Vendredi 19 mars 5 19 /03 /Mars 16:08
Un agréable moment pour ce couple et leur ami...

-
Tu me trouves beau mec ?
- Euh... oui... bien sûr ! T'es plutôt mignon...
- Et t'aimerais baiser avec moi ?

Sylvie est à deux doigts de s'étrangler en entendant la question. Elle lui lance un regard où se mêlent étonnement et colère.

- T'en as de ces questions ! T'entends ça mon chéri ?

Son mari, visiblement aussi interloqué qu'elle, ne sait que dire. Pierrick est leur ami depuis bien longtemps et jamais il ne s'est comporté ainsi. Pourtant, loin de le mettre en colère, la question attise sa curiosité. Il sait que Sylvie trouve leur ami bel homme, il vient d'ailleurs d'en avoir confirmation, et il devine qu'elle ne dédaignerait pas une partie de jambes en l'air avec un mâle de ce gabarit. Ce qu'il ignore, c'est si elle est capable de réaliser cette envie ou si la pudeur l'en retient.

- De toute façon, avec ton physique, tu as largement le choix de gonzesses... plus jeunes et moins moches que moi !
- Deux choses : primo : tu n'es ni vieille ni encore moins moche et deuxio... tu n'as pas répondu à ma question !
- T'es têtu, toi ! Et tu sembles tout bêtement oublier que je suis mariée...
- Je n'oublies pas, non. Mais je sais, tout comme toi, que ton mec n'est absolument pas jaloux...

Il a décidément réponse à tout le bougre ! Connaissant le caractère plutôt vif de Sylvie, Pascal se dit que tout cela pourrait très mal se terminer.

- Tu n'aimerais pas ou tu as peur de l'avouer ?

Sylvie regarde son époux et demande :

- Ça te ferait quoi si je le faisais ?
- Ne l'ayant pas vécu, je n'en suis pas sûr à 100%... mais... je crois que ça m'exciterait assez.

Même si elle s'y attendait un peu, cet accord tacite de son mari met Sylvie dans une position plutôt inconfortable. Tant qu'elle pouvait se réfugier derrière sa fidélité, elle pouvait s'en sortir mais maintenant ! Répondre qu'elle n'en a pas envie ? Ce serait mentir et les deux hommes s'en doutent, son mari le sait même puisqu'elle le lui a révélé... Elle tente une pirouette :

- Avec mon rondeurs, ça m'étonnerait que je puisse t'exciter...

Hélas, sa remarque ne tire qu'un sourire à leur invité qui comprend qu'elle ne lui oppose guère d'arguments.

- Tu te trompes ! J'ai toujours adoré les femmes avec des formes et... je l'avoue aujourd'hui, il y a longtemps que tu me fais fantasmer...
- Menteur ! Mais charmeur, il faut le reconnaitre...
- Lève-toi et mets-toi devant moi, dos tourné !

Le ton de
Pierrick a changé. C'est pratiquement un ordre qu'il vient de lancer à Sylvie qui reste quelques secondes sans réaction, surprise de ce changement.

- Allez ! Dépêche-toi !

Ça passe ou ça casse ! Ou Pierrick se prend une baffe ou Sylvie lui est définitivement acquise. Juste un peu étonné, Pascal regarde sa chère et tendre se lever et s'installer comme demandé.
Pierrick remonte le chemisier au dessus des fesses de Sylvie et regarde son postérieur.

- Un cul comme je les aime ! Bien rond ! Tiens ton chemisier !

Obéissante, elle maintient le vêtement levé et, les mains ainsi libérées, Pierrick caresse les rondeurs, descend sur les cuisses par l'extérieur, remonte vers l'intérieur, sans rencontrer la moindre objection. Visiblement rassuré, il concentre ses caresses sur les deux globes et Sylvie subit un pelotage fessier en règle, sans chercher à s'esquiver.

- Voyons voir de plus près !

Ses doigts agrippent l'élastique du fuseau et, lentement, dévoile les fesses de la belle.

- Euh... tu ne trouves pas que ça suffit ? Proteste Sylvie sans réelle conviction.
- Tss... Tss... le meilleur est à venir...

Il fait glisser le vêtement jusqu'aux genoux et Sylvie se retrouve en slip, sous-vêtement on ne peut plus classique qu'elle apprécie, au grand désespoire son mari qui aimerait la voir en shorty, en string.

Pierrick cesse ses caresses et s'allume une cigarette, il en allume une seconde, qu'il tend à la jeune femme, tout en l'invitant à s'installer sur ses genoux.

- Alors ? Tu vois que ce n'est pas si dur de s'exhiber. Tu aimes ?
- Oui, répond-elle d'une petite voix.
- Donne ta main !

Elle lui tend une main qu'il guide sa sa braguette, lui faisant sentir son érection.

- Tu crois toujours que tu ne peux pas me faire bander ?

Pour toute réponse, elle sourit, visiblement heureuse d'avoir déclenché son désir. Quand il lui demande de se débarrasser de son pantalon, tout naturellement, elle le fait glisser. Leur cigarette terminée, il lui fait reprendre la pose puis poursuit son exploration. Il joue à suivre la raie par dessus le tissu, descendant un peu plus à chaque fois, jusqu'à effleurer son sexe.

- Si je ne m'abuse, l'endroit me semble bien humide...

Certain maintenant qu'il peut aller jusqu'où il veut, Pierrick baisse le sous-vêtement, dévoilant le cul désiré.

- Waouh ! Comme je l'imaginais ! Avec une raie bien profonde ! Un cul à faire bander un mort !

Il dépose deux bisous sonores sur chaque fesse puis lèche la raie culière de haut en bas. Cette fois, Sylvie ne retient plus quelques soupirs et je vois sa poitrine se soulever plus rapidement.

- Hum... délicieux ce cul ! Écarte les jambes et penche-toi !

Sylvie pose les mains sur la table basse et écarte largement les jambes, offrant une vue imprenable de son intimité à leur ami. Des pouces, ils écarte les globes, dévoilant le petit œil plissé. Il le flatte puis sa langue en prend possession, en léchant le pourtour, en s'y enfonçant, la faisant rapidement gémir de bonheur.

Pascal regarde le couple, bien plus excité de voir sa femme se laisser ainsi caresser qu'il ne l'aurait cru. Il aimerait les rejoindre, finir de déshabiller son épouse, la caresser, l'embrasser lui aussi mais il ne fait aucun mouvement, comme s'il attendait que Pierrick le lui autorise. Comme s'il lisait dans pensées, Pierrick appelle son ami :

- Pascal, ta femme m'a offert son cul et j'ai envie que ce soit toi qui m'offre ses nichons. Viens donc la débarrasser de ces derniers bouts de tissu inutiles !

Il rejoint le duo avec joie. Sylvie s'est redressée, bombant la poitrine presque comme un défi. Un à un les boutons sautent, dévoilant le soutien-gorge puis le ventre de sa femme. Il ôte le vêtement puis le sous-vêtement. Ça y est ! Sa femme, cette épouse si sage jusqu'à présent est maintenant totalement nue ! Il lui prend les épaules pour la faire se retourner tout en déclamant, très théâtral :

- Pierrick, mon ami, je te prie d'accepter cette femme, ma femme. Fais-la jouir comme elle en a envie et prend toi aussi un plaisir maximum !
- Je te remercie, cher Pascal. Sois assuré que je ferais de mon mieux pour la combler !

Les trois amis ne peuvent retenir leur rire suite à ces tirades. Puis, reprenant la direction de la soirée. Pierrick empaume les seins, les soupèse, les caresse :

- Ils sont comme ton cul, ma chère, divinement beaux et doux... et tout aussi sensibles on dirait.

En effet, sous les caresses, les tétons pointent fièrement, petites fraises posées sur les aréoles grumeleuses qui foncent de plaisir.

- Tu sembles aimer ça, te faire peloter les nichons, je me trompe ?
- Non... tu ne te trompes pas... j'adore cela.

Pierrick se penche vers la poitrine et embrasse un téton puis l'autre, tirant un gémissement à sa partenaire.

- En fait, sous tes allures d'épouse sage, tu es une belle coquine, pas vrai ?
- Si...
- Une belle salope, même !
- Oui
- Alors, dis-le !
- Je suis une...
- Allez ! Vas-y !
- ... une salope, lâche t-elle d'un petite voix
- Oui, une fieffée salope qui se fait tripoter par son pote devant son mari... et qui vas se faire baiser par deux mecs ensuite, n'est-ce pas ?
- Oui... je vais me faire baiser par vous deux.
- À la bonne heure. Je suis cûr que t'es toute trempée. Plonge tes doigts dans ta chatte et fais-les moi sentir.

Elle obéit et présente son doigt sous le nez de Pierrick.

- Hum... délicieuse cette odeur... et très excitante ! Tu aimes te toucher ? Tu te branles des fois ?
- Ça m'arrive...
- Montre-moi cela !

Elle hésite quelques secondes puis sa main se pose sur son sexe qu'elle caresse doucement avant de plonger un doigt dans sa grotte et de le faire aller et venir sous les yeux ô combien interessés de son partenaire.

- Tu es belle ! Mais il n'est pas encore temps de jouir ma petite ! C'est à ton tour de vérifier si tu m'excites ou pas.

Il se lève et l'invite à prendre sa place. Elle déboutonne la braguette et fait descendre le pantalon, caressant les cuisses de Pierrick. Quand elle relève la tête, elle a sous les yeux le caleçon déformé de son ami. Excitée par cette vision, tout autant que par les caresses précédentes, elle flatte longuement la bosse, la faisant grossir encore un peu plus. Si son mari est plutôt gâté de ce côté, Pierrick semble avoir un sexe hors du commun : long et large, impressionnant.
Elle le caresse ainsi quelques secondes puis descend le caleçon. Le membre lui saute littéralement à la figure.

- Oh !
- Elle te plait !
- Oui. Elle est grosse !
- Fais sa connaissance !  Caresse la bien ! Oui... comme ça...

Pascal regarde, subjugué la main de sa femme autour de la queue de son ami, qui va et vient, lentement. L'autre main flatte les couilles, gonflées, les fait rouler avant de s'aventurer plus bas. Il apprécie quand Sylvie lui offre ce genre de caresse anale mais est surpris de la voir faire aussi rapidement sur Pierrick. Ce dernier semble d'ailleurs apprécier l'initiative à sa juste valeur :

- Oh la cochonne, elle me flatte le fion... Ah oui ! Enfonce doucement ton doigt... ah... un pur délice. Pascal, mon ami, je ne pensais pas que ta chère et tendre était aussi salope... une vraie petite cochonne excitée !

Sylvie embrasse ensuite le gland puis, ouvrant les lèvres, avale, non sans difficulté, le sexe, enfin, une partie seulement, à peine la moitié.
Pierrick apprécie comme il se doit cette fellation, l'encourageant en des termes que d'ordinaire elle ne supporterait pas mais qui, ce soir, semblent l'exciter encore plus :

- Ah oui, salope ! Pompe-moi bien ! Bouffe ma bitte ! T'es une suceuse de première, tu sais ! Pascal, approche-toi et donne-lui ta bitte à bouffer à cette gourmande !

Ni une ni deux, Pascal se met nu et vient s'installer à côté de son ami, la queue au garde à vous, à portée de bouche de sa femme qui abandonne celle de Pierrick pour s'en emparer.
Pierrick en profite pour s'agenouiller entre les cuisses et sa bouche s'empare de la chatte de Sylvie. Il la lèche longuement, titille le clito gorgé de sang, s'enfonce dans la grotte trempée, se régalant de son jus d'amour, descend vers le petit trou sombre, remonte lécher les lèvres. Sylvie sent le plaisir monter en elle ; elle a de plus en plus de mal à se concentrer sur la pipe qu'elle offre à son mari. Elle le lâche quand, d'une caresse un peu plus appuyée sur son bouton, Pierrick déclenche un premier orgasme. Elle pousse un long cri ; sa chatte coule en abondance, régalant son amant qui ne perd pas une goutte du précieux nectar.
Elle se laisse retomber dans le canapé, le souffle court, les yeux clos. Pascal regarde sa femme, amoureux, presque surpris par la force de cette jouissance. Pierrick se relève, le menton luisant, souriant.

- Elle a pas été longue à partir, hein ? Dit-il à Pascal
- Sûr ! Je ne l'ai jamais vu jouir aussi vite... ni aussi fort !
- Ça va ma chère ?
- Oh... oui... c'était... extra !
- J'suis sûr t'as envie d'un bon coup de bitte maintenant, je me goure ?
- À ton avis...
- Installe-toi les fesses sur l'accoudoir du canapé.

Sylvie se met en position, visiblement impatiente de recevoir ce sexe en elle. Elle écarte les jambes, s'offrant sans aucune retenue. Pierrick s'installe entre ses cuisses et caresse la fente du bout du gland, la faisant tressaillir quand il effleure le bouton encore sensible. Après quelques secondes qui lui semblent interminables, il se décide enfin à la pénétrer. Lentement, il glisse en elle, écartelant ses chairs. Sylvie ferme les yeux, comme pour mieux sentir la progression de ce mandrin. Pascal admire la scène tout en caressant le ventre et la poitrine de sa chérie.
Pierrick prend tout son temps. Les yeux rivés sur le visage de sa maitresse, il prend possession de son con centimètre par centimètre, observant les grimaces de plaisir. Après de longues minutes, enfin, ça y est ! Leur deux corps ne font plus qu'un. Pierrick lui demande si ça va et Sylvie répond :

- Oh oui ! Tu es gros ! Tu me remplis complètement
- Toi aussi tu es bonne ! Prête pour la chevauchée fantastique !
- Oui. Vas-y ! Lâche-toi et défonce-moi !
- J'aime te l'entendre dire, sourit-il. Je vais te bourrer la chatte sou sles yeux de ton mari, c'est bien ça que tu veux ?
- Oh oui. Mon amour, regarde-nous ! Pierrick va me baiser. Il va baiser ta grosse salope de femme et ça te fait bander salaud !
- Oui je bande de voir la grosse bitte de Pierrick dans ta moule. Je bande te voir comme tu prends ton pied ce soir. Allez-y ! Baise-la bien Pierrick ! Fais-la hurler cette cochonne !

Pierrick se retire presque en entier puis, quand seul le gland est encore en elle, il donne un puissant coup de rein qui le propulse au fond du vagin de Sylvie, lui tirant un cri de plaisir. il entame une série de va et vient, s'enfonçant chaque fois le plus loin possible. Sous ces coups de boutoir, Sylvie ne résiste guère et, pour la deuxième fois, elle atteint le nirvana, les bras noués autour du coupe de son ami. Son plaisir déclenche celui de Pierrick qui n'a que le temps de sortir avant de se répandre en longs jets sur son ventre, l'aspergeant jusqu'au menton. Les deux amants échangent un long baiser puis Pascal s'installe face à sa femme.

- Oui mon chéri... à ton tour de prendre ton plaisir... viens me baiser... vite...
- Oh que oui, je vais te baiser ! Mets-toi à quatre pattes, comme une chienne !

Elle s'exécute et Pascal l'enfile d'un puissant coup de rein, la faisant crier de bonheur.

- Ah salope, t'es trempée et toute chaude ! J't'ai jamais vue aussi mouillée !
- C'est de votre faute mes deux salauds chéris ! Allez vite, ramone-moi mon amour ! Fais-moi jouir de ta queue ! Ahhhh ! Oui ! Comme ça !!!

À grands coups de reins, Pascal laboure sa femme, la faisant gémir sans discontinuer. Écartant ses fesses, il regarde le petit œil sombre qui palpite, comme si lui aussi réclamait sa part d'attention.

- Admire ce petit trou de balle Pierrick ! Il attend un doigt j'en suis sûr !

Leur ami appuie l'index au centre du cratère et le caresse, accentuant petit à petit la pression sur le muscle qui, rapidement, se détend, permettant au doigt de poursuivre son exploration.
Cette nouvelle intrusion ravit Sylvie qui tend son cul au devant de l'intrus.

- Vas-y ! Masse-moi le fion ! Ramone mon boyau ! Deux trous pris en même temps... hum... c'est si bon !

Les deux amis s'en donnent à cœur joie, qui à grands de bitte dans la chatte maritale, qui deux doigts allant et venant dans l'étroit conduit. Leur partenaire ne résiste guère à ce double assaut et, une nouvelle fois, ouvre la bouche sur une longue plainte.

@ suivre???




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Samedi 26 septembre 6 26 /09 /Sep 12:08
Dernière partie de ce récit..

Cette fois, ma petite femme chérie est intégralement nue, sans que cela ne semble la gêner le moins du monde ! Au contraire ! Elle ouvre le compas de ses cuisses, offrant sans retenue son intimité au yeux, aux doigts et à la bouche de Stéphane qui prend possession de la fente, allant et venant du bouton à l'entrée de la grotte d'où sourd une mouille abondante.
Je rejoins le couple, me penche sur ma chérie à qui je roule une pelle gourmande avant de m'occuper de sa poitrine. J'embrasse ses seins, les masse, étire ses tétons.
Soudain, elle pousse un long cri et jouit, abreuvant Stéphane de sa liqueur intime dont il se régale, la bouche rivée à la fente, ne voulant perdre aucune goutte du délicieux nectar.
Nous nous relevons, lui le menton luisant, et admirons Catherine qui, le souffle court, les yeux fermés, savoure ce premier orgasme.
Après quelques minutes, elle ouvre les yeux et nous regarde, un étrange sourire aux lèvres. Je lui propose une coupe de Champagne qu'elle accepte et nos verres s'entrechoquent quand nous trinquons à cette soirée.

Sans mot dire, Catherine s'approche de Stéphane, l'enlace et lui offre un baiser tout en déboutonnant sa chemise et sa braguette. Il ne suffit que de quelques secondes pour qu'il se retrouve à son tour dans le plus simple appareil, le sexe au garde à vous. Elle l'abandonne, vient vers moi et m'offre le même traitement. Nous voici donc nus tous les trois. Catherine s'assied sur le canapé, nous fait nous installer l'un contre l'autre, debout devant elle. Je baisse les yeux et la regarde engloutir la tige de notre ami, amant devrais-je plutôt dire ; elle le fait aller et venir plusieurs fois entre ses lèvres, l'abandonne et me procure la même délicieuse attention. Elle passe ainsi de l'un à l'autre puis invite Stéphane à s'asseoir et, les yeux rivés aux miens, s'empare de son membre qu'elle présente à l'entrée de son vagin. Je lui souris, heureux de la voir ainsi excitée.
Lentement, elle descend le long de la tige, la bouche ouverte, savourant la progression de la bitte en elle. Je me penche sur elle, l'embrasse profondément puis m'agenouille, le visage à quelques centimètres de se fente. Du bout de la langue, je titille son bouton, la faisant sursauter, avant de donner quelques coups de langue plus appuyés avant de me relever. Je la regarde aller, monter et descendre sur ce membre qui la pourfend, gémissant sans discontinuer.

- C'est bon ma chérie ? Tu aimes comme il te baise ?
- Oh oui ! Elle est bonne sa bitte ! Aussi bonne que la tienne mon amour ! Hum... oui...

Je prends ses seins en main et la pelote, assez vigoureusement.

- Lèche-moi encore !

Comment refuser pareille demande ? Je m'accroupis à nouveau et retrouve, non seulement la fente béante de ma chérie, mais également la verge de Stéphane qui va et vient en elle. Je lèche donc ce sexe ouvert et, plusieurs fois, comme par mégarde, la queue de mon ami s'échappe de son délicieux écrin et vient appuyer contre mes lèvres qui, bien sûr, l'accueillent avec bonheur. En cet instant, j'envie presque ma chérie de se faire ainsi posséder par cette queue qui me procure autant de plaisir quand elle me laboure le cul.

Après un moment, Stéphane décide de changer de position. Il fait mettre Catherine à quatre pattes, me demande de me glisser dessous puis réinvestit son vagin d'un unique et puissant coup de reins avant d'entamer une longue série de va et vient, s'interrompant parfois pour me baiser la bouche.
Cette chevauchée dure de longues puis les coups de boutoir de Stéphane redoublent d'intensité et soudain, il sort sa queue du con de Catherine et lui arrose le dos de longs jets puissants, jouissant dans un long râle.
Ma chérie se relève alors et, profitant de ma position, vient s'empaler sur moi, visiblement désireuse de prendre une nouvelle fois son pied. Je la regarde monter et descendre, les seins ballotant, la bouche entrouverte, les mains sur mon torse. Il ne lui faut que quelques minutes pour succomber une nouvelle fois, déclenchant mon propre plaisir. J'éjacule longuement en elle, autant que j'ai l'impression de n'avoir jamais encore joui aussi fort !
Elle s'affale contre moi, cherche ma bouche et nous échangeons un baiser gourmand, passionné. Je suis toujours en elle, toujours aussi raide et, après quelques instants, remue doucement. Elle me regarde, me sourit, passe ses bras derrière ma tête et me serre contre elle. Je vais et viens doucement en elle, savourant cet instant, aussi érotique qu'amoureux. Sentant le plaisir monter le long de ma colonne, je cesse tout mouvement, embrasse mon amour, laisse retomber la tension.

- Je t'aime mon chéri.
- Moi aussi...
- Tu ne m'en veux pas ?
- Pourquoi ?
- Pour ma conduite ? Pour m'être laissée aller avec Stéphane ?

La pauvre ! Si elle savait !

- Non, ma puce, j'ai adoré au contraire.
- Hé ! Qu'est-ce tu fais là ?
- Je goûte ton délicieux petit trou du cul, répond Stéphane.
- Vicelard !
- Tu n'aimes pas ?
- Idiot !

Ainsi rassuré, notre ami poursuit cette découverte du petit œillet de Catherine. Connaissant, et pour cause, son don pour ce type de caresse, je ne doute pas que ma chérie va adorer sans tarder cette attention.
Effectivement, quelques soupirs s'échappent rapidement de son adorable bouche.

- Ça va ma puce ?
- Hum... oui... il enfonce sa langue dans mon cul... c'est.. oh...délicieux...

Je bouge le moins possible, laissant tout loisir à mon ami de faire découvrir ce nouveau plaisir à Catherine.
Je la sens qui se crispe légèrement puis, rapidement, elle me serre un peu plus contre elle et me murmure à l'oreille.

- Il m'a mis un doigt... enfin... au moins un...
- Tu aimes ?
- Oui... j'ai honte...
- Il ne faut pas ! Ne pense qu'à ton plaisir.

Je sens contre ma queue les doigts de Stéphane qui pénètrent lentement ce derrière presque vierge, si ce n'est deux ou trois visites de ma queue il y a bien longtemps.

Je suis maintenant totalement immobile, ma queue au fond de son vagin. J'embrasse Catherine, lui caresse amoureusement la poitrine. Les yeux dans les siens, je peux suivre la progression des doigts qui la fouillent aux grimaces qu'elle fait parfois.

- Et de trois ! dit-elle, presque surprise de ne pas plus souffrir.
- C'est bon ? Pas trop douloureux ?
- Oui... non... enfin, c'est pas désagréable... au contraire...

Stéphane lui branle ainsi le cul un moment puis il me fait un clin d'œil et, prenant Catherine aux épaules, la fait se relever. Debout face à face, ils s'embrassent longuement puis il fait la fait s'installer dans le canapé, les fesses reposant sur l'accoudoir.
Je me relève à mon tour et vient m'asseoir tout contre le flanc de ma chérie. Je me penche et l'embrasse puis caresse son ventre et sa poitrine avec beaucoup de douceur.
Stéphane sort un tube de vaseline, s'en enduit les doigts puis reprend ses caresses sur le cul de Catherine. Je le regarde enfoncer trois doigts et les faire aller et venir, tantôt lentement, tantôt plus rapidement, tirant quelques gémissement à ma chérie.
Il s'installe ensuite devant elle, pointe son sexe contre la rondelle et appuie légèrement. Je regarde ma femme qui esquisse un léger sourire, comme pour me rassurer sur son accord.

- Je vais te prendre le cul...
- Tu vas doucement, hein !
- N'aie pas peur, je ne veux que ton plaisir.

J'ai l'impression, en l'entendant, de revivre mon propre dépucelage, il y a seulement quelques jours. Connaissant la douceur et le savoir-faire de notre amant commun, je suis tout à fait tranquille.
Je lui caresse doucement le ventre, les seins, pendant que Stéphane, appuyant un peu plus fortement, force l'entrée de son cul, lui tirant un léger cri et une grimace. Il reste alors immobile, la laissant s'habituer, pendant que mes doigts flattent la fente de ma chérie, entretenant ainsi son excitation. Après quelques secondes, notre ami reprend sa lente progression et s'enfonce, lentement mais sûrement, entre les reins de Catherine. Je regarde le visage de ma belle qui trahit l'effort qu'elle fait pour recevoir cette bitte dans son cul. Je me penche et l'embrasse.

Après de longues minutes, la queue de Stéphane est toute entière dans les fesses de ma femme. Une nouvelle fois, il cesse tout mouvement et peu à peu, ma coquine chérie accepte cette présence en elle.

- Ça va ?
- Oui... ça fait bizarre...
- Rassure-toi ! Le plus dur est passé ! Dis-moi quand je peux bouger.

Toujours aussi patient et doux, notre cher amant ! Il se penche sur elle et l'embrasse tendrement puis se redresse et entreprend de ressortir. Je regarde sa bitte qui, lentement, fait le chemin inverse.
Quand il ne reste que le gland, il s'immobilise quelques petites secondes puis s'enfonce à nouveau, tirant à Catherine un gémissement, léger certes mais suffisant pour lui indiquer que non seulement elle accepte la sodomie mais qu'elle commence à l'apprécier. Il entame alors de lents va et vient, s'enfonçant chaque fois entièrement, lui tirant des gémissements de plus en pus forts. Les doigts flattant toujours la fente, à nouveau trempée, je demande à Catherine :

- C'est bon ?
- Hum... oui...
- Tu aimes, sa bitte dans ton cul, pas vrai ?
- Oh oui ! J'aime qu'il m'encule ! Je suis sûre que tu aimerais aussi !

Elle ne croit pas si bien dire ! Je joue le jeu et lui réponds, innocemment :

- Je ne sais pas... tu crois ?
- Oh oui ! Il est si doux... tu essayeras tout à l'heure, tu verras !

Que ne ferais-je pas pour faire plaisir à mon épouse !! Si c'est elle qui me le demande, alors, soit, j'offrirai mon cul à Stéphane !!
Ce dernier, qui n'a pas perdu un mot de notre conversation, me lance un clin d'œil et un baiser, auxquels je réponds, très heureux de la tournure des évènements.
Pour l'instant, c'est elle qui continue de profiter de la belle queue de notre amant qui amplifie ses coups de reins, qui, alliés à mes caresses sur sa chatte, lui font rapidement connaître un nouvel orgasme?

- Continuez ! Encule-moi bien fort Stéphane ! Et toi mon chéri, doigte-moi la chatte ! Oui ! Comme ça ! Enfonce bien tes doigts ! Ahhhh ! Je... je vais... OHHHHH OUIIIIIII !! Je jouis ! Ahh.

Son corps de tend ! Elle jouit longuement, la bouche grande ouverte.
Son orgasme déclenche celui de Stéphane. Il donne quelques derniers puissants coups de boutoir puis sort du cul de Catherine et arrose abondamment son ventre et sa poitrine, la zébrant de trainées blanchâtres. Je ne résiste pas au plaisir d'admirer l'anus de ma chérie, pas encore totalement refermé et dans lequel j'enfonce deux doigts sans aucune résistance.

Nous faisons une nouvelle pause cigarette puis filons chacun notre tour prendre une douche réparatrice.
Tandis que Stéphane est sous l'eau, Catherine me demande :

- Tu ne m'en veux pas, tu es sûr ?
- Mais non ! De quoi t'en voudrais-je ? On a passé un super moment qui, j'espère n'est pas fini, et j'ai adoré te prendre du plaisir avec Stéphane.
- Quand même... je lui ai offert ce que je t'ai bien souvent refusé... tu pourrais en être fâché.
- Rassure-toi ! Cela me permettra maintenant de m'y aventurer sans que tu refuses...
- Ça c'est sûr ! Je ne pensais pas que ça pouvait être si bon !
- Arrête ! Tu vas me donner envie d'essayer...
- Mais tu vas essayer ! Je suis certaine que Stéphane acceptera de te faire goûter ce plaisir...
- On parle de moi, l'interrompt Stéphane en revenant de la salle de bains.
- Je proposais à mon chéri de goûter aux joies de Sodome...
- Voilà une excellente idée ! Qu'en penses-tu cher ami ? Me demande t-il  hypocritement.
- Ma foi, si c'est aussi bon que ma petite femme le dit... pourquoi pas ?
- Dans ce cas, le temps de reprendre quelques forces et je suis ton homme !


Catherine nous abandonne pour aller faire un café. À peine a t-elle le dos tourné que Stéphane m'enlace et m'embrasse fougueusement avant de me dire :

- Je n'espérais pas que l'on irait aussi loin dès ce soir !
- Moi non plus ! Et j'en suis ravi !
- Par contre, t'as entendu ta femme : tu vas être obligé de me laisser t'enculer... j'espère que tu ne m'en voudras pas !
- Idiot, dis-je en appuyant mes lèvres sur les siennes.

Nous dégustons un café, confortablement installés dans le canapé. N'importe qui nous verrait aurait l'impression de trois amis, devisant gentiment. La seule différence, et non des moindres, est que nous sommes intégralement nus tous les trois et que notre conversation est un tout petit plus qu'amicale.

- Et si vous me suciez pour que je retrouve ma vigueur ?
- Tu veux dire Pierre et moi ?
- Tu vois quelqu'un d'autre ?
- Imbécile ! Je meurs d'envie de voir mon chéri avec une bitte dans la bouche ! Et puis, ça lui donnera l'occasion de la goûter avant de la prendre dans le cul !

Pour être excitée, ma petite coquine est excitée ! Soit ! Faisant celui qui va découvrir, je saisis la verge de Stéphane et la caresse doucement, encouragé par Catherine que la situation sembler amuser autant qu'elle l'excite.

- Allez mon petit chéri ! Caresse-la comme tu caresses la tienne ! Oh qu'il est chou en train de branler son pote...
- Et il se débrouille drôlement bien, renchérit le dit pote ! Mon Pierrot chéri, tu es une sacrée bonne petite branleuse !
- Suce-le maintenant, continue ma chérie, prends-le dans ta bouche ! Tu vas voir comme elle est bonne !

j'ouvre les lèvres et engloutis, avec un plaisir que je parviens tant bien que mal à dissimuler, le long sexe de mon amant. Je le fais aller et venir comme je sais qu'il aime, lui caresse les couilles, les griffant parfois légèrement. Je m'y prends sans doute trop bien car Catherine ne tarde pas à s'exclamer :

- Mais ma parole ! On dirait que tu as fait ça toute ta vie !
- Je ne vais pas tarder à être prêt, enchaine Stéphane, prépare son petit cul !

Ma femme me fait mettre à quatre pattes et dépose une bonne dose de vaseline sur mon trou. Elle y enfonce un doigt et je crains un instant qu'elle s'aperçoive qu'il pénètre sans aucune difficulté ce cul sensé être vierge. Mais non, elle ne se rend compte de rien, ou le cache. Elle fait quelques va et vient puis, très rapidement, ce sont deux doigts qui me fouillent.
Après quelques minutes, elle sourit ) Stéphane en disant :

- Tu peux y aller, il est à point !

Je lâche la queue de mon amant qui s'installe à genoux derrière moi et sens très vite son gland contre mon oeillet. Il pousse un peu et s'enfonce doucement entre mes reins. Quel plaisir que le sentir progresser ainsi ! Ma femme le regarde faire puis me demande :

- Alors mon chéri ? C'est comment ?
- C'est bizarre, mentais-je
- Pas trop douloureux ?
- Non, ça peut aller...

Stéphane commence une longue série de va et vient, s'enfonçant chaque fois entièrement en moi, faisant claquer mes fesses contre son ventre. Je ne retiens plus mes gémissements et laisse mon plaisir prendre le dessus. Catherine s'empare de mon sexe et le caresse doucement, non sans, de son autre main, flatter sa fente.

- C'est bon, hein mon petit chéri, de se faire mettre le cul par une belle bitte...
- Oh oui... j'adore ça !
- Allez Stéph' ! Bourre-le bien ! Encule-le bien à fond comme tu me l'as fait tout à l'heure !

Les coups de boutoir se font encore plus puissants. Ayant déjà joui, notre amant parvient à contrôler son plaisir et il me baise ainsi un sacré long moment, m'offrant un plaisir intense. Au moment où il sort de mon cul pour jouir, ma chérie s'empare de sa queue qu'elle dirige vers ses seins et Stéphane lui arrose la poitrine. Elle le lâche et se masse les seins, agissant comme elle le ferait avec une crème de beauté. Pour ma part, je reste à quatre pattes, les reins cambrés, le cul béant, avec un sentiment de vide. Mon amant me regarde, me fait m'assoir et prend mon sexe dans sa bouche. Il ne lui suffit que de quelques léchouilles pour me faire jouir à mon tour et, une nouvelle fois, ma femme reçoit une dose de cette crème si particulière.

Nouveau break. Cette fois, je décide d'ouvrir une bouteille de Champagne pour fêter comme il se doit cette soirée. Nous trinquons et nous rafraichissons. Catherine me demande ensuite avec un sourire :

- Alors comme ça, c'était bon cette première sodo ?
- Oui... j'ai bien aimé...

Pourquoi me demande t-elle cela ? Stéphane me regarde, un étrange sourire aux lèvres. Que se passe t-il ? Que manigancent-ils ?

Ma femme se lève et se dirige vers notre chambre. Je n'ai pas le temps d'interroger Stéphane qu'elle revient, brandissant victorieusement un de mes godes. C'est donc ça ! Elle a découvert mes jouets !

- Je ne te demande pas s'il t'appartient, n'est-ce pas ?
- Euh...

Que répondre en effet ?

- Vu que je n'ai pas acheté ce genre de joujou... et vu aussi que nous ne sommes que deux à vivre ici...

Je ne vais tout de même pas nier l'évidence !

- C'est à moi, oui. J'avais envie de connaître ce genre de plaisir...

Elle sort de sa poche une feuille pliée en quatre, la déplie et commence à lire. Effaré, je découvre qu'il s'agit de l'extrait d'un dialogue entre Stéphane et moi sur MSN. Ça se gâte !!

Je prends le parti d'être sincère et commence à lui raconter notre rencontre. Elle m'interrompt bien vite :

- Ne te fatigue pas, mon chéri ! Stéphane m'a déjà tout raconté.

Alors là ! Le ciel me tombe sur la tête. Je me tourne vers mon amant. Toujours ce même sourire qui, à cette seconde, m'exaspère. Mon attente est de courte durée :

- C'est vrai Pierre. Ta femme t'a vu un soir devant l'ordinateur, à poil, en train de te branler en dialoguant avec moi. Le lendemain, elle a relu notre conversation, a découvert tes godes. Elle est alors entré en contact avec moi et je lui ai parlé de nous, de notre amitié, de nos moments sympas. Cela l'a rassurée de savoir que tu n'envisageais pas de la quitter et c'est elle qui a fait en sorte que je sois proposé pour cette mission de trois mois ici...

Je reste muet ! Stupéfait de découvrir qu'elle savait tout depuis de longues semaines sans rien laisser transparaître ; qu'elle a usé de son pouvoir pour que mon amant et moi puissions pour rencontrer "en vrai".

- J'ai également profité de la venue de Stéphane pour réaliser ce vieux fantasme d'avoir deux hommes rien que pour moi, ajoute Catherine dans un sourire, comme pour me rassurer.
- Chérie... je ne sais quoi te dire... me pardonneras-tu un jour ?
- Idiot ! Je n'ai rien à te pardonner ! Ce qui est arrivé est un peu de ma faute. À ne vivre que pour mon boulot, ma carrière, je t'ai délaissé sans m'en rendre compte. C'est moi qui devrais te demander pardon et te remercier de m'avoir supportée tout ce temps sans me quitter.

Pour une mise au point, c'est une mise au point ! Un silence suit cet échange, comme si chacun de nous trois cherchait la meilleure façon de sortir de ce malaise. C'est une fois de plus Catherine qui prend l'initiative :

- Mon chéri, comme tu tenais à te faire pardonner, je t'offre mon pardon moyennant un petit cunni... qu'en dis-tu ?

En guise de réponse, je la saisis par le bras, m'allonge sur le dos et l'attire sur moi, sa fente contre ma bouche. J'entame alors le plus amoureux des cunnilingus qu'il ait été donné de faire, pour le plus grand bonheur de ma chérie qui roucoule de plaisir sous mes coups de langue.

- Et toi, mon, notre cher Stéph', viens vite me bouffer les nichons !

Et voilà ! C'est reparti comme en 40 !
FIN
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