Lundi 17 mars 1 17 /03 /Mars 08:23
L'après-midi touche à sa fin. Mais nos trois héros ne sont pas fatigués, loin de là !

Nous dégustons une nouvelle coupe de Champagne. Je suis le seul à ne pas encore avoir joui et Annie le fait remarquer en me demandant :

  • - À ton tour de prendre ton pied, cher voisin ! Je meurs d'envie de goûter ton nectar, tu es d'accord ?
  • - Comme si il était possible de dire non !

Elle s'agenouille, se penche et m'avale. Avachi dans le fauteuil, je la regarde engloutir mon membre, le faire ressortir pour lui offrir quelques coups de langue sur le gland, les couilles. À ce rythme, je ne  vais tenir très longtemps. Marc, qui semble lire dans mes pensées, m'encourage d'ailleurs :

  • - Surtout, ne te retiens pas ! Ma petite cochonne adore boire le sperme et je devine qu'elle a hâte de déguster le tien. Laisse-toi aller ! Ne pense qu'à ton plaisir !

Je décide alors de faire ce qu'il me conseille et ne me retiens plus. Quelques secondes suffisent pour que l'orgasme s'empare de moi.

  • - Annie... je... je vais venir... oh.. oui... comme ça.. c'est... ahhhhhh

Je me déverse dans sa bouche, mes jets arrosant copieusement son palais sans qu'elle n'en perde une goutte. Je la regarde déglutir puis, se relevant, offrir un baiser à son mari, partageant ainsi un peu de ma semence.

  • - Ton sperme à un gout délicieux, cher petit coquin...
  • - Et toi une bouche affolante...

Elle se tourne vers Marc, lui demande de s'allonger puis, sans autre forme de procès, s'empale sur son sexe à nouveau dressé.

  • - Hum... comme j'aime ta bitte mon salaud... regarde-nous Franck ! Vois comme il me baise bien la chatte ! Tout à l'heure, quand tu auras retrouvé la forme, tu le remplaceras... ou tu viendras me baiser avec lui... comme tu voudras... Oh, mon amour ! Vas-y ! Bourre-moi bien ! Ah oui ! C'est bon !

Me voici donc à nouveau dans ce rôle de voyeur ; je les regarde faire l'amour, je devrais plus simplement dire "baiser" tant leur étreinte est passionnée, presque animale. Leurs soupirs et autres gémissements font écho aux floc de la chatte d'Annie. Rapidement, devant un tel spectacle, je retrouve une érection maximale. Annie, tournant la tête s'en aperçoit et s'écrie :

  • - Oh, mon chéri ! Je crois que je vais connaître mon premier sandwich ! Viens Franck ! Viens me perforer le cul pendant que mon chéri me baise la chatte !

À défaut d'être complètement poétique, sa demande n'en est pas moins intéressante. Je rejoins donc le couple et parviens, après quelques contorsions, à m'installer derrière elle, le gland tout contre son oeillet. Marc a cessé tout mouvement et je commence à pénétrer le cul de ma jolie voisine. La facilité avec laquelle je m'introduis en elle me prouve que la coquine s'adonne régulièrement à la sodomie, ce qu'elle me confirme d'ailleurs :

  • - Vas-y petit salaud ! N'aie pas peur ! Encule-moi bien à fond !

Comment résister ? D'un puissant coup de rein, je la pourfends et me retrouve tout en elle, les couilles contre son adorable popotin. J'entame de lents va et vient, savourant chaque minute de ma première sodomie, et oui ! Sous Annie, Marc reprend lui aussi sa "chevauchée fantastique" et, très vite, nous faisons grimper aux rideaux notre charmante cavalière !

  • - Oh oui... mes amours... bourrez-moi bien... j'aime vos deux queues... ah c'est trop bon... je vais jouir... je... je viens... oui... ça y est... ahhhhh

Elle hurle presque tant son orgasme est puissant. Elle s'affale contre le torse de son mari sans que ni lui ni moi ne cessions nos coups de reins. Les mains fermement accrochées à ses hanches, je la pilonne régulièrement, prenant un plaisir inouï. J'aimerais que cette séance n'en finisse pas tant je prends mon pied à aller et venir dans les reins de ma chère voisine.

Notre folle chevauchée dure de longues minutes puis, à bout de résistance, Marc, le premier succombe et jouit longuement dans la chatte de sa femme. Je peux presque sentir ses jets fuser tant nos deux sexes sont proches l'un de l'autre. Son plaisir déclenche le mien et, à mon tour, je me laisse aller. Je sors du délicieux écrin et, dans une longue plainte, arrose copieusement le dos de ma partenaire.
Nous nous séparons, en nage, le souffle court. Annie nous embrasse à tour de rôle avant de déclarer :

  • - Je viens de vivre des minutes que je ne n'oublierai pas de sitôt ! Vous m'avez fait jouir comme jamais !
  • - Ça a été super pour nous aussi, n'est-ce pas Franck ?
  • - Oh que oui. Et, comme toi, cela restera un super souvenir !

Nous trinquons une nouvelle fois puis, l'heure avançant, mes voisins m'invitent à rester dîner. J'espère que la soirée sera aussi torride que l'après-midi !!

Marc prépare le barbecue pendant que je donne un coup de main à sa femme pour préparer la salade. La cuisine n'est pas spécialement petite mais cette coquine ne peut passer près de moi sans effleurer mes fesses, mon sexe. J'entre dans son jeu et, à mon tour, profite de chaque croisement pour envoyer une main baladeuse sur une cuisse, le ventre, un sein. L'humeur reste à la fois au beau fixe et surtout à la gaudriole !

Nous dinons assez rapidement puis rentrons boire un café au salon. La lumière tamisée et la musique douce entretiennent l'ambiance érotique de la soirée. Nous discutons de tout, de rien mais surtout de sexe. J'apprends, non sans surprise, qu'il s'agit de leur première aventure "hors norme", selon les mots de Marc.

  • - On t'a remarqué dès qu'on a emménagé mais on ne pensait pas avoir l'occasion de réaliser notre fantasme avec toi.
  • - Surtout TON fantasme, ma chérie.
  • - Oui, je te l'accorde... même s'il me semble que tout à l'heure, tu ne t'es pas privé...
  • - J'avoue... je n'ai pas pu résister aux adorables petites fesses de Franck... Tu as aimé au moins ?
  • - Hum... j'avais un peu peur mais tu as su être très doux et patient et j'ai passé un moment aussi agréable qu'inattendu.

Assise entre nous, Annie a posé une main sur chacun de nos sexes et les caresse doucement, tout en nous écoutant. Je me tourne vers elle et pose mes lèvres sur les siennes. Nous échangeons un long baiser puis la belle lâche ma queue, regarde son mari en souriant et dit :

  • - Mon petit chéri, j'aimerais énormément te regarder sucer une bitte... et je suis certaine que notre ami ne te refusera pas la sienne. N'est-ce pas Franck ?
  • - Hum... si Marc est aussi doué avec sa bouche qu'avec son sexe... je lui offre volontiers le mien.
  • - Je vois qu'il ne me reste plus qu'à obéir...
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