Mardi 26 février 2 26 /02 /Fév 11:30
Nouvelle histoire, qui commence assez calmement...

"Quelle adorable garce ! "

Je ne peux m'empêcher, en la regardant, de m'imaginer qu'elle le fait exprès ; qu'elle se comporte ainsi dans le seul but de m'exciter. Pourtant, rien n'indique qu'elle s'est rendu compte de ma présence. La haie qui sépare nos deux jardins est suffisamment épaisse pour que je puisse la mater sans être débusqué ; le trou qui me sert de "poste de guet" se situe dans un angle au fond de leur jardin. Elle est donc là, intégralement nue, allongée sur un drap de bain, le corps offert aux rayons du soleil et, surtout, à mes yeux.


La trentaine, cheveux clairs coupés court, un corps  entretenu par le sport ; je sais qu'elle fréquente régulièrement la piscine ; une poitrine, ni trop petite, ni trop grosse, de longues jambes musclées. Bref, un bien joli brin de femme dont il ne me déplairait de faire la connaissance plus intimement. Il est toujours permis de rêver, non ?

Cela fait trois jours qu'elle passe ainsi une heure à se faire bronzer. Trois jours qu'elle me permet de l'admirer en cachette, presque honteux de l'espionner ainsi. Aujourd'hui, sa position,  les pieds tournés vers mon jardin, m'offre une vue des plus agréables sur son ventre et son bas-ventre. Vision qui a immédiatement provoqué une érection presque douloureuse. Cela ne s'arrange pas quand elle replie les jambes et les écarte sensiblement, me proposant ainsi l'intégralité de son intimité. J'en reste baba ! Dans mon short, c'est l'affolement ! Je ne sais pas ce qui me retient de me passer à travers les branches pour me jeter sur elle. Et elle ne s'arrête pas en si bon chemin ; la voici qui pose une main sur son Mont de Vénus et le caresse doucement, presque négligemment. Cette fois, c'est sûr, je vais mourir d'une crise cardiaque !


Une voix  masculine vient, presque opportunément, rompre ces instants aussi magiques que douloureux. Son mari, ce veinard, vient de rentrer et la rejoint. Un baiser sur les lèvres et, à son tour, il se met dans le plus simple appareil et s'installe tout contre elle. Tout naturellement, sa main remplace celle de sa femme et court de la base de la poitrine à celle du renflement pubien. Ce n'est pas vrai ? Ils ne vont tout de même pas...

Je n'ai pas le temps de réfléchir plus que la coquine referme les doigts autour de la hampe de son chéri et entreprend une lente masturbation. Ah, les salauds ! si ça continue, je vais lâcher ma purée dans mon short, sans me toucher, comme le dernier des collégiens boutonneux !!


Après l'image, le son. Les soupirs de la belle, à peine étouffés, parviennent à mes oreilles comme une douce musique. Puis viennent les paroles :


  • - C'est bon mon chéri... j'adore ce que tu me fais.

Ainsi encouragé, le chéri se penche et pose les lèvres sur le sexe de sa femme. Les jambes s'écartent un peu plus, les gémissements se font plus sonores.


  • - Oh oui ! Ta langue... j'aime... c'est délicieux...

Il abandonne la fente et remonte sur le ventre puis la poitrine dont il s'empare des tétons déjà durcis. Sa langue titille un bourgeon, s'attarde sur l'aréole puis passe à l'autre sein, lui ofrre les mêmes caresses amoureuses. Ils échangent ensuite un long baiser puis, mon cher voisin dit à sa moitié :

  • - Tu imagines un autre homme avec nous ? Deux autres mains ? Une autre bouche ?
  • - Hum... arrête, petit saligaud... tu n'as pas honte ?
  • - Pas du tout ! je suis sûr que tu aimerais ça. Offrir ton corps à un autre devant moi... Cela pourrait être notre charmant voisin.
  • - Oh, coquin !

Sur le coup, je crois avoir mal compris ! Imagine t-il m'inviter dans leur intimité ? En plus, pourquoi parler de moi à cet instant ? Sait-il, savent-ils, que je suis là, tout près, les observant ? Je n'ose plus bouger le moindre muscle, à peine respirer. J'ai l'impression que les battements de mon cœur et ma respiration s'entendent à des kilomètres à la ronde.

  • - Et je suis certaine que de ton côté, tu ne pourrais résister à lui lécher la queue, je me trompe ?
  • - Absolument pas, ma chérie... j'ai beau aimer les femmes, ce jeune homme m'attire tout autant que toi.

Alors là,, c'est le bouquet ! Môssieu ne dédaignerait pas mes faveurs ! Mais pour qui me prend-il ? Me prennent-ils plutôt tant elle paraît accepter que son mari et moi...

Je suis interrompu dans mes pensées par Marc, puisque tel est son prénom, qui se lève et se dirige, sans hésitation aucune, vers l'endroit où je me cache. Tétanisé, je ne fais rien pour m'échapper et le regarde approcher. Malgré moi, mon regard reste rivé à son sexe tendu, lance de chair dressée, comme parée pour une joute.

  • - Alors, cher voisin  ! Notre proposition t'intéresse t-elle ? Annie m'a dit que cela fait 3 jours que tu la reluques, que tu lui donnes des envies. Je pense donc que tu apprécierais de la voir de tout près et même plus... si affinités, comme on dit.
  • - Euh...

Pour une surprise, c'est une surprise ! Non seulement, la cachottière n'ignorait rien de ma présence mais en plus, ça l'excitait ! Mon cher Franck, c'est le moment de montrer ce que tu vaux ! Et surtout l'occasion de se payer un bon moment !

  • - Le temps de fermer la maison et je vous rejoins.
  • - Parfait, viens directement au jardin... tu connais le chemin.

Je n'ai jamais été aussi rapide pour quitter la maison, juste le temps de prendre une bouteille de Champagne au passage ; obsédé sexuel peut-être mais bien élevé avant tout !


Ce début vous plait ?
Ecrire un commentaire
Voir les 4 commentaires

Jeudi 31 janvier 4 31 /01 /Jan 09:19
Fin de cette soirée... et de cette histoire.

  • - Je te propose le martinet, à moins que tu ne préfères à main nues.

  • - Hum... le martinet me semble parfait !


J'empoigne l'engin et fais courir les lanières sur le dos de Catherine, la faisant frissonner. Puis, me mettant un peu de côté, je lui en donne un premier coup, très léger mais qui la fait frémir. Un second, un peu plus appuyé puis un troisième. Je cesse alors et parcours sa fente avec le manche. Nouvelle série, cette fois d'une dizaine de coups, jamais très fort. Cette fois, ses fesses ont pris une jolie teinte rose. Je pose une main dessus et en apprécie la chaleur. J'en profite pour glisser un doigt entre ses cuisses et découvrir son sexe complètement trempé.


  • - La petite garce ! Elle aime ça ! Elle ruisselle !


Encouragé par cette réaction, je repars pour une série de dix, certains un peu plus appuyés. Le rose a viré au presque rouge et je me dis que pour une première cela suffit. Je pose donc le martinet et entreprend une nouvelle visite de sa fente. À peine ai-je effleuré son bouton que Catherine, dans un soupir rauque, jouit une nouvelle fois, à la surprise générale.


  • - Ça alors ! Je n'aurais pas cru cela possible. Prendre ainsi son pied avec une fessée. Ma petite Catherine, tu nous surprend d'heure en heure.


Comme sa femme, Yves n'en revient pas :


  • - Nous somme vraiment tombés sur une jouisseuse de grande classe. Franck, mon cher, en as-tu terminé ? J'ai terriblement envie de goûter le côté pile de cette chère Catherine.

  • - Elle est à ta disposition.


Il la libère de la croix et, l'espace d'un instant, la soutient, tant ses jambes sont flageolantes. Il l'installe sur la table, cette fois à plat ventre, après avoir glissé un coussin sous son ventre. Ma chérie, dans cette position, offre son intimité dans sa totalité. Nous restons d'ailleurs quelques minutes à admirer cette fente aux lèvres gonflées par le plaisir. Enfin, Yves pose la bouche sur son derrière et l'embrasse avec une grande délicatesse. Peu à peu, ma chérie se détend totalement et cambre, au moins autant qu'elle puisse le faire avec ses liens, allant au devant des baisers de son amant. La bouche se concentre bientôt sur la petite rondelle puis est remplacée par deux doigts.

Yves se relève alors et s'installe contre les fesses de Catherine, le gland tout contre la pastille. Il pousse un peu et, sans réelle difficulté, s'enfonce dans le cul de ma femme, sous mes yeux excités.


  • - Oh qu'elle est bonne de ce côté aussi ! Elle est toute serrée ! T'aime ma bitte dans ton cul ?

  • - Hum... oui... elle est bonne... vas-y ! encule-moi ! Ah, oui ! Comme ça !

  • - Franck, viens donc devant lui offrir ton gourdin à déguster !


Je me retrouve face à Catherine, ses yeux brillent d'une lueur inconnue, son front brille de sueur. Sans hésiter, je pousse mon gland contre ses lèvres qui s'ouvrent pour m'avaler. Sa langue parcourt ma hampe, s'attarde sur mon gland, agace mon méat. Je crois bien que c'est la première fois qu'elle me taille une pipe de façon aussi gourmande, aussi érotique. Mes mains caressent ses cheveux, son dos. Je regarde ses fesses auxquelles est fermement agrippé Yves, entre lesquelles il va et vient, maintenant sans ménagement.


Après quelques minutes, dans un dernier coup de boutoir, il se fiche au plus profond d'elle et jouit dans un long râle, se vidant longuement dans son anus.


Alors qu'il se retire, Véro, harnachée d'un gode ceinture, s'allonge sur un tapis et me demande de délivrer Catherine.


  • - Viens ma belle ! Viens sur moi ! On va finir la soirée en beauté !!


J'amène ma chérie sur Véro et, le plus naturellement du monde, elle guide le faux membre à l'entrée de sa grotte et descend, s'empalant sur la colonne. Lorsque ses fesses touchent les cuisses de Véro, celle-ci l'attire contre elle et lui roule une pelle. Tout en l'embrassant, elle empoigne ses fesses et les masse sans douceur. À la fin de leur étreinte, elle me regarde en souriant et me dit :


  • - Allez, mon cher ! Viens donc prendre possession de son petit trou ! Viens lui montrer le plaisir qu'on prend avec deux bittes en soi !


Je ne traîne pas et, m'agenouillant derrière ma chérie, m'enfonce avec délice dans son cul, bien accueillant. Catherine, ainsi prise par ses deux orifices, ne cesse plus dès lors de gémir et même crier son plaisir. Rapidement, un énième orgasme la terrasse sans pour autant faire cesser nos va et vient.


Après de longues minutes, je succombe à mon tour et jouis dans un râle, arrosant à mon tour le cul de ma chérie.

Je me relève et regarde ce couple de femmes dont l'une s'est transformée en mâle et possède la seconde de façon pour le moins efficace, à en juger par ce qu'en dit ma chérie, qui se lâche désormais, visiblement tout proche d'un nouvel orgasme.


  • - Vas-y Véro ! Oh que tu me tronches bien ! Qu'elle es bonne ta grosse bitte dans ma moule !! Oui... encore ! C'est bon !


Elle s'affale contre elle et leurs bouches se cherchent, se trouvent pour un baiser des plus enflammés, des plus voraces.

Ma chérie jouit une nouvelle fois, dans un cri, presque un hurlement. Elle reste inerte, vautrée sur sa partenaire. Les yeux fermés, la respiration courte, en nage, elle est d'une beauté saisissante.


Après quelques minutes, elle se relève enfin, a du mal à tenir sur ses jambes au point qu'elle doit s'appuyer sur la table pour ne pas retomber. Elle nous regarde tour à tour puis dit :


  • - Oh putain ! Quelle soirée !


Sa remarque déclenche un éclat de rire général. J'aide Véronique à se relever ; elle se débarrasse de son harnachement et nous retournons au salon nous rafraîchir.


Yves libère Catherine de son collier et déclare :


  • - Très chère, cette soirée de soumission est maintenant terminée. J'espère que tu a pris autant plaisir que nous...

  • - Oh ça oui !

  • - Parfait ! C'était le but recherché. Tu seras toujours la bienvenue pour revivre pareils moments. Nous allons maintenant aller nous reposer car la journée de demain risque elle aussi d'être longue, notamment pour une certaine personne ici présente qui aura l'honneur de te remplacer.


Ce disant, il referme le collier sur le cou de sa femme, nous promettant d'ores et déjà un lendemain des plus torrides !


Après une douche bienfaitrice, nous nous couchons, très sagement par couple et le sommeil s'empare très rapidement de nous.

FIN

Ecrire un commentaire
Voir les 7 commentaires

Flux

  • Flux RSS des articles

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés