Groupes


Vendredi 16 février 5 16 /02 /Fév 14:03
Voici la fin de cette mémorable soirée.

Après une petite récupération, elle se relève et vient m'embrasser.


- Je n'en peux plus !

- On redescend boire un coup ?

- Ah oui ! Avec plaisir !


Nous prévenons Karl et rejoignons la salle. Bizarrement, il y a ici de moins en moins de monde ! Nous retrouvons note table et je vais chercher deux verres que nous dégustons tranquillement. Il est près de trois heures du matin, cela fait donc un peu plus de trois heures que nous nous envoyons en l'air ! Je regarde ma chérie, les cernes sous ses yeux et la transpiration trahissent les moments qu'elle vient vivre.


- Alors ? Heureuse ?

- Très oui, répond t-elle en riant. Et toi ?

- Hum… plus que ça…

- Il faudra qu'on revienne !

- Ben dis donc ! Tu y prends vite goût !

- Pas toi ?

- Si. Je te promets d'y revenir… quand tu en auras envie.

- T'es un chou !


Les verres vides, je demande à ma puce ce qu'elle veut faire :


- Je ne sais pas… tu veux rentrer ?

- Pas spécialement. Tu as encore des forces ?

- Hum… je crois oui…

- Dans ce cas, poursuivons la visite !

 

Anne, décidément en forme, se débarrasse de ses habits qu'elle donne à garder au vestiaire, sous le sourire de la jeune femme.


- Tu devrais en faire autant !

 

Soit ! Je me mets nu moi aussi et nous partons, nous tenant par la main.


Nous voici à nouveau dans le couloir. En passant devant la pièce où nous avons baisé avec Karl et Martine, nous jetons un œil curieux. Véro, ayant visiblement perdu toute timidité, subit les assauts d'un tout jeune homme, toujours sous le regard de son ami qui se caresse distraitement en les matant.

Nous poursuivons notre promenade et trouvons une nouvelle pièce dont un des murs est percé par une espèce de fenêtre. L'ouverture permet de regarder ce qui se passe dans la pièce d'à côté et nous jouons donc les mateurs. Une femme se fait lécher la chatte par une autre qui, en levrette, se fait vigoureusement ramonée par un homme assez imposant. La scène est très émoustillante et je sens renaître mon érection. D'autant plus facilement qu'Anne a saisi mon membre et le caresse doucement. Je sens une présence derrière nous, me retourne et vois un jeune homme noir, les mains posées sur le cul de ma chérie, pelotant ses deux globes. Je lui souris et, rassuré, une main abandonne le derrière pour flatter la fente. Anne se tourne vers moi, visiblement sensible à ces attentions, et nos bouches se trouvent pour un tendre baiser. Elle écarte les jambes, s'offrant un peu plus aux doigts qui vont et viennent maintenant en elle, et serre un peu plus mon sexe.

Je regarde à nouveau l'homme et plus particulièrement son sexe. La réputation des hommes de couleur n'est pas usurpée ! Il est doté d'une verge d'une longueur peu commune et d'un diamètre tout aussi imposant. Et pourtant, il n'est pas encore tout à fait raide !

La main d'Anne abandonne mon chibre et se referme sur celui de l'inconnu.


- Waouh ! Quel morceau !


Je m'écarte un peu, désireux de les regarder. L'homme a fait se retourner Anne face à lui et lui roule une pelle. Son érection est maintenant au maximum et son sexe est impressionnant. Ma chérie n'attend pas et, s'agenouillant, lèche le bâton, du gland aux couilles elles aussi très grosses. Il gémit, les mains dans les cheveux de ma puce, appréciant ses baisers. À l'entrée de la pièce, le jeune qui, tout à l'heure s'occupait de Véro, admire lui aussi le spectacle qui, à voir son érection, ne le laisse pas insensible. Il s'approche et caresse le dos d'Anne, descendant rapidement sur les fesses. Ma chérie ne refuse pas ses caresses, bien au contraire, et tend le cul au devant de sa main. Il s'allonge alors sur le dos et, sans autre forme de procès, attire Anne qui se retrouve ainsi empalée, sans lâcher le sexe d'ébène. Il tente de la limer mais la position n'est pas des plus confortables, ne bougeant bouger comme il le voudrait. C'est l'autre homme qui, s'allongeant à son tour et attirant le visage de ma chérie contre lui, permet à celle-ci de se mettre en levrette et de recevoir le sexe de jeune qui ainsi la ramone plus vigoureusement. Devant cette scène, mon excitation est au summum et mon érection me fait presque mal. Le noir, tournant le visage vers moi me fait signe d'approcher. Sa main saisit ma verge et il me masturbe très doucement. Puis, me faisant le chevaucher, il referme les lèvres sur ma queue et entreprend une superbe fellation. Se faire sucer par l'homme que ma femme suce en même temps, voilà une situation que je n'avais jamais osé imaginer ! Sous les coups de boutoir de son jeune amant, Anne ne tarde guère à atteindre le paradis et, lâchant le sexe, elle laisse libre court à son plaisir, criant longuement. Il poursuit un peu ses va et vient et décide de changer d'orifice. Il pointe son gland contre l'anneau et s'enfonce dans les entrailles d'Anne sans hésiter, encouragé par un long "hum". Le noir me lâche alors et se glisse sous elle. Le jeune a cessé ses mouvements et attend qu'il prenne possession de la chatte d'Anne. Il y va lentement, je vois sur le visage de ma chérie les efforts qu'elle fait pour l'accueillir mais également le plaisir qu'elle prend à se sentir ainsi emplie. Ça y est, il est au fond d'elle et, doucement, entame de lents va et vient. Le jeune n'attendait que cela et les deux hommes ne tardent pas à trouver la bonne cadence, faisant très vite grimper Anne aux sommets du plaisir. J'ai l'impression qu'elle jouit sans arrêt tant ses cris résonnent dans la pièce. Enfin, le jeune homme, après de longues minutes, sort de ses fesses et lui zèbre le dos de puissants jets. Il se relève et le noir, faisant se redresser Anne, la fait monter et descendre sur son pieu à un rythme infernal. Ce ne sont plus des cris mais de véritables hurlements que pousse désormais ma chérie. Après un long moment, son amant se retire et éjacule longuement sur leurs deux ventres. Anne s'affale contre son tors et ils restent un bon bout de temps ainsi enlacés, savourant le plaisir intense qu'ils viennent de connaître.


- Je viens de passer un super moment !

- Et moi de jouir comme jamais… tu as une queue superbe et… tu t'en sers très bien…

- Merci… au fait je m'appelle Jean.

- Moi Anne et moi mari Marc.

- Enchanté. Approche-toi ! Je me dois de finir ce que j'ai commencé…


Il me fait m'allonger et reprend mon sexe en bouche. Ses caresses et baisers sont toujours aussi savoureux et il me procure de très agréables sensations. Anne nous regarde, caressant le dos et les fesses de mon suceur qui, par sa position, m'offre une vue sur son sexe que je vois lentement regrossir. Soudain, il se raidit et je devine que ma petite coquine de femme vient de lui enfoncer un doigt dans le cul. Sa queue tressaute en prenant un peu plus d'ampleur.


- Tu veux que mon mari me remplace ?


Il ne répond rien mais lâche mon membre et me chevauche. C'est Anne qui, tenant mon sexe, le guide à l'entrée de son anus. Il descend, lentement, s'empalant sur moi. Son cul est délicieusement serré même si je me doute qu'il n'est pas vierge. Bientôt je suis entièrement en lui et, prenant appui sur mon torse, il imprime le rythme de cette sodomie, allant et venant parfois lentement, parfois très rapidement.

Anne nous embrasse à tour de rôle, tout en nous caressant la poitrine. Jean décide de changer de position et se met à quatre pattes. Je le réinvestit et, à sa demande, l'encule vigoureusement, ahanant à chaque coup de reins. Sentant mon plaisir imminent, je sors de ses fesses et me répands sur son dos. Anne se précipite et lèche mon sperme, le nettoyant consciencieusement.

Une pause est la bienvenue. Jean nous propose de découvrir le jacuzzi et nous le suivons.


C'est un vrai bonheur que ce bain ô combien bienfaisant. Nous restons longtemps, les bras sur le bord du bassin, savourant la caresse des bulles, la fraîcheur de l'eau, laissant nos corps se détendre.


Il est près de six heures lorsque nous arrivons chez nous, fourbus mais particulièrement heureux. Nos vingt ans de mariage ont été fêtés comme il se doit et j'ai l'impression que cette nuit marque le début d'une nouvelle relation.

FIN
Ecrire un commentaire
Voir les 2 commentaires

Jeudi 15 février 4 15 /02 /Fév 08:20
Encore et toujours plus de plaisir lors de cette mémorable soirée...

Je jette un œil vers Anne qui me paraît bien excitée de me voir ainsi embroché ! Sa main va et vient sur sa fente tandis qu'elle se fait peloter par Martine.

Doucement, Karl ressort, presque complètement, puis me réinvestit. Je ne peux étouffer un râle de plaisir en le sentant à nouveau s'enfoncer et, rassuré, il se met à aller et venir un peu plus vite.

Karl ne met guère de temps à jouir. Sortant de mon cul ses giclées m'arrosent le ventre, atteignant même mon menton.


Anne vient vers moi, m'embrasse très tendrement et me demande :


- C'était bon ? Tu as aimé ?

- Oui… ça fait bizarre, surtout au début, mais c'est plus qu'agréable…

- Je vois, dit-elle en baissant les yeux vers mon sexe à nouveau en érection.


Martine et elle éclatent de rire, vite suivies par Karl et moi. Nous nous rhabillons et quittons ce charmant endroit. Au lieu de prendre la direction de la salle, Martine file vers la gauche. Nous la suivons et découvrons une pièce beaucoup plus grande, où le sol n'est qu'un immense matelas. Plusieurs couples s'y ébattent, à deux, trois ou quatre. Notre amie ôte ses vêtements et, sans hésiter, rejoint le trio le plus proche de nous : deux hommes, plutôt jeunes, et une femme assez forte, paraissant au moins cinquante ans, et qui subit les assauts de l'un en suçant l'autre. Karl regarde sa femme s'emparer des seins de la femme et les peloter assez rudement.


- C'est une amie. Elle adore se faire un peu maltraiter… surtout par Martine pour qui elle a un petit faible.


Il se met nu puis entreprend de dévêtir Anne. Celle-ci se laisse faire et, lorsqu'il lui prend la main, le suit sans l'ombre d'une hésitation. Je me mets à mon tour dans le plus simple appareil et, sur un signe de Karl, les rejoins. Anne, allongée sur le dos, jambes écartées, yeux fermés, reçoit l'hommage de nos mains et de nos lèvres. Pas une partie de son corps qui ne soit embrassée ou caressée ! Ses gémissements nous prouvent, s'il en était besoin, le plaisir que nous lui donnons. Son corps est parfois comme parcouru par des décharges électriques.

Un autre homme se joint à nous après être resté spectateur. Nous amenons ma femme à l'orgasme rapidement ; elle jouit bruyamment, deux doigts lui fouillant le vagin, deux son derrière, une bouche sur chaque sein et un doigt titillant son bouton. Karl, décidément en forme, ne lui laisse pas le temps de redescendre de son orgasme et s'enfonce en elle d'un puissant coup de rein. Quelques va et vient lui suffisent pour la faire à nouveau grimper aux rideaux. L'homme qui nous a rejoint en profite et pose son sexe sur sa bouche. Tout naturellement, elle le gobe et le suce tandis qu'il lui caresse les seins. Je la regarde subir les assauts de ses deux amants puis, tournant la tête, je vois non loin de nous un couple qui regarde, un peu éberlué, ce qui se passe dans la pièce. Visiblement, ils sont néophytes et n'osent guère entrer dans la danse. Je les rejoins et pose une main sur la cuisse de madame. Elle se retourne et me sourit timidement mais ne fait aucun geste de recul. J'en profite donc et mes doigts caressent sa jambe, remontant lentement mais sûrement mais cet endroit magique où elles se joignent. Son mari regarde ma main progresser et je constate que plus elle remonte plus son sexe se redresse. J'atteins l'intimité, déjà mouillée.


- Allongez-vous !


Elle m'obéit et écarte les jambes, offerte. Je plonge alors vers sa fourche et embrasse sa fente, lui donnant des frissons. Mes mains remontent vers sa poitrine que je masse lentement, sentant sous mes doigts les bourgeons grossir et s'allonger.

Son compagnon l'embrasse tendrement, comme pour la rassurer par sa présence. Je la vois qui le caresse lentement. Sous mes baisers et mes caresses, elle ne tarde pas à se tordre de plaisir et j'ai le plus grand mal à poursuivre mon cunnilingus. Je la saisis par les fesses et la maintiens plaquée contre moi. Soudain, son ventre se tend, ses mains agrippent mes cheveux et je reçois une véritable éjaculation sur le visage. Une femme fontaine ! Moi qui croyais que cette appellation était exagérée ! J'ai l'impression qu'elle me pisse littéralement dessus ! Enfin, la source se tarit. Gentiment, mais fermement, elle me repousse. Son mari, sitôt que je suis relevé, s'installe sur elle et la pénètre. Elle me sourit et sa main, un peu hésitante, prend ma verge et me caresse.


- Merci… c'était très bon… vous désirez… enfin… je veux dire… vous voulez que je vous suce ?

- Uniquement si vous en avez envie…

- Approchez !

 

Je me mets contre elle et, d'abord du bout de la langue puis plus franchement, elle m'embrasse le gland. Je lui caresse la poitrine, doucement. Elle ouvre alors la bouche et me fait coulisser entre ses lèvres. Tout près, après quelques va et vient, son ami jouit, lui maculant le ventre. Elle semble ne même pas s'en apercevoir, concentrée sur sa fellation. Timide peut-être mais extrêmement douée ! Plus les minutes passent, plus elle s'enhardit, me prenant totalement, massant mes couilles, ressortant parfois en ne gardant que mon gland entre ses lèvres pour le lécher en abondance. Heureusement que j'ai déjà joui plusieurs fois, ce qui permet de tenir ! Elle me lâche soudain et, d'une petite voix, me demande :


- J'ai envie de te sentir en moi… tu veux bien me prendre ?


Comment refuser une telle offre ? Elle s'installe à quatre pattes, les reins cambrés. Je me mets derrière elle et, d'un coup de rein, investis sa grotte, accueilli par un 'ah' de plaisir. Je prends mon temps, la limant profondément. Mes mains écartent ses fesses, dévoilant son petit trou. J'ose y aventurer un doigt curieux mais la sens se raidir. Je n'insiste pas et poursuis dans sa chatte. Très vite, elle crie une nouvelle fois. Je ne m'arrête pas et retente une incursion vers sa petite entrée. Pas de réaction cette fois. Je mouille mon index et pèse sur l'œillet. Doucement, il franchit l'étroit passage sans que ma partenaire ne m'arrête. Je le fais aller et venir au même rythme que ma queue dans son vagin et par moments, c'est elle-même qui tend son cul, m'invitant à entrer plus loin. Je tente un second doigt et un gémissement un peu plus fort me rassure.


- Viens mais doucement, parvient-elle à murmurer.


Je quitte son chaton et pose mon gland contre son petit trou. Je pousse un peu et force le passage.


- Détends-toi !


J'écarte franchement ses fesses et regarde mon pieu écarteler son trou, vision ô combien excitante !

Peu à peu, je m'enfonce dans le fourreau serré, encouragé par ma partenaire qui, tout en me demandant d'aller doucement, tend les fesses au devant de ma queue. Enfin, je suis entièrement en elle.


- Ça y est ! Ça va ?

- Hum… oui… ça fait bizarre… reste un peu comme ça… sans bouger…

 

Immobile, j'attends qu'elle s'habitue à ma présence. J'en profite pour jeter un œil vers ma chérie. Elle chevauche Karl tout en suçant son nouveau partenaire. Visiblement, mon absence ne la trouble guère.

Je ressors lentement, ne laissant que le gland puis la réinvestit. Cette fois, elle apprécie et écarte elle-même ses fesses, comme pour mieux me sentir.


- Oh… oui… vas-y… c'est bon…


Mes coups de reins se font plus puissants, plus rapides et ses gémissements vont crescendo. Je sens une de ses mains me caresser les bourses et lui dit de se masturber. Ma sodomie semble maintenant la combler et elle ne cesse de gémir, criant même parfois. Son compagnon nous regarde, souriant, visiblement heureux de voir sa femme prendre ainsi son pied. Subitement, elle pousse un long cri et je sens ses muscles serrer un peu plus fort ma queue.


- Ah… oui… je jouis… c'est… ahhhhhhhh.


Son orgasme déclenche mon éjaculation et, sortant de son cul, je lui arrose le dos. Épuisée, elle s'affale sur le ventre, cherchant à reprendre son souffle. Après quelques minutes, elle se retourne et me sourit :


- C'était la première fois…

- J'avais deviné… tu as aimé…

- Oui… tu as été très doux… merci. Je ne voulais pas trop venir ici mais je ne le regrette pas du tout…

- Je suis très heureux de t'avoir rencontrée… Je m'appelle Marc

- Moi Véro. C'est ta femme ?

- Oui.

- J'aimerais bien …

- Vas-y ! Je suis certain que tu vas lui plaire.


Elle se lève, rejoint le trio et reste un peu immobile, regardant le trio. Puis, un peu timidement, elle avance une main vers la poitrine et empaume un sein. Anne la regarde et, sans hésiter, lâche le membre qu'elle suce et l'attire contre elle pour lui rouler une pelle. Ma chérie semble prendre goût aux plaisirs de Lesbos !

Celui qu'elle vient d'abandonner caresse alors le dos de la nouvelle venue, descend lui flatter les fesses et je devine qu'il lui enfonce un doigt dans le cul. Cette fois, elle ne se crispe pas et se cambre, s'offrant au doigt inquisiteur. C'est le moment que choisit Karl pour jouir. Il soulève un peu Anne et ses jets s'écrasent sur son ventre. Ma chérie en profite alors pour s'allonger et attirer sa nouvelle amie sur elle en 69.

Le troisième larron ne désarme pas, bien au contraire, et, profitant de sa position, enfile son mandrin dans le cul de Véro qui subit, en moins de dix minutes sa seconde sodomie, se faisant vigoureusement ramonée.

Karl me rejoint dans mon rôle de voyeur pendant quelques instants puis jette un œil sur la salle pour y trouver la trace de sa femme.

Martine est joyeusement en train de se faire prendre par deux hommes, chevauchant l'un, se faisant enculer par le second.

Tout près, ma récente partenaire, sous les baisers d'Anne et les coups de reins de l'homme, crie à nouveau. À mon avis, elle ne regrette absolument plus sa venue !

L'homme sort de ses reins et lui fourre sa queue dans la bouche. Sans hésitation, elle l'avale et, rapidement, il lui jouit sur le visage et les cheveux. Elle peut alors se concentrer sur la chatte de ma chérie qu'elle lèche avec un plaisir non dissimulé. Anne apprécie ses baisers et, les jambes totalement écartées, s'offre sans retenue. Leur partenaire les abandonne et quitte la pièce, nous adressant un grand sourire en passant près de nous, satisfait du plaisir obtenu.

Véro ne tarde guère à emmener Anne au septième ciel. Dans un cri rauque, ma chérie jouit et l'abreuve de son jus qu'elle déguste à grands coups de langue.


 

À vos commentaires !!!

Ecrire un commentaire
Voir les 2 commentaires

Flux

  • Flux RSS des articles

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés