A deux

Mercredi 25 juin 3 25 /06 /Juin 14:43

Michel découvre le corps de Jeanne

Je suis certain que la lecture de l'épisode précédent vous a laissé sur votre faim. Ainsi, je vous propose de découvrir très vite ce nouvel épisode, un peu, beacoup, moins sage... Alors, bonne lecture !

La porte à peine refermée sur eux, ils échangent un nouveau baiser, tout aussi passionné. Pendant leur étreinte, Michel déboutonne le chemisier de Jeanne puis dégrafe son soutien-gorge, libérant sa poitrine aux bouts déjà turgescents. Il l'emmène jusqu'au salon, la fait s'allonger dans le canapé puis prend quelques secondes pour l'admirer. Il se penche ensuite sur elle et sa bouche la couvre de baisers, du front aux tétons sur lesquels il s'attarde, s'amusant à la pincer, à les téter comme un nouveau-né, sans oublier de caresser les deux seins.

- Tu as une poitrine magnifique... et délicieuse...
- Flatteur !

Nouveau baiser puis ce sont les jambes de Jeanne qui font l'objet des attentions de son partenaire. Sa main caresse un genou puis l'autre, remonte lentement sur la cuisse pour parvenir à l'élastique du slip.
Ne voulant absolument pas précipiter les choses, Michel se contente de caresser l'intérieur des cuisses, endroit magique où la peau est si douce, si réceptive aux effleurements. Peu à peu, les jambes s'écartent, la respiration de Jeanne s'accélère et quelques soupirs s'échappent de ses lèvres entrouvertes.

- Tu es un véritable tortionnaire...

Enfin, un doigt suit, toujours par dessus le fin tissu, la délicate cicatrice, déjà bien humide, allant du renflement du Mont de Vénus à cet endroit que beaucoup considèrent, à tort, comme sale et pas voué à l'amour.

- Je veux te voir nue !

Lui prenant la main, il la fait se lever et la débarrasse de ses vêtements. Il se recule un peu :

- Tu es si belle...

Cette fois, c'est Jeanne qui s'appuie contre lui et lui offre sa bouche.

- À mon tour de te découvrir !
- Non. Pas tout de suite. Laisse-moi d'abord poursuivre la découverte de ton corps.

C'est à même le sol, sur la moquette, que Jeanne, les jambes ouvertes, offre son intimité à son amant. il y dépose de délicats et légers baisers, la faisant frémir. Sous ses baisers, les lèvres, délicatement ourlées, s'écartent, offrant à la bouche curieuse l'accès à la grotte humide dans laquelle Jean enfonce la langue, se régalant de la liqueur au goût si subtil.

Jeanne ferme les yeux, savoure ce cunnilingus. Il y a bien longtemps qu'on ne s'est pas occupé d'elle de façon aussi tendre, aussi romantique.

Jean abandonne un instant la fente pour remonter sur le ventre à qui il donne la chair de poule puis s'attarder une nouvelle fois sur la poitrine avant de terminer par un nouveau baiser.
il redescend ensuite, reprend l'exploration de l'intimité, ose une caresse légère mais bien réelle sur le petit trou plissé sans essuyer de rebuffade. Il pénètre à nouveau la grotte de Jeanne, maintenant trempée, boit à cette savoureuse source avant de se concentrer sur le bouton, fièrement dressé, gorgé de sang. Cette nouvelle caresse semble procurer à Jeanne un plaisir presque douloureux. Elle crie, se tord sous les coups de langue. Ses mains semblent à la fois vouloir repousser la tête de son amant et l'empêcher de partir.

Enfin, Jeanne succombe à l'orgasme. Le corps tendu, les yeux révulsés, la bouche grande ouverte sur une longue plainte, elle jouit longuement, avec l'impression de connaître pour la première le plaisir tant celui-ci est intense.
Elle retombe ensuite, inerte, le souffle court, les yeux fermés, comme pour mieux garder en elle la trace de cet orgasme.
Quand, après quelques minutes, elle rouvre les yeux, elle voit le visage de son amant, éclairé d'un tendre sourire.

- Tu es magnifique quand tu prends ton pied !
- Merci. Tu es un vrai démon. Jamais je n'ai joui aussi fort.
- Et si nous buvions ce dernier verre... histoire de reprendre quelques forces.
- Ce n'est pas de refus !

@ suivre...

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Mardi 24 juin 2 24 /06 /Juin 16:09

Jeanne fait la connaissance de Michel

3ème partie des aventures de Jeanne. Plus sage que les deux premières mais, patience, la suite arrive... très rapidement !
Bonne lecture !

Le lendemain, elle se lève vers 10 heures et file, après un café bouillant, sous la douche. Un peu de ménage, un déjeuner vite avalé et elle rejoint ses amis du club de randonnée.
À son arrivée, tout le monde ou presque est déjà là. Martine, une de ses plus proches amies, la prend par la main :

- Viens que je te présente notre nouvelle recrue !

Les deux femmes rejoignent un petit groupe.

- Michel, je vous présente Jeanne, une de nos plus fidèles marcheuses.
- Enchanté Jeanne
- Moi de même, répond-elle.

Jeanne, bien qu'elle s'en défende, est troublée par la présence de cet homme. Il ressemble tant à Sylvain ! Même allure sportive, même regard à la fois doux et froid.

Le groupe se met en marche. La chaleur est au rendez-vous et rapidement, tout le monde est en short et tee-shirt. Michel est de compagnie très agréable et l'ambiance est à la bonne humeur. Une première pause, après près de deux heures, est l'occasion de se désaltérer et de reprendre quelque force. Michel est assis en tailleur face à Jeanne qui a bien du mal à détourner les yeux de ses jambes musclées et bronzées. Le remarquant, l'homme lui lance un sourire qui la fait craquer. "Il s'est aperçu qu'il me plaisait" se dit Jeanne.
À la remise en route, Michel reste le plus possible auprès d'elle et peu peu leur conversation se fait plus personnelle.
Elle lui parle de son ancien travail, il évoque son divorce, elle lui révèle n'avoir jamais été mariée...

À la fin de la journée, Jeanne a l'impression de connaître Michel depuis toujours et le soir, quand ses doigts effleurent sa fente, c'est l'image de son visage et de son corps qui guide ses caresses.

Une quinzaine de jours après cette rencontre, Jeanne tombe sur Michel en faisant des courses. Ils parlent un peu de la pluie et du beau temps puis il l'invite à prendre un café, ce qu'elle accepte avec grand plaisir. Le temps passe sans qu'ils s'en aperçoivent et Michel se rappelle soudain qu'il a un rendez-vous urgent :

- J'ai passé un moment délicieux et, si vous n'y voyez pas d'inconvénient, j'aimerais vous inviter à dîner ce soir.
- Avec plaisir !
- Parfait ! Rendez-vous devant le X. à 19 heures, ça vous convient ?
- Très bien. J'y serai.
- À ce soir alors.

L'après-midi semble interminable à Jeanne. Enfin, vers 18 heures, elle plonge dans son bain, à la fois pour se préparer que pour se relaxer. Après sa toilette, elle prend soin de sa toison, la taillant au plus ras, se parfume et choisit ses habits. Une jupe qui couvre sagement ses genoux, un chemisier pas tout à fait transparent mais pas trop opaque et des dessous eux aussi relativement sages.

Dix neuf heures ! Jeanne n'attend pas une minute avant que son ami ne la rejoigne. Elle qui déteste particulièrement d'attendre trouve là un signe pour le moins positif.
Le repas se déroule à la perfection. Michel est particulièrement charmant, voire charmeur, et Jeanne passe une soirée comme il ne lui est plus arrivé d'en passer depuis longtemps.

Ils quittent le restaurant vers vingt-trois heures et Jeanne propose de déguster un digestif dans un pub non loin de là. Ils s'y rendent à pied et, tout naturellement, Michel passe un bras autour de la taille de son amie sans qu'elle fasse un geste pour se dérober ni lui faire la moindre remarque.

Tout en dégustant leur digestif, les deux amis font plus ample connaissance. Les confidences deviennent beaucoup plus personnelles, carrément intimes. Michel avoue une vie de couple très sage, trop sage même précise t-il et quand Jeanne relate quelques une de ses expériences, il semble aussi étonné qu'excité.

Il est presque une heure du matin lorsqu'ils sortent du pub. Ils retrouvent leur voiture sur le parking et, au moment de se quitter, Michel enlace Jeanne et pose les lèvres sur les siennes. Elle ne refuse pas son baiser et ils s'embrassent longuement, tendrement.

- Je n'ai pas envie de te quitter...
- Moi non...
- Je t'offre un dernier verre chez moi ?
- Est-ce bien raisonnable ? Répond Jeanne avec un large sourire.

@suivre