A deux


Jeudi 5 avril 4 05 /04 /Avr 13:47
La voici cette suite... bonne lecture... et... lâchez vos comm !!

Ils savent tous les deux désormais ce qui va suivre et lorsque la jeune maitresse de maison se lève, Jacques en fait autant et ils se retrouvent face à face. Le baiser est inévitable, d'ailleurs aucun n'a envie de l'éviter. Leurs bouches se rapprochent, leurs lèvres se joignent et ils échangent un premier baiser plein de passion, fermement enlacés.


Lorsqu'ils se séparent, le soutien-gorge tombe, dévoilant une poitrine admirable, aux tétons déjà dressés, aux aréoles foncées. Jacques ne résiste pas et embrasse les deux seins. Se redressant, il regarde Anne, dénoue le paréo et, la prenant par la main, l'entraîne vers le lit. Elle s'y retrouve sur le dos, seulement vêtue d'un fin slip. Il se penche sur elle et sa bouche remplace ses mains, parcourt ce corps maintenant offert, des pieds au front, des épaules aux chevilles, n'oubliant aucune parcelle, aucun centimètre carré de cette peau dont il apprécie la douceur et la saveur.

Sous ces caresses, Anne laisse échapper quelques soupirs et quand les doigts de Jacques descendent son dernier vêtement, elle l'aide en soulevant les reins. Et lorsqu'il s'installe face à elle, le visage contre sa fente, elle écarte les jambes au maximum, se livrant sans retenue.

Il peut alors admirer ce sexe tant désiré. Une courte toison brune dissimule une fente encore fermée, dont il écarte les lèvres des pouces, découvrant ainsi le fruit d'amour dans toute sa splendeur. Il prend tout son temps, souffle sur cette grotte, dépose de légers bisous du bout des lèvres.

Anne n'en peut plus ! Elle meurt d'envie de sentir la langue de Jacques la fouiller, ses lèvres emprisonner son bouton, ses doigts s'enfoncer en elle.


- Lèche-moi ! Embrasse ma chatte !!


Jacques plonge alors et déguste sans retenue ce sexe maintenant trempé. Sa langue parcourt la fente, du bouton au puits d'amour dans lequel elle s'enfonce avant de remonter donner quelques coups sur le clitoris en érection.

Très vite, sa partenaire capitule. Son corps se tend, elle plaque fermement le visage de Jacques et, comme une délivrance, Anne crie se première jouissance.


Elle retombe, inerte, le souffle court, les yeux révulsés, savourant le plaisir intense qu'elle vient de connaître.


- Quel bonheur cette panne d'ordinateur ! Jacques, c'était... même plus que ça....

- Merci, tu as une chatoune si délicieuse que je passerais des heures à la dévorer...


Elle s'agenouille et, tout en l'embrassant, entreprend de débarrasser Jacques de ses vêtements. Il est bientôt nu, exhibant une verge dressée à la verticale, tendue à l'extrême.


- Oh qu'elle est belle ! À mon tour de jouer...


Sa main se referme sur la bitte qu'elle masturbe quelques minutes puis, n'y tenant plus, elle le fait s'allonger, s'agenouille face à lui et se penche sur l'objet de ses désirs. Elle dépose quelques baisers sur la hampe, allant de la base au gland puis, du bout de la langue, elle agace le méat avant, enfin, de la faire coulisser entre ses lèvres.

Jacques a du mal à croire Bernard quand il dit qu'Anne est prude tant elle lui offre une fellation des plus gourmandes, et des plus expertes. Elle alterne gorge profonde et petits coups de langue sur le gland ; elle griffe cette partie si sensible entre les bourses et le petit trou, elle s'arrête quand elle le sent trop proche de l'orgasme. Non, vraiment, ce n'est pas possible qu'elle soit si coincée que son mari veut bien le dire !


Après de longues minutes, Anne sent que son amant ne va plus pouvoir tenir ; elle accélère ses caresses et les gémissements de Jacques lui indiquent qu'il va rapidement jouir. Il tente de la prévenir et même de sortir de sa bouche mais rien à faire, elle ne le lâche pas ! En poussant un grognement, il jouit longuement, arrosant de ses jets le palais de la belle qui le garde en elle jusqu'à ce qu'elle est certaine qu'elle ne tirera plus une seule de ce nectar dont elle se régale.


- Oh Anne, c'était divin... t'es une pipeuse hors pair !!!

- Tu ne vas pas me croire mais c'est la première fois que je le fais... jusqu'au bout...

- Merci de ce cadeau... j'espère que cela ne t'a pas dégoutée...

- Non. J'ai adoré...


Elle vient se blottir tout contre lui et ils s'embrassent à nouveau, tout aussi passionnément que tout à l'heure. Jacques caresse la poitrine de sa maitresse, s'amusant à pincer légèrement les tétons qui ne tardent pas à réagir en se dressant fièrement. Il ne peut résister à leur appel et, l'une après l'autre, les deux fraises reçoivent de doux mais fervents baisers.


- Jacques... j'ai envie de toi... envie que tu me prennes...


Anne le lui a demandé d'une toute petite voix, presque timidement. Il la regarde avec tendresse puis, la prenant par les hanches, la fait basculer sur lui. Un nouveau baiser pendant lequel il place son sexe à l'entrée de celui de sa partenaire et, d'un lent mouvement des reins, il s'introduit en elle, accueilli par un soupir de plaisir. Ses bras se referment autour d'elle et il lui fait l'amour doucement, comme si c'était la première fois, comme si elle lui offrait sa virginité.


Leur étreinte dure sur le même rythme un certain temps avant qu'Anne, se surprenant un nouvelle fois, demande à son amant :


- Prends-moi plus fort !


Jacques décide alors de changer de position et la fait mettre à quatre pattes. Il la saisit alors par les hanches et l'investit d'un vigoureux coup de boutoir, lui tirant un long cri de plaisir.

La maintenant fermement, il va et vient en elle à grands coups de reins, faisant claquer les fesses de la belle contre son bas-ventre, la faisant gémir sans discontinuer. Cette position lui permet aussi de pouvoir admirer le fessier de sa maîtresse, ce dont il ne se prive pas ; comme il ne se prive pas non plus de claquer gentiment le cul, lui donnant un légère mais très néanmoins très jolie teinte rose.


Anne savoure cette chevauchée, ne se retient pas d'exprimer son plaisir :


- C'est bon ! Vas-y Jacques ! Baise-moi ! Défonce-moi ! J'aime ta queue ! Oui... comme ça... n'arrête pas !


Encouragé, Jacques redouble d'ardeur et rapidement amène sa partenaire à l'orgasme. Elle pousse un long râle et il ressent son orgasme au travers des contractions de ses muscles intimes. Sa jouissance précédente lui permet de pouvoir continuer et, s'il ralentit un peu le rythme de ses va et vient, permettant à Anne de savourer son plaisir, ses coups de reins sont toujours aussi profonds. Il écarte les fesses de la jeune femme et se régale de la vue de son petit trou du cul. D'un doigt curieux, il l'agace et sent rapidement que Anne se crispe. Visiblement, elle n'est visiblement guère habituée aux caresses anales. Peu désireux de brusquer les choses, il se contente d'en caresser le pourtour.

Peu à peu, il accélère la cadence et retrouve le rythme de tout à l'heure, faisant à nouveau gémir la belle.

La chevauchée dure encore un long moment puis Anne, sentant son amant sur le point de jouir, passe une main sous elle et lui caresse les bourses.


- Viens ! Jouis en moi ! Arrose-moi de ton jus !


Ces paroles à peine prononcées, Jacques se fiche au fond de sa grotte et elle sent avec un plaisir intense les jets fuser en elle. Cela déclenche à nouveau son plaisir et, pour la troisième fois en moins de deux heures, Anne succombe et jouit dans un long râle.


Jacques se retire et, comme une furie, elle se jette sur son sexe et entreprend de le débarrasser de toutes trace, se régalant du mélange de leur deux liqueurs, de leurs deux saveurs.


Ils s'enlacent ensuite et s'embrassent, avec une tendresse bien réelle.


- Jacques, ce qu'on a fait est complètement fou mais je ne le regrette pas... j'ai joui comme jamais ! C'était merveilleux...

- Pour moi aussi c'était super ! Tu es une maitresse hors pair !

- On le refera ?

- Je ne sais pas... sans doute...


Le sentant hésitant, Anne est sur le point de lui révéler que, comme elle, il est cocu. Elle n'en fait pourtant rien, ne désirant pas risquer de le perdre en brisant son couple. Elle ignore bien entendu le plan échafaudé par son amant et son mari et est à mille lieux d'imaginer que non seulement elle refera l'amour avec Jacques mais qu'elle connaitra bien d'autres expériences...


Jacques, lui, savoure ce moment passé avec si charmante voisine, soi-disant coincée et qui s'est révélé être une sacrée amante. Contrairement à ce qu'il vient de lui dire, il sais qu'ils se reverront.


Après une douche, les deux nouveaux amants se quittent, échangeant un dernier baiser.


Suite ou pas suite ? Pour l'instant je n'ai encore pas décidé... cela dépendra de vos envies... (et après on dira que je suis pas sympa !!!!)
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Mercredi 4 avril 3 04 /04 /Avr 15:53
Comment Jacques va t-il parvenir à séduire Anne ?? Lisez donc ce nouvel épisode !

Quelques jours plus tard, Jacques reçoit un appel d'Anne :


- Bonjour. Comment dire... Bernard m'a dit que tu serais d'accord pour passer jeter un œil à notre ordi...

- Bien sûr.

- Tu pourrais passer quand ?

- Quand tu veux.

- Aujourd'hui ?

- Pourquoi pas ? Vers 14 heures, ça te va ?

- C'est parfait.

- À tout à l'heure donc.

- À tout à l'heure.


Jacques repense à sa discussion avec Bernard. Songeur, il se demande comment il va bien pouvoir parvenir à draguer la belle mais si prude Anne.


Il est 14h05 quand il sonne chez ses voisins. Comme si elle l'attendait derrière la porte, Anne lui ouvre instantanément.


- Bonjour Jacques. c'est très gentil de ta part.

- Bonjour Anne, entre voisins, c'est normal de s'aider...

- J'ai préparé un café, tu en veux ?

- Avec plaisir !


Il s'installe au salon, dans un fauteuil, Anne s'assied en face de lui, sur le canapé. Ils dégustent leur café en silence et Jacques ne peut s'empêcher de détailler la jeune femme. "C'est vrai qu'elle est mignonne" pense t-il. Il regrette qu'elle soit habillée si sage. Sa chemise, épaisse, cache ses formes, ne laisse aucun espoir de pouvoir admirer ne serait-ce que la naissance de la poitrine et son pantalon ne permet pas non plus d'admirer ses jambes qu'il sait pourtant fort jolies.


- Au fait, il a quel problème votre ordi ?

- Je ne sais pas vraiment. Depuis quelque temps, il est très lent et il lui arrive même de planter. Il est tellement énervant que je ne l'ai pas utilisé depuis plusieurs jours !

- Je vois. On va commencer par faire un petit coup de ménage !


Le café terminé, il suit Anne jusqu'à leur chambre où est installé la bécane. En y entrant, il imagine la belle allongée sur le lit, offerte à ses caresses, à ses baisers... cette pensée lui donne un début d'érection. Il s'assied au bureau, Anne debout contre lui. Après la séquence de démarrage, effectivement un peu longue, il a la surprise de découvrir, en fond d'écran, une photo de son hôtesse, paresseusement allongée sur le sable, simplement vêtue d'un bikini qui ne cache pas grand chose de sa plastique.


- Oh ! Quel idiot ce Bernard ! Je suis désolée... je n'avais pas vu qu'il avait mis cette photo...

- Ne sois pas désolée... je la trouve très belle...

- Il sait pourtant que je n'aime pas ce genre de photo...

- Pourquoi ?

- Je ne sais pas. Je n'aime pas ça...

- Je t'ai déjà vu en maillot de bain tu sais...

- Oui mais quand même...


Jacques sent Anne tendue et, peu désireux de l'énerver, préfère mettre un terme à cette discussion. Il commence donc par enlever les fichiers temporaires, les fichiers de sauvegarde inutiles puis lance une défragmentation.


- Il y en a pour quelques minutes...

- Tu reprends un café ?

- Je veux bien.

- Reste là, je te l'amène !


Elle le laisse seul quelques minutes et le rejoint, les mains chargées d'un plateau où trônent deux tasses. Elle le pose sur le bureau et semble chercher où s'asseoir.


- Viens sur mes genoux, lui propose Jacques en souriant.

- Tu es sûr ?


Elle s'installe sur lui, d'une façon tout à fait naturelle ,et Jacques a le plus grand mal à cacher sa surprise.


- Ça va ? Je ne suis pas trop lourde ?

- Pas du tout !

- Il y a bien longtemps que je ne me suis pas retrouvée sur les genoux d'un homme ! Même du mien !


Jacques ne sait que penser, que répondre.


- Tu as l'air ennuyé ? Ça te gêne ?

- Non, non... pas du tout... au contraire... c'est toujours agréable d'avoir une jolie femme sur les genoux...


La fin de la défragmentation intervient à point nommé, évitant que la conversation ne dévie davantage. Jacques insère sa "boîte à outils" comme il l'appelle : une clé USB sur laquelle il a installé quelques utilitaires. À nouveau, il n'a plus qu'à laisser tourner les programmes. Anne le regarde faire, presque admirative.


- Tu as suivi des cours ?

- Non, j'ai appris tout seul... à force de pratiquer...

- Il faudrait que tu me donnes quelques cours...

- Pourquoi pas ? Ce serait avec plaisir...

- Malheureusement, je n'ai pas de quoi me les offrir...

- Ce n'est pas grave, tu paieras en nature.


À peine ces mots prononcés, Jacques les regrette, craignant avoir choqué Anne. C'est donc étonné qu'il l'entend lui répondre :


- C'est une idée...


L'ambiance s'alourdit quelque peu. D'autant plus qu'en lui répondant, Anne s'est tournée légèrement et leurs lèvres se sont effleurées, furtivement certes mais tout de même.


Un sourire éclaire le visage de la jeune femme. Sentant la situation lui échapper, Jacques se replonge dans la maintenance de l'ordinateur, plus perturbé qu'il veut bien le laisser paraître.


- Un autre café ? Ou autre chose ? J'ai du panaché au frais

- Va pour un panaché !


À nouveau seul, il s'interroge sur l'attitude de son amie. Il n'est pas dans ses habitudes, loin de là, de se comporter de la sorte. Que cherche t-elle ? À le draguer ? À juste l'allumer pour s'amuser ? À le tester ? Tout cela le laisse perplexe.


- Le panaché de monsieur est avancé !

- Merci.

- Je t'abandonne deux minutes, j'ai chaud, je fais me changer.


Lorsqu'elle revient, Jacques manque tomber de sa chaise ! Elle a troqué pantalon et chemise contre un paréo et un haut de maillot de bain qui a le plus grand mal à contenir sa poitrine.


- Euh...pour un changement, c'est un changement...

- Tu n'aimes pas ?

- Si, si, bien sûr !


Décidément, rien ne se passe comme il l'avait prévu. De chasseur qu'il envisageait d'être, il a l'impression de devenir gibier. Et ça ne s'arrange pas quand Anne, sans hésiter, revient s'installer sur ses genoux.


Jacques décide alors de voir jusqu'où elle désire aller. Après avoir lancé une énième commande, il laisse retomber sa main sur la jambe, au niveau du genou. Anne ne se dérobe pas, même si il sent une légère crispation. Il reste un instant immobile puis, le plus lentement possible, ses doigts s'animent, décrivant de touts petits cercles sur la peau nue.

Comme si de rien n'était, son autre main reste sur la souris, cliquant de temps en temps pour valider une option. Le manque de réaction l'encourage et toujours sans aucune précipitation, la main remonte le long de la cuisse, la hérissant de chair de poule. Tournant la tête, il s'aperçoit qu'Anne a fermé les yeux. La deuxième main abandonne la souris et se pose sur le ventre, juste à la lisière du paréo.


Le silence est total. Seule la respiration d'Anne, qui s'est soudainement accélérée, trahit le trouble de la jeune femme. Les mains de Jacques caressent le plus doucement possible la cuisse et le ventre, comme si il avait peur, par un mouvement trop brusque, de la ramener à la réalité et de mettre un terme à ce moment presque magique.


Anne ne se reconnaît pas ! Elle, jusque là si fidèle, si "coincée" même aux dires de son mari, la voici qui se laisse caresser par un autre homme et, pire encore, qui y prend un plaisir bien réel. Doucement, en sentant les doigts de Jacques sur l'intérieur de sa cuisse, elle écarte les jambes ; lui indiquant par ce geste qu'elle se livre à lui, à ses caresses qui lui procurent un tel bien-être. Elle appuie son dos contre le torse de celui qu'elle a presque déjà envie d'appeler son amant. Loin de la choquer, cette dernière pensée l'excite. Un amant, elle ! Jamais elle n'y aurait songé. Jamais, tout au moins jusqu'à hier soir, quand elle a surpris son mari sortant de chez Véro, la femme de Jacques, en l'embrassant d'une manière bien plus qu'amicale.


Le mouvement de jambe n'a pas échappé à Jacques. Sa main poursuit donc sa remontée et atteint bientôt cet endroit de la cuisse où la peau est un peu plus fine, un peu plus douce. Les doigts se font encore plus légers sur cette aine qu'ils découvrent et finissent par se heurter au léger tissu, dernier rempart, dernier obstacle à des plaisirs plus intenses.

Il passe alors l'autre main dans le dos de sa compagne et, tirant sur les ficelles, décroche le soutien-gorge. Il revient par devant et, glissant les doigts entre le tissu et le chair, empaume un sein dont il agace le téton qui ne tarde pas à réagir.

 

Ce début est très calme, très soft...

La suite le sera beaucoup moins... si vous le décidez !!

 

Qui a dit que je me la jouais ?? Je vais devoir sévir petite Isatys!!

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