Chris écarte un peu plus les cuisses de la belle et ses caresses se concentrent maintenant sur son intimité. Ses doigts effleurent les aines, les grandes lèvres, le Mont de Vénus, évitant encore soigneusement les endroits trop sensibles. Il s'agenouille, souffle délicatement sur la peau nue, lui donnant la chair de poule, puis sa bouche se pose à nouveau sur le sexe de Lucie, tirant un long soupir à la belle.

Il embrasse les lèvres, joue à les aspirer entre les siennes, monte agacer le bouton, déjà fièrement dressé, redescend et se régale de la liqueur intime de sa partenaire. Les gémissements de Lucie se font plus sonores, quelques "ah" de plaisir s'échappent de sa bouche. Elle relève un peu plus encore les jambes, permettant ainsi à son lécheur de goûter cet endroit si intime, dont peu de gens connaissent la sensibilité. Chris ne se fait pas prier pour pointer la langue sur le petit anneau fripé, en forçant le passage assez aisément.

Lionel, que la vision des deux amants, excite à l'extrême, prend encore quelques photos puis pose l'appareil et se penche vers sa femme pour l'embrasser tout en caressant sa poitrine. À son tour, il s'agenouille et, comme leur ami, sa bouche s'empare des seins qu'il embrasse alternativement, caressant celui qu'il ne lèche, passant de l'un à l'autre rapidement ou, au contraire, s'attardant longuement sur un mamelon.

Lucie savoure les caresses et les baisers de ses deux hommes. Leurs doigts, leurs lèvres, leur langue courent sur les zones les plus sensibles, lui donnent la chair de poule, parfois même, plus précises, comme des décharges électriques.

Elle ne contrôle plus ce corps, ne parvient pas à dompter ses mouvements incontrôlés et soudain, comme une vague surgie de nulle part, le plaisir s'empare d'elle.

Dans un long cri, elle jouit, le corps arqué, les doigts serrés sur le bras de son mari,imprimant leur marque. Elle vit un orgasme d'une rare violence puis, comme épuisée, elle retombe, peinant à reprendre son souffle, à maitriser les battements de son cœur. Elle comprend à ce moment le terme de "petite mort" parfois donné à l'orgasme.

Lionel et Chris se relèvent, la laissant reprendre ses esprits. Les deux hommes se regardent, souriants :

- J'ai l'impression que ma petite femme chérie vient de prendre un pied d'enfer !

Lucie rouvre les yeux :

- C'était... oh la la... j'avais jamais connu ça !

Elle sourit à ses deux partenaires puis, semblant s'apercevoir que leur invité a encore son pantalon, lui demande :

- Et alors Chris ? Tu es si timide que ça ? Mets-toi vite à l'aise !

Il se retrouve très vite en caleçon et, la regardant, déclare à son tour :

- Tu viens terminer ?

- Avec plaisir !

Elle se met à genoux face à lui et fait glisser le sous-vêtement. La queue bandée de Chris lui saute presque au visage, comme un diable sorti de sa boîte.

- Oh qu'elle est belle !

-Tu l'aimes ?

-Humm... oui... beaucoup...

Comme pour en apporter la preuve, elle s'en empare et le caresse, d'abord doucement, presque timidement, du bout des doigts. Puis, plus franchement, elle le masturbe, parvenant à le faire grossir encore un peu plus. Elle ne résiste pas et, après avoir déposé de légers sur le gland, elle ouvre la bouche et l'avale, le faisant lentement coulisser entre ses lèvres.

Les yeux baissées, Chris apprécie le spectacle de son sexe allant et venant dans la bouche de sa maitresse, de ses joues creusées, de ses caresses sur ses bourses. Lionel aussi prend plaisir à voir sa femme sucer un autre homme, à nouveau il fixe la scène sur la mémoire de son appareil photo puis, n'y tenant plus, la fait mettre à quatre pattes, se glisse sous elle et goûte à son tour son adorable chaton. Chaton qu'il trouve complètement trempé, totalement ouvert, livré à ses baisers. Il se régale, comme toujours d'ailleurs, de ce sexe dont il ne se lasse pas, titille le bouton d'amour, mordille les lèvres avant d'aller honorer comme il le mérite le petit anneau sombre.

Lucie, sous ce nouvel assaut, a bien du mal à rester concentrée sur sa fellation. D'autant plus qu'elle ressent de façon de plus en plus pressante le besoin de sentir une queue en elle. Abandonnant celle de Chris, elle se relève et s'assied sur lui, s'empalant sur son membre tendu :

- Oh oui... c'est bon !