Mercredi 7 février 3 07 /02 /Fév 11:00
Suite de cette soirée, prélude à notre anniversaire de mariage...


À genoux à côté d'elle, je lui demande d'écarter les jambes. Je reste un instant admirer son intimité puis dépose une bonne quantité de crème sur ses lèvres après les avoir humidifiées.


- En attendant qu'elle fasse effet, donne-moi une cigarette, s'il te plait !


Je regarde, ou plutôt admire, ce corps qui, depuis que je l'ai découvert, me rend toujours aussi fou.


- Qu'est-ce que tu mates comme ça ?

- Toi ma chérie… tu es toujours aussi belle…

- Avec quelques kilos en trop…

- Je dirais plutôt avec quelques rondeurs … qui te donnent un charme fou !

- Flatteur !

- Amoureux, je préfère.


Ma main se pose sur son ventre et le caresse doucement, en appréciant la douceur de la peau. Lentement, je remonte vers ses seins dont, du bout du doigt, je dessine les contours. Anne me regarde, un sourire aux lèvres, immobile. J'atteins une aréole que je caresse puis m'attarde sur le téton qui la surmonte, espèce de petite fraise dans laquelle on aimerait croquer. Je le vois grossir, s'étirer, comme s'il s'éveillait. Anne ne bouge toujours pas mais sa respiration se fait plus courte. J'abandonne le délicat bourgeon et m'occupe de son voisin qui réagit de la même façon.


- Les dix minutes sont passées…


Je m'empare de la spatule et ôte la crème, entraînant les poils qui subsistaient. Je rince ensuite abondamment et découvre sa petite fente totalement imberbe, lisse, paraissant encore plus nue ainsi. J'ai pris soin d'amener un petit miroir que je place devant en demandant à ma chérie :


- Alors, ça te plait?

- C'est bizarre… ça fait presque obscène…

- En tout cas, c'est tout doux.


Elle y passe un doigt et en constate la douceur.


- Hum… c'est vrai… on dirait une peau de bébé !


Elle rallume une cigarette et se rallonge. Mes doigts retrouvent sa poitrine et je reprends mes caresses là où je les avais abandonnées. Je saisis un téton entre le pouce et l'index et le fais rouler délicatement, le faisant encore prendre du volume. Cette fois, Anne ne retient pas de légers soupirs. Mon autre main redescend sur son ventre et atteint le léger renflement de son pubis. Je le masse un peu et poursuis mon exploration plus bas. Mes doigts effleurent les lèvres, poursuivent vers les aines et caressent les cuisses. Peu à peu, ma chérie écarte les jambes et je remonte sur ses lèvres. Elles sont un peu plus ouvertes, un peu plus gonflées.

Je les sépare délicatement, admire les petites lèvres roses, si joliment ciselées. Une certaine moiteur trahit l'émoi de ma chérie. Je flatte cette délicieuse vallée, si douce et si chaude. Mon index remonte un peu et trouve le bouton, encore encapuchonné. Quelques effleurements et il sort la tête, se redresse fièrement, comme pour mieux s'offrir aux caresses. Les soupirs de ma petite femme chérie se sont mus en gémissements. J'abandonne sa poitrine, m'installe entre ses jambes, le visage à hauteur de son trésor. Des pouces, j'écarte les lèvres et reste admiratif devant cette fente, maintenant bien humide, d'où monte une si délicieuse odeur. Je m'approche un peu plus et souffle en sa direction, faisant frémir ma belle. Puis, du bout de la langue, je goûte sa liqueur. Anne pose les mains sur ma tête, me plaque contre elle, m'empêche, mais en aurais-je l'envie, d'abandonner mes caresses. Alors, ma langue s'enfonce dans sa grotte, accueillie par un feulement et je bois directement à cette source la mouille de ma chérie.


- Oh oui !


Je lèche quelques instants sa chatte puis descend et lui embrasse les aines. Je relève ensuite ses jambes et ai ainsi une vue imprenable sur son œillet. Ma langue parcourt un peu la raie puis j'embrasse l'anneau plissé. C'est une caresse que d'ordinaire ma chérie n'aime pas trop et je suis un peu surpris qu'elle ne dise rien et, qu'au contraire, elle tienne ses jambes relevées le plus haut possible. J'appuie un peu contre cette porte secrète et parvient à franchir l'obstacle, goûtant sa saveur un peu poivrée. Je ne m'y attarde pas, peu désireux de brusquer les choses et revient lécher sa plaie intime.

Quelques minutes suffisent pour qu'Anne pousse une longue plainte et jouisse. Son jus ruisselle sur mon menton et elle me repousse presque brusquement lorsque je manifeste le désir de poursuivre mes baisers.


Je me relève, heureux de lui avoir offert cette jouissance. Les yeux fermés, elle savoure son orgasme. Je la laisse reprendre doucement ses esprits. Lorsqu'elle les rouvre, elle me regarde avec tendresse. Sans dire un mot, elle baisse mon short et ses doigts se referment sur mon sexe. Elle me caresse un peu puis, s'asseyant au bord du transat, m'attire contre elle et je sens son souffle sur mon bas-ventre. Elle lèche ma hampe, du haut en bas, embrasse mes bourses et descend un peu plus bas, remonte ensuite puis ses lèvres se referment sur mon gland. Elle l'embrasse longuement, l'aspirant puis le fait coulisser, les mains sur mes fesses qu'elle caresse, s'amusant parfois à les pincer. Elle m'avale entièrement, chose qu'elle fait rarement, me fait aller et venir en me serrant fortement entre ses lèvres. Une main abandonne mon postérieur pour caresser mes bourses, les faire rouler entre ses doigts.

Derrière, l'autre main a trouvé mon petit trou et un doigt appuie dessus. Je le sens me pénétrer puis aller et venir lentement, me procurant des sensations inédites mais ô combien agréables !

Les caresses et les baisers de ma petite femme viennent rapidement à bout de ma résistance. Sachant qu'elle n'aime pas particulièrement avaler mon sperme, je la préviens de l'imminence de mon plaisir. Je suis une nouvelle fois surpris car, loin de relâcher sa fellation, elle accélère ses va et vient et je finis par me déverser dans sa bouche, me vidant longuement. Elle me garde en elle et, les yeux baissés, je la vois déglutir, avalant ma semence.


Elle me libère, ôte délicatement son doigt de mes fesses, se relève et me tend la bouche. Je réponds à son baiser et constate qu'elle n'a pas tout avalé et me fait partager un peu de mon sperme.

Nous faisons une pause puis Anne me propose, vu l'heure, d'aller nous coucher.


- Demain, il faut qu'on soit en forme si on veut faire la bringue !


Pas beaucoup de commentaires sur la 1ère partie... heureusement que la qualité vaut largement la quantité !!


N'ayez pas peur ! Dites-moi si vous aimez !

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