Les histoires de Chris
- Mais tu ne te mets jamais en maillot de bain ? Même à la plage ?
- Non.
- Ma petite femme a honte de son corps...
- Honte, n'exagère pas ! Mais avoue que comme spectacle, il y a mieux !
- Mais tu crois que les gens passent leur temps à mater ? Crois-moi, j'en ai vu des femmes en maillot, des boudins de première, parfois même en bikini, voire à poil ! Eh bien, personne ne paraît choqué... en plus, permets-moi de te le dire : tu es vraiment très loin, mais alors très très loin d'être moche !
- Je te remercie.
La conversation s'arrête là. Léa n'a visiblement guère envie de s'attarder sur le sujet et, la connaissant, je sens qu'il n'en faudrait pas plus pour qu'elle s'énerve.
Nous continuons à déguster notre coupe de champagne, sagement installés dans le canapé de Marc, notre meilleur ami, qui, ce soir, nous reçoit à dîner pour fêter sa promotion. Le repas s'est déroulé comme d'habitude dans une excellente ambiance et je n'ai pas du tout envie que cela dégénère. C'est pourquoi, d'un léger clignement de paupières, je fais signe à notre hôte de ne pas insister.
Celui-ci, pourtant, ne semble pas vouloir tenir compte de mon avertissement :
- Moi, j'adorerais te voir en petite tenue...
Sa remarque ne rencontre aucun écho. Léa lui jette un regard quelque peu surpris et je crains fort, à ce moment, que notre soirée parvienne à son terme plus tôt que prévu !
S'il est vrai qu'entre nous, les conversations sont toujours très libres, les blagues coquines courantes, c'est la première fois qu'il ose une remarque aussi directe.
- Ben, tiens donc ! Rien que ça !
- Euh... pas que ça non... mais ce serait déjà pas mal...
- Tu l'entends Pat ? Tu en penses quoi ?
- J'en pense que Marc est plutôt culotté... de souhaiter te voir déculottée...
- Comme tu dis...
Un silence suit cet échange. Visiblement, et contrairement à ce que je craignais, Léa ne montre pas de réel signe de colère.
Je sais qu'elle trouve notre ami beau gosse et elle est sans doute plus flattée que fâchée de sa remarque. Je me demande pourtant comment va se poursuivre cette soirée et si Marc n'est pas allé trop loin. D'autant que ce dernier en remet une couche :
- Tu te mettrais en maillot pour moi ?
- Quelle question ! ... je n'en sais rien...
Ma chérie semble quelque peu troublée. Il s'en rend compte et insiste :
- Avoue que se montrer en maillot n'a jamais tué personne !
- Oui, bien sûr ! Mais enfin là, tu me proposes rien de moins que me dévoiler pour toi... m'exhiber quoi... ce qui n'est pas pareil que me mettre en maillot à la plage...
- C'est vrai... je te l'accorde... mais que crains-tu ? Patrice est là... je ne vais pas te violer...
- Il ne manquerait plus que ça !
Tiens, tiens... Marc a, volontairement j'en suis persuadé, abandonné le conditionnel pour le présent sans que Léa n'y trouve à redire. Et sans qu'elle ne s'oppose plus vivement à cette invitation.
- Tu sembles oublier une chose, mon cher ami... je n'ai pas ce genre de vêtement avec moi aujourd'hui...
- Maillot ou simple slip, la différence n'est pas énorme...
- Ben voyons ! D'abord en maillot de bain, maintenant en slip... la prochaine étape, c'est quoi ? À poil ????
Nouveau silence. L'ambiance est devenue plus lourde. J'ai l'impression que cette soirée, jusque là très amicale, pourrait devenir plus...
Comme paraît-il pas mal de maris, il m'est arrivé d'imaginer ma chérie avec un autre homme. Mais jamais nous n'en avons parlé et si Léa n'était plus vierge quand nous nous sommes rencontrés, j'ignore si elle partage ce genre de fantasme.
- Tu te lèves, tu baisses ton pantalon et tu nous montres tes fesses... ça ne t'engage tout de même pas à grand-chose...
Cette fois, les dés sont jetés !
- Alors ? Tu es chiche ?
Léa tourne la tête vers moi.
- Tu ne dis rien toi ?
- Que veux-tu que je dise ! Tu fais comme tu le sens ! Tu sais que je ne suis pas jaloux...
- Si c'est comme ça...
Elle hésite encore quelques courtes secondes puis se lève et se met au milieu du salon, dos à nous. Lentement, elle baisse son pantalon, dévoilant son slip.
- Superbe ! Descend-le encore un peu que je puisse admirer tes cuisses !
- T'es jamais content...
Malgré tout, elle baisse un peu plus le vêtement puis se décide à le lâcher.
- Comme disait Marielle : Ah nom de Dieu, quel cul ! !! Léa, tu as un derrière superbe !!
- Trop aimable !
- Approche-toi un peu !
Léa recule un peu. Les yeux rivés sur le postérieur de ma chérie, il lui demande en souriant :
- Tu vois ce n'est pas si compliqué que cela... ça te fait quoi d'être ainsi en slip devant moi ?
- En fait, pas grand-chose... je ne suis tout de même pas à poil...
- C'est vrai... dommage...
Il tend une main et effleure le haut d'une cuisse. Léa a un léger sursaut mais ne fait rien pour s'esquiver. Les doigts courent sur la jambe, du genou au pli des fesses, lui donnant la chair de poule.
Une seconde main se pose sur l'autre jambe. La respiration de Léa se fait un peu plus courte, un peu plus rapide, seul signe de son trouble. Je remarque pourtant que lorsque la main de notre ami tente de s'insinuer entre les jambes, celles-ci, presque imperceptiblement, s'écartent, juste assez pour ne pas le décourager, insuffisamment pour offrir l'accès à plus de privautés.
Cela dure quelques minutes, dans un silence total, donnant à la scène un côté particulièrement sensuel.
- C'est agréable ?
- ... oui...
- écarte un peu plus les jambes !
Léa obéit, lui offrant l'accès à son entrecuisse. Accès dont Marc profite aussitôt, envoyant une main flatter la fente ainsi livrée. Léa ne peut contenir un léger soupir et ouvre un peu plus le compas de ses jambes.
- J'ai envie d'admirer ton cul... nu...
Oui continue ne nous laisse pas comme ça!!!!!
Bisous doux
Merci pour votre visite et votre message... ;-))))
Il n'y a pas de problème "pour le lien" votre site est sympa...
On va Y passé plus de temps
A bientôt.
R & M
Gros bisous et passer sur mon blog merci!!!!!
bisous
lucie
Voilà, je viens de faire un peut d'administration sur notre blog.
Et j'ai mis ton blog en lien...
A bientôt pour de nouvelles aventures.
Bises
Rico
très belle histoire, pleine d'émotions
Un moment, j'ai senti mon coeur palpité, repensant au jour de notre 1ère expérience dans la pluralité masculine
Continue, nous adorons
Je met un lien vers ton blog et encore bravo