'une hypothèse ! Mais, si mes souvenirs sont bons... il me semble que cela faisait partie de tes fantasmes...


Ainsi donc, elle n'a pas oublié ! Ses doigts ont repris possession de mon sexe et le caressent lentement, comme pour entretenir mon excitation sans, toutefois, m'amener au point de non retour.


- Tu aimerais vraiment essayer ?

- Franchement, je n'y avais jamais vraiment réfléchi mais Guéna semble y prendre un tel plaisir... et puis... c'est l'occasion de mettre un peu de piment dans notre vie...

- Pourquoi ? Elle te paraît fade ?

- Pas du tout, idiot !


À peine sa réponse terminée, sa bouche s'empare de la mienne pour un profond et passionné baiser, comme si elle voulait me rassurer sur ses sentiments.

Nous nous séparons, nous retrouvons allongés sur le côté, face à face. Sa main ne m'a pas lâché ; je lui caresse la poitrine et nous poursuivons notre conversation.


- Tu t'imagines avec plusieurs hommes en même temps ?

- Pas vraiment... mais il paraît que c'est génial ! Enfin, c'est ce que dit Guéna.

- Elle t'en a dit des choses !

- Elle a beaucoup vanté ces soirées, c'est vrai... et elle paraissait vraiment sincère...

- Si je comprends bien, tu es convaincue !

- Et toi ?

- Tu connais déjà la réponse... mais toi ? Si je le fais avec une autre femme, tu ne vas pas me faire de scène ?

- Non, rassure-toi !

- Dans ce cas...

- Justement, Guéna m'a proposé de découvrir les lieux samedi soir... elle a précisé que cela ne nous obligeait en rien...

- Puisque tout est déjà en place... je te fais confiance !

- Je t'aime mon chéri !

- Moi aussi.


Alors, ce début ? il vous plait ? Faites-le moi savoir si vous voulez connaître la suite... J'attends vos comm
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