Mercredi 4 avril 3 04 /04 /Avr 15:53
Comment Jacques va t-il parvenir à séduire Anne ?? Lisez donc ce nouvel épisode !

Quelques jours plus tard, Jacques reçoit un appel d'Anne :


- Bonjour. Comment dire... Bernard m'a dit que tu serais d'accord pour passer jeter un œil à notre ordi...

- Bien sûr.

- Tu pourrais passer quand ?

- Quand tu veux.

- Aujourd'hui ?

- Pourquoi pas ? Vers 14 heures, ça te va ?

- C'est parfait.

- À tout à l'heure donc.

- À tout à l'heure.


Jacques repense à sa discussion avec Bernard. Songeur, il se demande comment il va bien pouvoir parvenir à draguer la belle mais si prude Anne.


Il est 14h05 quand il sonne chez ses voisins. Comme si elle l'attendait derrière la porte, Anne lui ouvre instantanément.


- Bonjour Jacques. c'est très gentil de ta part.

- Bonjour Anne, entre voisins, c'est normal de s'aider...

- J'ai préparé un café, tu en veux ?

- Avec plaisir !


Il s'installe au salon, dans un fauteuil, Anne s'assied en face de lui, sur le canapé. Ils dégustent leur café en silence et Jacques ne peut s'empêcher de détailler la jeune femme. "C'est vrai qu'elle est mignonne" pense t-il. Il regrette qu'elle soit habillée si sage. Sa chemise, épaisse, cache ses formes, ne laisse aucun espoir de pouvoir admirer ne serait-ce que la naissance de la poitrine et son pantalon ne permet pas non plus d'admirer ses jambes qu'il sait pourtant fort jolies.


- Au fait, il a quel problème votre ordi ?

- Je ne sais pas vraiment. Depuis quelque temps, il est très lent et il lui arrive même de planter. Il est tellement énervant que je ne l'ai pas utilisé depuis plusieurs jours !

- Je vois. On va commencer par faire un petit coup de ménage !


Le café terminé, il suit Anne jusqu'à leur chambre où est installé la bécane. En y entrant, il imagine la belle allongée sur le lit, offerte à ses caresses, à ses baisers... cette pensée lui donne un début d'érection. Il s'assied au bureau, Anne debout contre lui. Après la séquence de démarrage, effectivement un peu longue, il a la surprise de découvrir, en fond d'écran, une photo de son hôtesse, paresseusement allongée sur le sable, simplement vêtue d'un bikini qui ne cache pas grand chose de sa plastique.


- Oh ! Quel idiot ce Bernard ! Je suis désolée... je n'avais pas vu qu'il avait mis cette photo...

- Ne sois pas désolée... je la trouve très belle...

- Il sait pourtant que je n'aime pas ce genre de photo...

- Pourquoi ?

- Je ne sais pas. Je n'aime pas ça...

- Je t'ai déjà vu en maillot de bain tu sais...

- Oui mais quand même...


Jacques sent Anne tendue et, peu désireux de l'énerver, préfère mettre un terme à cette discussion. Il commence donc par enlever les fichiers temporaires, les fichiers de sauvegarde inutiles puis lance une défragmentation.


- Il y en a pour quelques minutes...

- Tu reprends un café ?

- Je veux bien.

- Reste là, je te l'amène !


Elle le laisse seul quelques minutes et le rejoint, les mains chargées d'un plateau où trônent deux tasses. Elle le pose sur le bureau et semble chercher où s'asseoir.


- Viens sur mes genoux, lui propose Jacques en souriant.

- Tu es sûr ?


Elle s'installe sur lui, d'une façon tout à fait naturelle ,et Jacques a le plus grand mal à cacher sa surprise.


- Ça va ? Je ne suis pas trop lourde ?

- Pas du tout !

- Il y a bien longtemps que je ne me suis pas retrouvée sur les genoux d'un homme ! Même du mien !


Jacques ne sait que penser, que répondre.


- Tu as l'air ennuyé ? Ça te gêne ?

- Non, non... pas du tout... au contraire... c'est toujours agréable d'avoir une jolie femme sur les genoux...


La fin de la défragmentation intervient à point nommé, évitant que la conversation ne dévie davantage. Jacques insère sa "boîte à outils" comme il l'appelle : une clé USB sur laquelle il a installé quelques utilitaires. À nouveau, il n'a plus qu'à laisser tourner les programmes. Anne le regarde faire, presque admirative.


- Tu as suivi des cours ?

- Non, j'ai appris tout seul... à force de pratiquer...

- Il faudrait que tu me donnes quelques cours...

- Pourquoi pas ? Ce serait avec plaisir...

- Malheureusement, je n'ai pas de quoi me les offrir...

- Ce n'est pas grave, tu paieras en nature.


À peine ces mots prononcés, Jacques les regrette, craignant avoir choqué Anne. C'est donc étonné qu'il l'entend lui répondre :


- C'est une idée...


L'ambiance s'alourdit quelque peu. D'autant plus qu'en lui répondant, Anne s'est tournée légèrement et leurs lèvres se sont effleurées, furtivement certes mais tout de même.


Un sourire éclaire le visage de la jeune femme. Sentant la situation lui échapper, Jacques se replonge dans la maintenance de l'ordinateur, plus perturbé qu'il veut bien le laisser paraître.


- Un autre café ? Ou autre chose ? J'ai du panaché au frais

- Va pour un panaché !


À nouveau seul, il s'interroge sur l'attitude de son amie. Il n'est pas dans ses habitudes, loin de là, de se comporter de la sorte. Que cherche t-elle ? À le draguer ? À juste l'allumer pour s'amuser ? À le tester ? Tout cela le laisse perplexe.


- Le panaché de monsieur est avancé !

- Merci.

- Je t'abandonne deux minutes, j'ai chaud, je fais me changer.


Lorsqu'elle revient, Jacques manque tomber de sa chaise ! Elle a troqué pantalon et chemise contre un paréo et un haut de maillot de bain qui a le plus grand mal à contenir sa poitrine.


- Euh...pour un changement, c'est un changement...

- Tu n'aimes pas ?

- Si, si, bien sûr !


Décidément, rien ne se passe comme il l'avait prévu. De chasseur qu'il envisageait d'être, il a l'impression de devenir gibier. Et ça ne s'arrange pas quand Anne, sans hésiter, revient s'installer sur ses genoux.


Jacques décide alors de voir jusqu'où elle désire aller. Après avoir lancé une énième commande, il laisse retomber sa main sur la jambe, au niveau du genou. Anne ne se dérobe pas, même si il sent une légère crispation. Il reste un instant immobile puis, le plus lentement possible, ses doigts s'animent, décrivant de touts petits cercles sur la peau nue.

Comme si de rien n'était, son autre main reste sur la souris, cliquant de temps en temps pour valider une option. Le manque de réaction l'encourage et toujours sans aucune précipitation, la main remonte le long de la cuisse, la hérissant de chair de poule. Tournant la tête, il s'aperçoit qu'Anne a fermé les yeux. La deuxième main abandonne la souris et se pose sur le ventre, juste à la lisière du paréo.


Le silence est total. Seule la respiration d'Anne, qui s'est soudainement accélérée, trahit le trouble de la jeune femme. Les mains de Jacques caressent le plus doucement possible la cuisse et le ventre, comme si il avait peur, par un mouvement trop brusque, de la ramener à la réalité et de mettre un terme à ce moment presque magique.


Anne ne se reconnaît pas ! Elle, jusque là si fidèle, si "coincée" même aux dires de son mari, la voici qui se laisse caresser par un autre homme et, pire encore, qui y prend un plaisir bien réel. Doucement, en sentant les doigts de Jacques sur l'intérieur de sa cuisse, elle écarte les jambes ; lui indiquant par ce geste qu'elle se livre à lui, à ses caresses qui lui procurent un tel bien-être. Elle appuie son dos contre le torse de celui qu'elle a presque déjà envie d'appeler son amant. Loin de la choquer, cette dernière pensée l'excite. Un amant, elle ! Jamais elle n'y aurait songé. Jamais, tout au moins jusqu'à hier soir, quand elle a surpris son mari sortant de chez Véro, la femme de Jacques, en l'embrassant d'une manière bien plus qu'amicale.


Le mouvement de jambe n'a pas échappé à Jacques. Sa main poursuit donc sa remontée et atteint bientôt cet endroit de la cuisse où la peau est un peu plus fine, un peu plus douce. Les doigts se font encore plus légers sur cette aine qu'ils découvrent et finissent par se heurter au léger tissu, dernier rempart, dernier obstacle à des plaisirs plus intenses.

Il passe alors l'autre main dans le dos de sa compagne et, tirant sur les ficelles, décroche le soutien-gorge. Il revient par devant et, glissant les doigts entre le tissu et le chair, empaume un sein dont il agace le téton qui ne tarde pas à réagir.

 

Ce début est très calme, très soft...

La suite le sera beaucoup moins... si vous le décidez !!

 

Qui a dit que je me la jouais ?? Je vais devoir sévir petite Isatys!!

Ecrire un commentaire
Voir les 7 commentaires
Retour à l'accueil

Flux

  • Flux RSS des articles

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés