La soirée se poursuit

Mardi 10 février 2 10 /02 /Fév 17:59

La soirée se poursuit

Et oui ! Tout arrive ! Même la suite de cette histoire !

Il fait subir le même traitement à l'autre sein, faisant gémir de plus belle Cathy. Puis il abandonne la poitrine et concentre ses baisers et caresses sur le ventre. Enfin, il pose une main sur le renflement du Mont de Vénus et ma femme, presque instinctivement, écarte les jambes. Il sourit et fait sauter un à un les boutons de la braguette avant de passer une main entre le pantalon et le slip.

-Oh, oh... cela m'a l'air bien humide... Il ressort la main, la porte à son nez et hume de délicat parfum.

- Hum...tu sens la femelle en chaleur... j'adore cette odeur.

Il se relève, saisit le pantalon et le fait glisser, dévoilant le léger sous-vêtement qui a toutes les peines du monde à cacher l'intimité de ma chérie tant il est léger et transparent. Pascal reste quelques instants à admirer le spectacle ainsi offert puis il demande à Cathy de se mettre sur le ventre :

- Depuis le temps que ton cul me fait rêver...

Il les caresse par dessus la dentelle, s'amuse à glisser un doigt dans la raie, sous l'élastique. Cathy, aux soupirs qu'elle laisse échapper, semble prendre bien du plaisir à cette situation ! Elle écarte un peu plus les jambes et se cambre, projetant ses fesses au devant des mains de Pascal. Les caresses se font plus fermes, plus appuyées. Bientôt il fait glisser ce dernier rempart. Cathy est maintenant nue, offerte aux mains puis à la bouche de notre ami. Une nouvelle fois, il lui fait changer de position et la voici, les genoux au bord de la banquette, les coudes en appui sur le dossier, jambes largement écartées. Sa fente est ruisselante de mouille. Pascal y plaque le visage et enfonce la langue dans la grotte, se régalant de sa liqueur. Il s'occupe ensuite de son bouton, le titillant du bout de la langue, le pinçant entre ses lèvres. C'en est trop pour Cathy qui, dans une plainte, jouit bruyamment. Les bras tendus, le corps arqué, les reins cambrés, elle savoure longuement son plaisir. Enfin, après quelques minutes, elle refait surface et se rassied ,radieuse, un large sourire aux lèvres.

- Tu es aussi doué que mon chéri pour les minettes !
- Avec une chatte aussi délicieuse que la tienne, je n'ai pas eu à me forcer...
- Mets-toi debout ! J'ai envie de te découvrir à mon tour.

Pascal obéit de bonne grâce et ma chérie commence par déboutonner la chemise, flattant son torse, agaçant ses tétons. Puis vient le tour de la braguette. Le bouton n'oppose aucune résistance et Cathy descend lentement la fermeture éclair, sans quitter des yeux la bosse qui déforme le pantalon. Celui-ci se retrouve bien vite aux pieds de Pascal.

- Retourne-toi ! Moi aussi, j'aime regarder une belle paire de fesses !

Elle caresse le cul musclé de notre ami puis le débarrasse de son caleçon, devenu inutile. Ses mains remonte le long de ses jambes et atteignent bientôt les bourses dont elles s'emparent. Je vois la verge de notre ami avoir des soubresauts sous cette attaque. Il tourne toujours le dos à Cathy qui poursuit ses caresses sur les fesses. Il se raidit légèrement quand elle presse un doigt contre son petit œillet ; ce qui la fait sourire :

- On ne t'a jamais caressé le cul ?
- Non...
- Mon pauvre chéri... tu as encore beaucoup de plaisirs à découvrir. Dis-lui, chéri, comment c'est bon de se faire ramoner le cul !
- Je confirme ! C'est délicieux !

Ce disant, elle pousse un peu et la première phalange force le passage et s'enfonce dans l'étroit conduit.

- Alors ? Tu en penses quoi ?
- J'avoue que la sensation n'est pas désagréable...

Sa queue, qui avait perdu un peu de sa vigueur, a retrouvé toute sa raideur, signe qu'il ne déteste pas l'initiative de ma chérie. La main de Cathy a abandonné les bourses et flatte la tige, la caresse, la griffe légèrement, tirant des petits soupirs de plaisir à Pascal. Elle le fait se retourner et se retrouve alors, le sexe de notre ami, juste à hauteur de son visage. Elle lui offre sans hésiter quelques bisous sur la hampe avant de dire :

- Hum... jolie bitte... et bien raide...

Elle agace le gland du bout de la langue, lèche la tige comme s'il s'agissait d'une glace, la parcourant sur toute sa longueur. Je prends quelques nouvelles photos et je ne rate surtout pas celle où, enfin, elle ouvre la bouche et fait coulisser le sexe de Pascal entre ses lèvres. Elle se force à le prendre le plus loin possible, à la limite du renvoi à en juger par sa grimace. Je me mets nu à mon tour, m'approche et m'empare d'un sein que je pelote doucement, sans oublier de m'occuper du téton. elle me lance un clin d'œil tandis qu'une de ses mains se pose sur ma bitte dressée et la caresse très doucement. Excité comme je le suis, je ne pourrai pas tenir bien longtemps et préfère qu'elle arrête. Lui prenant la main, je la pose sur les fesses de Pascal. Nouveau clin d'œil et petit sourire et elle reprend possession du petit trou de notre ami.

- Tu suces merveilleusement ma chère Cathy...
- Avec une bitte comme la tienne, elle n'a pas à se forcer, crois-je utile de répondre.
- Tu la trouves bien toi aussi ?
- Elle est pas mal en effet...

À ce moment, Cathy lâche le sexe et, me prenant par la nuque, attire mon visage tout près du sien.

- Goûte-la ! Je suis certaine que tu vas aimer...
- Tu veux que je... ?
- Oui. Vas-y ! Tu vas voir comme c'est bon de sucer une belle bitte.

Suite ne signifie pas fin... À bientôt donc !