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- "Tu l'as vu quand la dernière fois ?
- Ce midi…
- Vous avez baisé ?
- Oui.
- Raconte-moi !
- Non… s'il te plait…
- Tu choisis : ou tu me racontes ou j'appelle chez lui et je raconte à sa femme vos petites séances…"
Vaincue, elle lui narre alors dans le détail les deux heures passées à l'hôtel avec son amant. Il apprend ainsi que Bernard, sous son attitude relativement timide, est, dans ces moments intimes, plutôt dominateur. Depuis le début de leur relation, il lui a appris à avaler sa semence puis, petit à petit, l'a amené à accepter la sodomie. Bref, il a réussi à en faire une parfaite maîtresse ne refusant plus aucune fantaisie amoureuse.
Jacques pense alors que sous ses refus, sa femme a du longtemps secrètement espérer qu'il insiste et l'amène ainsi à connaître les multiples facettes d'une sexualité qu'elle semble découvrir aujourd'hui. Si ce constat lui fait un peu mal, il se dit néanmoins qu'il n'a peut-être pas encore tout à fait perdu sa femme. Décidé à être fixé, il lui demande alors :
- "Tu veux qu'on se sépare ?
- Pas du tout ! Je t'aime ! Bernard, c'est juste… sexuel…
- Tu dis que tu m'aimes et tu te fais troncher par d'autres, drôle de façon d'aimer…
- Pas par d'autres ! Il n'y a eu que lui… je te le jure ! Et je te promets de ne plus jamais recommencer…
- Voyez-vous cela ! Et si moi, je ne veux plus de toi…
- S'il te plait… pardonne-moi… je t'aime… je ferais tout ce que tu voudras !
- Vraiment tout ?
- Oui… je te le promets.
- Débarrasse-toi de ces lambeaux et suis-moi !"
Il entre dans le bureau, installe une seconde chaise devant l'ordinateur et la fait s'y asseoir :
- "Puisque tu aimes tant te dévoiler, voyons ce que pensent de toi les internautes…
- Que vas-tu faire ?
- C'est simple, je vais me connecter sur un chat et t'exhiber devant la caméra."
Tout en lui répondant, il règle la webcam et vérifie la qualité de l'image. Sur l'écran, elle regarde l'image de sa poitrine et de sa toison, son sexe est lui encore caché par ses jambes croisées.
- "Écarte les cuisses qu'on voit bien ta chatte !"
Docile, elle obéit, livrant son intimité à l'œil de la caméra. Satisfait, Jacques lance une connexion Internet puis se branche sur un salon où il sait qu'il trouvera des hommes ou des couples heureux de profiter de l'aubaine.
Les premiers messages ne tardent pas à arriver et rapidement, un homme lui demande une visioconférence que Jacques accepte. Il regarde sa femme qui a lu les messages échangés et sait que dans quelques secondes, elle dévoilera son corps à cet inconnu. Ils voient apparaître dans une fenêtre un torse. A première vue, l'homme semble jeune et sa voix parvient des haut-parleurs :
- "Bonsoir ! Je suis ravi… madame est très mignonne…
- Merci pour elle… tu n'as pas l'air mal non plus…
- J'aimerais voir ses fesses, c'est possible ?
- Tu as entendu ma chérie ?"
Véronique se lève et fait un demi-tour, offrant son postérieur aux yeux curieux.
- "Superbe ! Elle peut écarter les jambes et montrer son petit trou du cul ?"
Sans que Jacques le lui dise, elle se baisse et écarte ses fesses. Son anus est nettement visible, pour la plus grande satisfaction de l'homme.
- "Parfait ! Je suis sûr qu'elle mouille, tu peux vérifier ?
- Avec plaisir !"
Elle se rassied et, écartant à nouveau les jambes, permet à son mari d'introduire un doigt dans sa fente. Il le fait aller et venir deux ou trois fois et le ressort bien humide. Il le porte à sa bouche et s'en régale avant de dire à son interlocuteur :
- "Tu as raison. Elle est trempée… et délicieuse !
- Hum… veinard… regardez l'effet qu'elle me fait !"
Il se lève un peu et ôte son unique vêtement, dévoilant un sexe tendu aux dimensions plus qu'honorables. Il se caresse quelques secondes puis demande :
- "Elle lui plaît ?
- Vas-y ! Réponds !
- Euh… oui…
- Tu aimerais la caresser ?
- Oui…
- J'aime ta voix… décris-moi ce que tu aimerais me faire !
- …
- Allez ! N'aie pas peur !
- Euh… j'aimerais la caresser comme vous le faites en ce moment…
- Tu peux dire 'tu'. Après ?
- Je ne sais pas… la goûter peut-être…
- Oh oui… j'adorerais que tu me suces… tu aimes les pipes ?
- Oui.
- C'est bien. Ensuite, je te la mettrai bien à fond dans ta chatte. Tu aimes te faire baiser profond, pas vrai ?
- Si !
- Je bande encore plus en t'écoutant. Toi aussi branle-toi !"
Lentement, Véronique descend une main vers son intimité et se caresse doucement, prenant bien soin de montrer ses gestes à l'écran. Jacques zoome un peu puis, passant derrière elle, s'empare de ses seins. L'homme les félicite pour le spectacle qu'ils lui offrent avant de regretter de ne pas pouvoir participer en réel.
- "Tu habites où ?
- À 5 km de X.
- C'est vrai ? Nous sommes à Y. pas très loin de chez toi.
- Ça alors ! Vous m'invitez ?"
Jacques se retourne vers sa femme. Celle-ci, entendant leur dialogue a cessé ses caresses, comme si elle aussi attendait la réponse de son mari.
- "Rendez-vous dans 1/4 d'heure devant la mairie, ça te va ?
- Et comment. Je coupe, je vais me préparer. A tout à l'heure."
Le silence retombe. D'autres hommes envoient des messages mais Jacques se déconnecte.
- "Tu mets ton imper et tu m'accompagnes !
- Tu veux vraiment que…
- Que quoi ?
- Qu'il vienne ici ?"
Jacques ne répond pas et plonge la main vers la fourche. Il caresse un peu la fente puis enfonce un doigt dans la grotte qu'il trouve littéralement trempée. Il le ressort et demande :
- "Ose dire que tu n'es pas excitée ?
- Mais s'il veut me…
- S'il veut te baiser ?
- Oui…
- Il fera ce que je voudrais bien qu'il fasse et tu n'as aucun intérêt à désobéir.
- Tu ne seras pas jaloux ? Même s'il me donne du plaisir ?
- On verra bien !"
Ils sortent et se dirigent vers le rendez-vous. Véronique, comme le lui a demandé son mari, n'est simplement vêtue que d'un imper et elle sent l'air frais caresser son corps.
Ils attendent à peine quelques minutes avant qu'une voiture ne vienne vers eux au ralenti. Arrivé à leur hauteur, la vitre se baisse et l'homme demande :
- "Tu es Jacques ?
- Et toi Marc ?
- Oui.
- On va chez nous. Tu peux laisser ta voiture ici."
- Vive la RTT !
Jacques est heureux de disposer de cette journée. Les enfants sont pour la semaine chez leurs grands-parents, Véronique, son épouse, au travail et il compte bien profiter de ce temps libre pour faire un peu de ménage dans l'ordinateur. Depuis longtemps, le disque dur est la proie d'installations de logiciels aussi inutiles qu'encombrants et il est plus que temps de faire un peu de place. D'autant plus qu'il compte bien installer un nouveau système d'exploitation et que les mégaoctets risquent de devenir très cher.
Cela fait une heure qu'il sauvegarde les données essentielles et le boulot est loin d'être terminé. Il s'attaque à un nouveau dossier et doit, pour certains fichiers, jeter un œil afin de juger de leur importance. Il vient d'en ouvrir un et commence à le lire lorsque son sang se glace.
À l'écran, le récit d'une journée qui sertait banale si, à mesure que les lignes défilent, il n'en découvrait la teneur hautement érotique. Les enfants, de 6 et 9 ans étant bien incapables, fort heureusement, d'une telle prose, il ne peut s'agir que de l'œuvre de son épouse. S'il existait encore un doute, la description de la maison et surtout de la principale protagoniste, ressemblant trait pour trait à Véronique, le lui ôte sans hésitation.
Le texte évoque une relation, qui semble durer depuis déjà quelques temps, entre celle qui semble bien être sa femme et un homme dont il pourrait s'agir de Bernard, leur voisin et ami, lui aussi marié.
La description des scènes n'omet aucun détail, ni sur la physique des deux acteurs ni sur le déroulement de leurs ébats.
Il découvre avec effarement les fellations, sodomies et doubles pénétrations avec accessoires auxquelles se livre celle qui se décrit elle-même comme une garce. Pratiques auxquelles sa femme refuse absolument de se livrer.
À la fin de cette lecture, Jacques est complètement désorienté. Il n'a guère de doute sur l'identité des deux personnes et se demande maintenant si ce texte est le récit de fantasmes ou celui d'une relation réelle.
Mariés depuis 15 ans, Véronique et lui semblent incarner le couple idéal : belle situation, maison agréable, deux enfants charmants et une vie sociale épanouie. L'intimité du couple est quelque peu différente. Après les premières années d'amour passionné, leur relation s'est un peu muée en en amitié amoureuse. Il ne font plus guère l'amour qu'une fois par mois, parfois moins, et sans aucune fantaisie. Il a bien tenté de lui faire évoquer ses envies, ses fantasmes, d'essayer des positions moins académiques mais, chaque fois, Véronique s'est dérobée.
Amoureux d'elle comme au premier jour, Jacques vit assez mal cette situation. Malgré tout, il ne l'a jamais trompée, bien que l'occasion s'est parfois présentée, et espère toujours qu'un changement intervienne.
Seul devant l'écran, il ne sait vraiment pas quoi faire : doit-il imprimer ce texte et le montrer à sa femme ce soir ? Doit-il au contraire faire celui qui n'a rien vu ? Dans son esprit, les pensées se télescopent.
Le problème du nettoyage du disque dur lui paraît maintenant à des années lumière. Il relit une nouvelle fois le récit et sent peu à peu l'excitation le gagner, bien malgré lui. Il se surprend à fermer les yeux et à imaginer sa femme, totalement offerte et heureuse, subissant les assauts de son amant et une érection déforme bientôt son pantalon. Comme nombre d'hommes, parmi ses fantasmes figure celui du triolisme. Fantasme qu'il a tenté, il y a quelques années, de faire partager à son épouse, sans y réussir. Et aujourd'hui, c'est elle qui s'offre à un autre homme et qui, en plus, en garde le souvenir en racontant ses péripéties. Jacques se demande si elle n'a pas fait exprès de trancrire son histoire dans le seul but qu'il la découvre. Elle sait que l'ordinateur est son jouet favori et qu'il n'a aucun secret pour lui. Elle a donc bien du se douter qu'il découvrirait ce fichier un jour ou l'autre. Il prend la décision d'en parler à sa femme dès ce soir.
Lorsqu'elle rentre du bureau, elle arbore un sourire radieux. Jacques se demande s'il lui est destiné ou si elle a vu son amant. Il se force à ne rien laisser paraître de son trouble, bien qu'une foule de questions lui brûle les lèvres, et lui demande juste si sa journée s'est bien passée.
Le repas terminé, ils s'installent tous les deux dans le canapé. Véronique a troqué ses vêtements de ville contre un vieux tee-shirt sous lequel il sait qu'elle ne porte qu'un slip. Bien que le film soit intéressant, Jacques a le plus grand mal à le suivre. Il jette de temps en temps un œil vers sa femme, admirant comme toujours le galbe de ses cuisses et sa poitrine, dont les bouts pointent sous le tissu. Se remémorant certains passages du récit, il lui semble la voir, les jambes écartées, son intimité offerte, prête à s'abandonner aux caresses de son rival. Il sent une érection déformer son caleçon et tente vainement de penser à autre chose. Le film lui semble interminable mais enfin, le mot "Fin" apparaît. Sa femme se tourne vers lui et lui demande ce qu'il a fait aujourd'hui.
- "Comme prévu, j'ai préparé l'ordinateur à la prochaine mise à jour. J'ai fait le tour des fichiers et sauvegardé ceux qui le méritaient."
S'il s'attendait à ce que sa réponse trouble sa femme, il en est pour ses frais. Elle répond juste :
- "Tu as bien fait ! J'espère juste que tu n'as pas effacé par mégarde certains fichiers importants.
- Non, rassure-toi ! Ceux pour lesquels j'avais un doute, je les ai regardés avant de les virer."
Cette fois, il lui semble distinguer une légère lueur d'inquiétude dans son regard. Elle ne peut pourtant pas ignorer qu'il agirait de la sorte.
- "Ça m'a d'ailleurs permis de faire quelques découvertes…
- Ah bon ! Lesquelles ?"
Il se lève et va dans le bureau chercher les feuilles qu'il a imprimées. Revenant s'asseoir, il les lui tend. Elle les parcourt d'un œil rapide et cette fois, ses joues rosissent et elle a le plus grand mal à contrôler le tremblement de ses mains.
- "Ce n'est pas moi qui l'ai écrit et je ne pense pas que ce soit les enfants…
- …
- Je ne vois donc qu'une personne ici…
- …
- Je ne te connaissais pas ces talents d'écrivain… c'est du vécu ou de l'imaginaire ?"
Il voit alors deux larmes couler sur les joues. Bien décidé à apprendre la vérité, il poursuit :
- "Alors? J'attends ta réponse !
- Pardon…
- Pardon pour quoi ? Je veux que tu me dises exactement ce qu'il en est. Tu me trompes ?
- … Oui…
- Cela dure depuis longtemps ?
- Un peu… je ne sais pas ce qui m'a pris… je t'en prie… pardonne-moi !
- J'ai cru reconnaître Bernard. Il s'agit bien de lui ?
- Oui.
- Tu sais ce que tu es ?
- … Oui…"
Jacques se lève alors. Se penchant vers sa femme, il empoigne le tee-shirt et, d'un geste brusque, le déchire en deux. Véronique se retrouve presque nue, toujours en pleurs. Jacques ne se laisse pas impressionner par ses larmes, au contraire. Il baisse son caleçon, exhibe son sexe et, l'approchant du visage de sa femme, lui dit d'un ton ferme :
- "Suce !"
Comme un robot, elle avance le visage et referme la bouche sur la verge tendue. Il regarde son membre aller et venir entre les lèvres de son épouse et reconnaît qu'elle suce sacrément bien. Ses mains caressent les cheveux puis descendent sur les épaules avant de trouver les seins qu'il pelote assez fermement, faisant bien vite durcir les tétons sous ses doigts.
- "Tes seins sont tout durs ! Ça t'excite de te comporter comme la dernière des salopes !"
Véronique ne répond pas mais il sent ses lèvres serrer un peu plus son membre. Elle l'avale de plus en plus profond et sa langue semble virevolter autour de sa tige. Jamais encore elle ne lui a offert une fellation aussi intense ! En lui se mêlent une certaine colère et une étrange excitation à la pensée qu'elle a pu offrir à un autre cette caresse aussi intime.
Il se recule soudain et regarde sa femme. Les lambeaux du tee-shirt la recouvrent toujours, la rendant encore plus excitante. Il la fait se lever puis lui ordonne :
- "Penche-toi ! Les mains sur le canapé !
- Qu'est-ce que tu vas faire ?
- Tais-toi !"
Il s'approche d'elle et, d'un geste rapide, fait glisser le slip le long des jambes. Il reste un instant admirer cette chute de reins dont il ne se lasse pas puis il lève une main et l'abat une première fois sur les fesses, tirant un cri, plus de surprise que de douleur. La fessée se fait plus régulière et bientôt le cul de Véronique rosit sous la chaleur des coups. Malgré tout, il n'est pas sans remarquer que sa femme se cambre de plus en plus, tendant ses fesses au devant de la main qui, impitoyable, s'abat sur elles à intervalles réguliers. Il cesse un moment le châtiment et glisse un doigt dans l'intimité. Ce qu'il prévoyait se révèle exact et il le ressort tout humide.
- "En plus, tu aimes qu'on te fesse !
- …
- Il te le fait aussi ton jules ?
- …
- Réponds !
- Des fois…
- Quelle salope tu fais…"
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