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C'est le départ ! Pierrick propose de ne prendre que leur voiture et c'est ainsi que nous nous retrouvons dans son monospace, Lui au volant, moi à côté et les deux femmes derrière. Je ne sais pas ce qu'elle se disent mais leur humeur est un beau fixe. Nous avons prévu d'inviter nos amis à diner avant de nous rendre au Must et c'est dans un petit restaurant où nous avons nos habitudes que nous prenons le repas. L'ambiance est excellente, les plaisanteries nombreuses. Je remarque à ce moment que ma chérie ne porte plus son soutien-gorge. À priori, le "petit rafraîchissement" de tout à l'heure ne concernait pas que le maquillage !
Il est minuit. Nous arrivons sur le parking du Must.
- Alors, les amis ! On y va ?
- On y va ! répond Catherine.
Nous sommes accueillis par une charmante femme, qu'une quarantaine d'années, qui s'avère être la propriétaire des lieux. Pierrick se charge de faire les présentations et Martine nous indique une table libre, non loin de la piste de danse. Quelques couples occupent celle-ci, se déhanchant au rythme d'une musique disco. Martine revient, un plateau sur lequel trônent une bouteille de Champagne et 5 coupes.
- C'est une tradition ! Nous souhaitons la bienvenue à nos nouveaux amis en leur offrant un verre !
Nous trinquons avec elle avant qu'elle ne nous quitte pour saluer de nouveaux arrivants. Une série de slows commence. Pierrick tend une main à Catherine :
- Tu danses ?
- Avec plaisir !
Pendant qu'ils dansent, Guéna se penche vers moi :
- Ça va ?
- Oui, très bien...
- Pas trop anxieux ?
- Pas pour l'instant...
- Regarde nos chéris ! Ça te fait quoi ?
Sur la piste, Pierrick est en train d'embrasser Catherine dans le cou et sur le visage, ses mains posées sur les fesses de ma chérie.
- Pas jaloux ?
- Non... excité plutôt...
- On les rejoint ?
- Avec joie !
À mon tour, j'enlace mon amie, les mains sagement posées sur ses hanches. Catherine me regarde, un sourire un peu anxieux aux lèvres. Le mien semble la rassurer et elle s'abandonne contre son cavalier. Peu à peu, le corps de Guéna et le mien se rapprochent et je peux bientôt sentir le renflement de son pubis contre mon bas-ventre. La situation ne me laisse pas insensible et, à son tour, elle ne peut ignorer mon érection. Nous nous regardons, les yeux dans les yeux puis, tout naturellement, nos bouches s'unissent dans un doux baiser.
La série de slows se termine et nous regagnons notre table. Nous terminons notre verre puis Pierrick nous propose de découvrir le reste de l'établissement. À sa suite, nous partons donc à la découverte des lieux. Tout d'abord, nous troquons nos vêtements contre un peignoir.
Un couloir nous emmène vers un jacuzzi, pour l'instant occupé par un couple et un homme. Les bulles nous empêchent de distinguer avec précision ce qui s'y passe mais, à voir le visage épanoui de la jeune femme, nul doute que ces deux partenaires lui procurent beaucoup de plaisir. La visite se poursuit et nous parvenons à la porte d'un sauna.
- Vous avez déjà testé ?
- Jamais.
- Ça vous dit ?
- Pourquoi pas ?
Nous pénétrons dans le petit local, immédiatement pris par la chaleur humide de l'endroit. Tout naturellement, nos amis se mettent nus et s'allongent sur une banquette, bientôt imités par Catherine et moi. C'est la première fois que nous nous retrouvons dans un telle situation et, même après nos courtes étreintes tout à l'heure en dansant, une légère gêne s'est emparé de moi. Catherine semble elle beaucoup plus à l'aise et, allongée sur le dos, elle ne fait rien pour cacher son intimité aux regards de nos amis. Après quelques minutes, Pierrick pose les doigts sur la cuisse de ma femme et la caresse, remontant lentement mais sûrement vers sa fourche. Guéna ne reste pas inactive et c'est sur les seins de Catherine qu'elle jette son dévolu. Voici donc mon amour livrée aux caresses, puis rapidement aux baisers du couple.
Évoquer cette situation, Catherine livrée aux caresses d'autres que moi, était une chose ; la vivre est toute autre ; la voir ainsi, les doigts et bouches de nos amis courant sur son corps nu m'excite à un point que je n'aurais pas imaginé et mon érection est presque douloureuse.
La visage de Pierrick est maintenant plongé entre les cuisses de Catherine et j'imagine sa langue explorant et léchant la fente que je sais trempée. Je m'approche de notre amie et pose une main sur une fesse. Réaction immédiate, Guéna tend les reins au devant de la caresse. Je prends donc possession de ces globes charnus et les masse, parfois fermement, avant d'y poser les lèvres et leur offrir nombre de doux baisers. Tout contre moi, les gémissements de Catherine s'amplifient et, dans un dernier, plus long, plus fort, elle jouit sous la langue de Pierrick. Il se relève et j'admire ma petite femme, les yeux fermés, le corps couvert de sueur, savourer son plaisir. Elle n'a pas refermé ses jambes et, sans hésiter, son amant s'installe entre ses cuisses, le sexe à l'entrée de sa grotte. Une poussée et il l'investit, accueilli par un long soupir. Ça y est ! Pour la première fois Catherine se fait baiser par un autre homme que moi ! À entendre ses gémissements, parfois même ses petits cris, elle semble y trouver un plaisir tout particulier.
Guéna se retourne vers moi puis, sans autre forme de procès, me fait asseoir et vient s'empaler sur mon sexe dressé. J'ai l'impression de pénétrer une fournaise tant sa chatte est brûlante. Ses mains sur mes épaules, elle imprime la cadence de notre chevauchée, alternant va et vient rapides et mouvement plus lents. Sa bouche se pose sur la mienne et le baiser que nous échangeons et nettement plus passionné que celui de tout à l'heure. Mes doigts caressent son dos, ses fesses, s'insinuent entre elles pour agacer son petit trou. La transpiration, ajoutée à l'excitation, facilite mes desseins et mon majeur va et vient bientôt dans le cul de ma partenaire qui semble, à l'entendre geindre, apprécier comme il se doit d'être ainsi possédée par les deux orifices. À nos côtés, Pierrick me paraît au bord de l'explosion ; ses gémissements se font plus sonores , ses "han" plus rapides et je l'entends rapidement crier d'une voix rauque qu'il jouit. Je tourne la tête et vois ses jets s'écraser sur le ventre et la poitrine de ma chérie qui, tout à fait naturellement recueille quelques gouttes du précieux nectar et le déguste, une moue des plus coquines illuminant son visage. Elle se penche ensuite sur le sexe de son amant et entreprend un nettoyage des plus gourmands. Guéna semble aussi attirée que moi par le spectacle offert par nos chéris et reste quelques instants immobile, mon sexe fiché au plus profond d'elle, les yeux rivés sur le couple. Enfin, elle se tourne vers moi, m'embrasse puis me dit :
- Mets-moi un autre doigt !
Elle reprend alors ses va et vient tandis que, ne voulant surtout pas lui être désagréable, je m'empresse de lui enfoncer un second doigt dans les fesses, ce qui la fait gémir un peu plus encore.
- Alors ? Quelles sont vos impressions ? Demande Pierrick
- Pour ma part, excellentes ! Répond Catherine, souriante
- Pour la mienne aussi !
- On poursuit la visite ?
- Avec plaisir !
Nous quittons le sauna et reprenons le couloir. Ici et là, des pièces, certaines fermées, d'autres sans porte, abritent les ébats de visiteurs. Le peu de lumière et les gémissements donnent une atmosphère quelque peu surréaliste, mais particulièrement érotique. Nous parvenons à une pièce au milieu de laquelle trône une espèce de balançoire, quelque peu transformée.
- Voici un des endroits que j'apprécie le plus ! Déclare Guéna.
Le lendemain matin, après une bonne douche, je monte dire au revoir à ma chérie. J'entre dans la chambre et la découvre, endormie, sur le dos, nue, le corps offert. Je saisis l'appareil photo et fait quelques clichés. Je dépose un léger baiser sur son front puis m'apprête à quitter la chambre sur la pointe des pieds quand je l'entends me demander :
- C'est déjà l'heure que tu partes ?
- Hélas oui...
- J'avais envie de prendre le café au lit... tu ne peux vraiment pas rester juste une petite demie-heure ?
Comment résister ?
- Je t'amène ton café... et je m'en ressers un. Tu veux une biscotte ?
- Avec plaisir ! Je ne sais pas ce que j'ai, je meurs de faim !
À mon retour, Catherine est assise en tailleur. Je pose le plateau à côté d'elle mais elle le prend et l'installe sur ses genoux.
- Viens à côté, j'ai envie de te sentir contre moi ! Et déshabille-toi, tu vas froisser tes vêtements !
- Oh, toi, je te vois venir...
- Qu'est-ce que tu vas imaginer ? J'ai juste envie de commencer la journée avec toi près de moi.
- J'adore ce genre de déclaration.
Je dépose un baiser sur le coin de ses lèvres puis nous dégustons notre café, Catherine avalant trois biscottes en moins de temps qu'il en faut pour le dire ; une vraie affamée !
Ma tasse vide, je la repose et ma main, tout naturellement, trouve la cuisse de ma chérie. Je la caresse doucement, tout en la regardant avaler son café. Peu à peu, je remonte et retrouve son minou encore endormi.
- Et c'est à moi qu'on prêtait des intentions salaces !!
- C'est de ma faute si je ne peux pas te résister ?
Mes doigts parcourent les grandes lèvres, encore closes, remontent masser le pubis. Catherine, les yeux mi-clos, savoure ces attentions, heureuse de ce réveil. Remarquant le gode sur la table de nuit, je le prends et le fait aller et venir le long de la fente, maintenant ouverte. Quelques soupirs confirment le bien-être de ma belle et j'ai alors envie de jouer les voyeurs. Je cesse mes caresses ; Catherine ouvre les yeux et me lance un regard interrogateur :
- Ne me dis pas que tu vas me laisser comme ça ?
- Non, tout simplement, j'ai envie de te regarder faire...
- Tu veux que je me... masturbe ? Avec ça ?
- Et oui ! Je veux que tu te branles devant moi.
Hésitante, elle ne bouge plus. Je lui mets le joujou en main et m'installe face à elle. Je n'attends pas longtemps avant de la voir diriger le faux sexe sur sa chatte. Elle le passe et repasse sur sa fente, s'attarde sur son bouton qu'elle titille, augmentant peu à peu la vitesse des vibrations.
Peu à peu, le gode la pénètre, d'abord le gland puis lentement, comme pour faire durer au maximum le plaisir, le reste de la hampe. Catherine entame de lents va et vient, s'amusant à varier la vitesse. Son autre main ne reste pas inactive et ses doigts se referment sur ses tétons, les pinçant, parfois assez fortement, parcourant ces deux globes.
- Mon chéri... c'est bon... je vais jouir...
- Caresse-toi le petit trou... oui... voilà... enfonce un peu ton doigt !
Devant mes yeux ébahis, Catherine, suit mes demandes à la lettre, pénétrant son cul. Je suis comme fou de la voir aussi obéissante, elle qui d'ordinaire, n'aime guère que je lui donne des ordres. Autant en profiter !
- Sors le gode de ta chatte et mets-le dans ton cul !
Elle relève les jambes, les écarte au maximum, m'offrant une vue imprenable sur son petit œillet. Je la regarde appuyer doucement le gland contre sa rondelle et fais quelques photos. Mon sexe est tendu comme jamais et j'ai le plus grand mal à me retenir de me jeter sur ma chérie pour la baiser.
Le gode va et vient en elle, de plus en plus rapidement. La bouche ouverte, Catherine savoure cette sodomie, faisant varier la fréquence des aller et retour, l'autre main titillant son bouton ou branlant sa chatte.
J'ai l'impression que ma chérie n'est pas loin de connaître son premier orgasme anal. Soudain, elle pousse un cri rauque ; trois doigts enfoncés dans sa chatte et le gode totalement fiché dans son cul, elle jouit longuement, les yeux révulsés, le souffle court, le corps tendu. Je ne me souviens pas l'avoir vu avoir un orgasme aussi puissant. J'immortalise la scène puis, ouvrant les yeux, Catherine me sourit et dit :
- Mon chéri, viens vite ! Donne moi ta queue ! Je veux boire ton jus !
Je lui donne mon sexe qu'elle s'empresse d'avaler. Je regarde ses lèvres arrondies autour de ma hampe, ses joues déformées par mon gland. Elle caresse mes couilles d'une main puis, soudain, je sens quelque chose peser contre ma rondelle. Elle me lâche et, souriante, me dit :
- Tu as le droit d'y goûter toi aussi !
Sans plus attendre, elle appuie le gode contre mon muscle et viole mon cul. Je suis surpris de ne pas ressentir un douleur plus forte, bien au contraire, mon cul gobe cet intrus sans trop de résistance et le plaisir cède vite la place à la gêne.
Sous les caresses buccales de ma chérie et cette pénétration, je ne résiste guère et quelques minutes suffisent pour que, dans un râle, je jouisse à mon tour. Comme hier soir, Catherine ne me lâche pas et je me vide à longs jets dans sa bouche.
Cela fait des lustres que nous n'avions vécu un réveil de la sorte ! Ce n'est pas tout mais il est plus que temps pour moi d'abandonner, à regret, ma petite chérie, pour aller au bureau. Un dernier baiser, un passage express à la salle d'eau et je file.
Dans la matinée, je reçois un coup de fil de Pierrick. Mon ami me propose de déjeuner ensemble ce midi, ce que j'accepte volontiers.
À table, il aborde bien évidemment la visite de sa femme chez nous et sa proposition, insistant sur le fait que rien ne nous oblige à participer à d'éventuels ébats.
- Rassure-toi, nous l'avons bien compris... en plus, vous me donnez l'occasion de réaliser un fantasme de jeunesse que je croyais enfoui à jamais...
- Je voulais aussi te demander...
- Oui ?
- Comment dire ? Voilà ! Si jamais... je... enfin... si Catherine...
- Pour faire bref, tu veux savoir comment je réagirais si Catherine et toi baisiez ensemble, c'est ça ?
- Si j'accepte qu'elle le fasse avec des inconnus, ce n'est pas pour refuser qu'elle et toi en fassiez autant... mais toi, si Guéna et moi...
- Aucun problème, je te rassure.
Rassuré, Pierrick me raconte alors quelques bribes de leurs soirées au Must. Il met l'accent, comme s'il avait encore un doute sur notre venue, sur le plaisir qu'il a pris à voir sa femme dans les bras d'autres partenaires, hommes et femmes. Je lui demande alors :
- Et toi ?
- Moi quoi ?
- Tu l'as fait avec d'autres mecs ?
- Pas vraiment... en fait, une fois, je me suis retrouvé avec une queue appuyée contre mes lèvres. Il s'agissait de celle du mari de la femme que j'étais en train de baiser...
- Et ?
- Je ne sais pas ce qui m'a pris... l'ambiance, l'excitation... toujours est-il que mes lèvres se sont ouvertes et que j'ai fait ma première pipe.
- Tu as aimé ?
- À vrai dire, je n'ai pas détesté... il faut tout de même signaler que j'étais plus concentré sur la femme que sur le mari. Tu aimerais toi ?
- Quoi ? Sucer un mec ? Je n'y ai jamais pensé... je ne sais pas.. peut-être que, comme toi, pris dans l'ambiance...
Le repas se termine sur une conversation plus conventionnelle et nous nous quittons en nous donnant rendez-vous chez nous samedi soir.
Samedi 19h30
Depuis hier matin, je ne peux m'empêcher de penser à notre soirée. Hier soir, comme la veille, notre libido était au zénith et nous avons fait l'amour une bonne partie de la nuit. Ce n'est que vers trois heures du matin que le sommeil s'est emparé de nous deux. Heureusement, nous avons pu récupérer et nous sommes levés à onze heures.
La journée est passée bien vite et maintenant, un peu tendus, mais surtout très excités, nous attendons nos amis à qui nous avons proposé de prendre l'apéritif avant d'aller diner. Je regarde ma chérie ; vêtue d'un léger chemisier, somme toute assez sage, et d'un jupe qui dévoile à peine son genou. Comme Guéna la lui a dit, les hommes du club ne détestent, loin s'en faut, découvrir le corps du femme, mis en valeur par une tenue pas trop légère. Le plaisir de dévoiler fait partie du jeu de la séduction.
Coup de sonnette. Nos amis nous rejoignent au salon. Je remarque que la tenue de Guéna ne diffère guère de celle de Catherine, si ce n'est qu'on peut deviner l'absence de soutien-gorge.
Alors que nos deux chéries nous laissent quelques minutes pour, selon Guéna, "se rafraîchir un brun", Pierrick me dit :
- Alors voilà ! Nous y sommes ! Toujours décidés ?
- Plus que jamais... même si je ne peux nier une légère appréhension...
- Sois tranquille ! Comme je t'ai dit, il s'agit d'un endroit où la valeur première est le respectde l'autre. Nul ne force personne à quoi que ce soit !
- Ce n'est pas pour cela... disons que j'appréhende un peu la réaction de Catherine quand elle se retrouvera dans les bras d'un autre... ou d'une autre...
- Je comprends. Mais si elle ne veut pas, elle n'aura pas à le faire.
Le retour de nos épouses interrompt la conversation. Je sers l'apéritif et nous trinquons à notre soirée.
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