Jeudi 3 janvier 4 03 /01 /Jan 11:57
Suite de cette soirée. Cela devient plus chaud...


Yves a lui aussi remarqué son abandon ; il s’approche à son tour, pose une main sur l’épaule et joint ses caresses à celles de sa femme. Il se penche ensuite et embrasse le visage de Catherine, s’attardant sur les paupières, son front, avant de poser ses lèvres sur les siennes. Sans l’ombre d’une hésitation, ma chérie répond à son baiser et je la regarde embrasser pour la première fois un autre homme. Véro pour sa part, empaume un sein dont elle fait rouler le téton entre pouce et index, tirant quelques soupirs, encore légers, à ma femme.

L'autre reçoit la même caresse de la part d'Yves et cette fois, Catherine ne retient plus ses gémissements. Nos deux amis restent ainsi de longues minutes, uniquement concentrés sur la poitrine dont les tétons sont en érection maximale, semblables à deux petites fraises qui reçoivent avec grand plaisir les caresses et baisers du couple.


Yves alterne baisers sur la poitrine et sur la bouche, roulant de longues pelles gourmandes à Catherine, pinçant les lèvres entre les siennes, faisant danser leur langue. Après un long moment, il abandonne et s'installe, accroupi, entre les cuisses. Il reste quelques secondes immobile, les yeux rivés à cette fente, que je devine déjà trempée. Ses mains se posent sur les jambes, les caressent, des genoux à l'intérieur des cuisses, à cet endroit si délicat où la peau se fait plus fine, plus douce encore. Il se rapproche peu à peu du sanctuaire dont il effleure les lèvres entrouvertes, évitant soigneusement les endroits les plus sensibles.

Véro, elle, va à l'armoire et s'empare d'un gode. Elle revient et en caresse les seins avant de mettre le moteur en route, sur la vitesse la plus faible. Un léger ronron trouble le silence. Je m'approche à mon tour et prend une main de Catherine. Elle se tourne vers moi, un sourire timide aux lèvres. Le mien la rassure définitivement et, fermant les yeux, elle s'abandonne totalement.


Véro titille maintenant la fente avec l'olisbos, l'enfonce parfois entre les lèvres gonflées, le passe d'autre fois sur le bouton sensible.

Catherine a de plus en plus de mal à contrôler les mouvements de son corps. Elle se tortille, comme pour échapper aux caresses trop précises mais ses liens l'en empêchent et rapidement, elle crie son plaisir, le ventre tendu, le gode fiché au plus profond de son intimité.


Nos amis la laissent reprendre un peu ses esprits, en profitent pour se mettre nus et, après quelques minutes, Yves s'installe à nouveau entre les cuisses de ma chérie, cette fois debout, le sexe à hauteur de la grotte. D'un puissant coup de rein, il s'enfonce dans le vagin de Catherine qui l'accueille avec un cri rauque. Il va et vient en elle à grands coups de boutoir, faisant cogner les fesses de ma chérie contre son bas-ventre.

Véro, comme moi, admire le spectacle puis elle s'approche, s'agenouille face à moi et, sans autre forme de procès, m'avale, faisant coulisser ma tige entre ses lèvres pulpeuses et chaudes. Je savoure cette pipe tout en la pelotant et sans perdre une seconde du spectacle de ma charmante épouse en train de se faire ramoner par notre ami. Celui-ci, tournant la tête, découvre ce que sa femme est en train de me faire. Il sourit et dit :


  • - Je vois que ma petite cochonne n'as pas pu résister bien longtemps...

  • - Et je suis heureux d'en profiter, crois-moi !


Je la laisse faire quelques minutes puis, au bord de l'explosion, je la fait se relever. Je l'embrasse avant de lui demander :


  • - J'aimerais voir Catherine lécher ta chatte... tu veux bien ?

  • - Comment refuser ?


Elle monte sur la table, s'installe accroupie au-dessus du visage de ma chérie et, lentement, descend. Catherine, excitée comme jamais, n'hésite pas une seule seconde et je vois sa langue glisser entre les lèvres de notre hôtesse et lui prodiguer des caresses qui la font gémir instantanément. Je reste un peu admirer le trio puis m'approche de la table. Mes mains s'emparent des seins de Catherine et je la pelote, par moments assez vigoureusement. Tout près de moi, les coups de reins d'Yves redoublent d'ardeur et ses ahanements s'amplifient, les cris de ma chérie leur répondant. Il n'a que le temps de sortir du vagin de ma chérie que ses jets fusent, zébrant abondamment le ventre de Catherine et le bas du dos de sa femme.


Excité comme jamais, je prends immédiatement sa place et lime à mon tour mon amour, accueilli avec bonheur par ma chérie :


  • - Oh oui ! Vas-y ! Baise-moi toi aussi ! Oh !!! C'est... oui... encore.. je... je vais... AHHHHHH !!


Catherine succombe une nouvelle fois. Ses muscles intimes massent mon sexe et je dois faire un sacré effort pour ne pas succomber moi aussi. Je parviens à tenir quelques minutes encore puis, dans un long râle, jouit à mon tour, me déversant abondamment en elle.


Je me retire et regarde la chatte béante de ma chérie, d'où s'écoule un filet de sperme. Véro, gourmande, se précipite et entreprend le nettoyage de la fente, offrant un nouvel orgasme à Catherine qui, ce dernier passé, réclame une pause :


  • - Pitié ! J'en peux plus... En plus, j'ai envie de pipi... vous pouvez me détacher ?

  • - Ah non ! Pas question ! Tu peux très bien te soulager comme tu es... et nous permettre de t'admirer...

  • - Quoi ? Tu veux que je pisse devant vous ?

  • - Tout à fait ma chère ! Je suis sûr que Véro et Franck ont très envie de te regarder te vider la vessie, n'est-ce pas ?

  • - Oh oui ! S'écrie Véro.

  • - Si vous saviez depuis combien de temps j'en rêve ! Renchéris-je.


Vaincue, et incapable de s'y dérober, ma chérie pousse un long soupir et reste immobile. Nous nous installons face à elle, impatients de la voir se soulager. Après quelques minutes, un premier jet récompense notre attente, suivi par une véritable cascade dorée qui dure un long moment. Enfin, la source se tarit. À nouveau, Véro plaque la langue contre la fente et essuie les quelques gouttes qui perlent encore.


Ce dernier spectacle a, chez Yves et moi, déclenché une nouvelle érection, à la grande satisfaction de Véro qui s'écrie :


  • - Super ! Vous êtes de nouveau en forme ! À mon tour d'en profiter !

  • - Mets-toi à quatre pattes ma chérie que je t'enfile bien à fond !


Elle s'installe et Yves prend possession de son vagin d'un rapide coup de rein, qui la fait crier de bonheur. Le couple s'en donne à cœur joie.


Je regarde ma femme ; les cernes qui soulignent ses yeux reflètent le plaisir mais surtout la fatigue de cette soirée. Son regard brillant, lui, indique clairement qu'elle n'est pas encore totalement rassasiée et tout à faite prête à continuer après une petite pause.


 

Cette partie vous a t-elle plus plu ? Je l'espère et attend vos remarques pour la suite...

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Commentaires

merci d'être passé sur mon blog et du gentil commentaire
msn coquin
commentaire n° :1 posté par : julie le: 04/01/2008 à 16h13

Continues à nous faire rever


Saurais tu ou je pourrais la fin "Isabelle et Marc"


Je n'ai que le debut


Merci

commentaire n° :2 posté par : ulysse36 le: 10/01/2008 à 05h06
Merci pour ton comm sympa.

Peux-tu me donner le titre de l'histoire "Isabelle et Marc". Je ne trouve pas ce titre dans la liste de celles publiées.

@mitiés
réponse de : Chris le: 10/01/2008 à 09h10

Isabelle et Marc (Chapitre 1)
Cette histoire date de 10 ans tout juste, alors que nous habitions le sud-ouest de
la France. Nous
avions 30 ans, et ma femme, Isabelle, est une jolie blonde, petite, très mignonne, 90b, très coquine. Dès notre arrivée dans cette région, nous avions acquis une jolie maison dans un lotissement, et tout allait pour le mieux, jusqu'au jour où, 2 ans après, Isabelle vînt à perdre son emploi de comptable. Malgré mon salaire, les difficultés financières apparurent bientôt, et nous ne pûmes bientôt plus faire face aux remboursements du pavillon... Notre voisin Jean-Paul, 61 ans, en pré-retraite d'une banque importante, au courant de nos difficultés, nous invita alors un soir à boire le café. La discussion fût cordiale, amicale même, et il proposa de faire embaucher Isabelle dans la grande société industrielle dont son fils était le PDG. Nous avons alors pensé au miracle, car alors, toutes nos difficultés s'envolaient ! Alors que nous le remercions chaleureusement, il nous dit : - Attendez, ne vous emballez pas comme ça, il y a une condition !! Tombant un peu de haut, nous lui avons alors demandé laquelle ? - C'est bien simple, je veux que ta femme m'appartienne sexuellement ! Ahuri, je lui répondis qu'il était fou, qu'il n'en était pas question.... Il nous dit : - Alors, c'est vous qui voyez, vous allez vous débrouiller avec vos remboursements et vos dettes, et vous allez vous retrouver en HLM, couverts de dettes ! Isabelle et moi ne répondions plus rien... Il ajouta : - Je vous laisse réfléchir...la nuit porte conseil...je vous laisse jusqu'à demain soir pour me donner votre réponse...réfléchissez bien...! Ce soir là, nous sommes partis, complètement sonnés, ne sachant plus quoi faire... En nous couchant, nous en avons longuement parlé avec Isabelle, qui disait que c'était un vieux vicieux, un pervers, qu'elle ne pourrait jamais... Dans la nuit, elle pleurait, elle me réveilla en m'embrassant tendrement dans le cou, et me dit - Tu sais chéri, il vaut mieux céder, je crois qu'il vaut mieux dire oui... Je ne voulais pas, nous en discutâmes longtemps, mais nous avons fini par convenir, la mort dans l'âme, qu'il valait mieux céder, et ainsi aplanir nos difficultés. Le lendemain, Jean-Paul nous attendait pour boire le café. C'était l'été, Isabelle était en robe d'été blanche, légère et légèrement transparente. Une fois assis dans le canapé, il demanda : - Alors, qu'est ce que vous avez décidé ? Isabelle lui répondit... - Vous croyez qu'on a vraiment le choix ? C'est oui. Je suis d'accord. Jean-Paul ricana : - Eh bien vous voyez, vous voilà plus raisonnables !! - Tu sais, depuis que vous êtes arrivés là, j'ai remarqué ta femme... Je l'ai même vue, plusieurs fois, allongée sur le transat, à se faire bronzer seins nus... Alors ma petite, à force d'allumer, il va falloir éteindre... - Rassure-toi, tu vas passer ta première épreuve... J'ai appelé mon fils, pour ton embauche, il est d'accord... Je lui ai expliqué notre petit "contrat"... - Alors, mardi, tu vas te présenter au siège de sa société, à 16 heures. Il va te recevoir pour régler les détails administratifs. Dès la première fois, tu vas te donner à lui ! - Pour la tenue, je te préviens, il n'aime pas les putes. Alors sois bourgeoise, bcbg... - Tu as un superbe ensemble saumon... Tu mettras ça. Rien en dessous, juste un soutien-gorge et un slip. Pas besoin de bas, il fait chaud, ce n'est pas la peine d'en rajouter. Des hauts talons surtout, car il adore. - Sois tendre, sois chatte, et offre-toi bien, c'est très important. Isabelle se mit à sangloter... - Pas la peine de pleurnicher ! Ca ne changera rien, et crois-moi, petite, ce n'est que le début ! Il alla chercher une bouteille de champagne et des flûtes. - On va fêter ça ! Il déboucha la bouteille et nous servit. Puis il ordonna à Isabelle : - Allez, toi, debout ! Nous étions assis lui et moi sur le canapé. - Allez petite, marche un peu, que je puisse voir tes formes... Il mit de la musique, Isabelle dût marcher.... Au bout d'un moment il se leva, je voulus me lever... - Toi, tu restes assis, compris ? Il s'approcha d'Isabelle, lui caressa lentement les seins, les fesses, le ventre... Puis il l'embrassa dans le cou et dit à ma femme : - Regarde la bosse que tu m'as mise dans le pantalon.... En effet, une bosse déformait sa braguette, et il se collait et se frottait à Isabelle... Puis il dit : - Ca suffit pour ce soir ! Rentrez, parce que ça va mal finir... Et je veux réserver le premier coup pour mon fils ! Nous étions le vendredi, inutile de vous dire que nous avons passé un week-end angoissé, ainsi que le lundi. Le lundi soir, le téléphone sonna... C'était LUI. - Vous passerez ce soir, après le repas. Le soir venu, nous allâmes chez lui. - Bien, le rendez-vous est calé pour demain, chez mon fils. Il t'attend. Vous passerez tous les deux me voir avant, vers 14 heures. Toi, habillée et maquillée ! Le mardi, à 14 heures, nous étions chez lui, comme il l'avait ordonné. Isabelle avec son tailleur, veste et jupe couleur saumon, et en hauts talons. - Pas mal !! Pas mal du tout !!! Tu es très bandante comme ça.... Nous étions tous les trois sur le canapé. - Lèves toi ! Isabelle obéit. - Très bien... Enlèves ta veste et ta jupe ! Je tentai de protester... - Ne t'occupe pas de lui, obéis !! Isabelle retira sa veste, enleva la jupe, et apparût en sous-vêtements noirs, en jolie dentelle; soutien-gorge balconnets et slip brésilien.... - Pffff.... Tu sais y faire, toi !!!! Ton mari ne doit pas s'ennuyer avec toi... Il faut vraiment en faire profiter les autres ! - Allez, continue ! Retire le sous tif et le slip ! Isabelle pleurnicha, n'obéit pas.... - Tu m'écoutes, oui ??? - Je t'ai dit A POIL !!! - FOUS TOI A POIL ! Isabelle, la mort dans l'âme, dégrafa le soutien-gorge qui tomba sur la moquette, et fit glisser la culotte le long des jambes... Bras croisés sur la poitrine, elle attendait... - Enlève-moi les bras de tes seins !!!! Plaque les le long de tes jambes, allez !! Il émit un petit sifflement.... - Une vraie blonde, en plus... ! Il y a vraiment tout ce qu'il faut là où il faut !! - Tourne-toi... Isabelle se tourna. - Très jolies fesses.... Bien cambrée, en plus !! - Bon, il se fait tard...Rhabille-toi, va te remaquiller, tout a coulé, et vas-y, mon fils t'attend !! Il se mit à rire et me dit : - Quant à toi, tu attends son retour ici, avec moi ! Isabelle rentra chez nous, un quart d'heure après, j'entendis la voiture partir.... Jean-Paul mit la télé, nous bavardâmes... Tout à coup, il dit : - Tiens, il est 16 heures, elle doit entrer dans son bureau !! Il me dit : - Bois donc une coupe de champagne, ça te fera du bien ! A 16 h 30 : - A cette heure, elle doit être en mains, ils doivent être en train de s'amuser !!! J'avais la gorge nouée... Isabelle revînt à 18 h 30. Elle rentra chez nous. Jean-Paul l'appela au téléphone. - Eh bien, nous t'attendons, qu'est ce que tu attends ?? - Elle arrive, elle prend une douche avant et elle vient. Isabelle sonna, il alla lui ouvrir, elle entra, en jean et t-shirt. - Voilà notre petite Isabelle !! Isabelle vînt m'embrasser. - Alors, ça y est ?? Embauchée ?? - Oui monsieur, ça y est, votre fils m'a embauchée, je commence demain. - Bon très bien, voici la fin de vos ennuis... Mais on n'oublie pas notre petit contrat, hein ?? - ... - Mais au fait, Isabelle, tu vas nous raconter vos petites galipettes... Comment cela s'est passé...? Isabelle ne répondait pas.... - Tu vas répondre, oui ??? Ton mari voudrait bien savoir, nous étions comme deux imbéciles à t'attendre ici pendant que tu t'envoyais en l'air ! Isabelle ne répondait toujours pas.... - Je te préviens, tu vas nous raconter, parce que tu commences à m'énerver à faire la mijaurée !! - Eh bien il m'a fait entrer dans son bureau et m'a expliqué le poste, le salaire.... - On s'en fout !!! Et le reste ?? - Il m'a complimentée sur mon physique, ma tenue, et m'a demandé de me lever et de me déshabiller. - Très bien ! Ensuite ?? - Je l'ai fait, j'étais en sous-vêtements, il m'a demandé d'aller plus vite, de me mettre nue. - Quand j'ai été nue, il est venu près de moi, m'a touchée. - Il t'a touchée... humm.... Où ? - Eh bien les seins, les fesses, ..... le ventre .... - Puis il s'est déshabillé également. - Il m'a fait mettre à genoux.... Et j'ai dû lui faire une fellation..... - Une fellation ??? Tu arrêtes de parler comme une bourgeoise ??? Il t'a demandé de lui tailler une pipe, non ?? - Oui.... - Alors dis-le ! Je veux t'entendre le dire !!! Allez !! - Il m'a demandé de...... lui tailler une pipe..... - Bien... Tu l'as bien sucé au moins ??? Longuement ?? - Oui... il aime beaucoup ce genre de caresse... - Et ensuite ??? - Il m'a fait mettre debout contre son bureau, et il m'a possédée... - Hummm.... Et tu as jouis ?? - Non..... - Petite menteuse.... Tu as jouis ???? - Alors ???? Isabelle fit "oui" de la tête... - Ah tu vois.....!! J'en étais sûr... Attends, je vais l'appeler, on va avoir ses impressions !!! Il composa le numéro, la ligne directe de son fils... - Serge ? J'ai Isabelle et son mari chez moi... J'ai mis le son, ils t'entendent... Alors, ça s'est passé comment ?? - Super, vraiment super... Dis donc, cette nana, elle est faite pour le lit... ! J'étais tellement excité que je lui ai mis deux coups ! Et encore, je n'ai pas eu le temps de m'en occuper !! En tous cas, nous n'allons pas nous ennuyer pendant les pauses déjeuner ou les voyages d'affaires... - Tu vois, ton père te trouve de bons coups, non ?? - Ca, rien à dire, c'est une bonne baiseuse ! Et elle taille des pipes d'enfer... - Bien, heureux qu'elle te plaise, je te laisse. Je t'embrasse ! Il raccrocha. - Je crois que ça s'est bien passé vous deux, dis donc... Très bien, tu respectes tes engagements... Rentrez chez vous... Tu vas voir, ce soir, je suis sûr que ton mari va te baiser, il est très excité, tu sais.... Nous sommes alors rentrés à la maison..... Il y a quelques autres aventures concernant cette histoire... nous vous les conterons si celle-ci vous a plu... Marc et Isabelle.

commentaire n° :3 posté par : ulysse36 le: 10/01/2008 à 18h58
Je t'envoie un mail pour en parler.
réponse de : Chris le: 11/01/2008 à 13h26

Toujours aussi passionnant ...


Amitiés

commentaire n° :4 posté par : Papyvoyeur le: 16/01/2008 à 11h42
Jolie histoire
commentaire n° :5 posté par : Gidédé le: 28/05/2008 à 19h08
Merci bien
@mitiés
réponse de : Chris le: 29/05/2008 à 08h16

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