Lundi 12 février 1 12 /02 /Fév 15:33
La soirée se poursuit... et je découvre des plaisirs insoupçonnés !

La série terminée, nous abandonnons une nouvelle fois la piste et retrouvons notre alcôve. Martine s'approche d'Anne, lui prend la main et l'attire contre elle. Sa bouche parcourt le visage de ma chérie, lui embrasse le front, les joues, le nez, sans essuyer aucun refus. Elle se pose alors sur les lèvres et, après une fraction de seconde, les deux femmes échangent un baiser passionné. Très rapidement, elles sont nues toutes les deux. Martine fait allonger Anne et sa bouche explore son corps, n'oubliant aucun centimètre carré.


- Elles sont belles, n'est-ce pas ?

- Hum… oui… je suis heureux de voir Anne se laisser ainsi aller…

 

Martine embrasse les seins, serre les tétons entre ses lèvres, tète tel un bébé affamé. Ses baisers, sur sa poitrine sensible, font gémir Anne qui se tord de plaisir. Sa maîtresse descend sur son ventre et atteint son intimité. Ma chérie écarte les jambes au maximum, s'offrant sans retenue à cette bouche qui lui dévore la chatte, s'enfonce dans sa grotte, agace son bouton.

Les deux femmes changent ensuite de position et se mettent en 69. Anne caresse un peu la fente de son amie puis s'enhardit et, à son tour, embrasse son sexe. Sa langue explore la fente, s'enfonce dans la grotte humide, donnant des frissons de plaisir à Martine. Écartant les fesses, Anne ose même quelques baisers sur œillet sombre. Baisers qui, à entendre les gémissements de sa compagne, sont particulièrement appréciés.


- Hum… c'est bon… mets un doigt !


Anne, après avoir sucé son index, le pose contre l'anneau et pousse.



- Ah oui ! Comme ça ! Encule-moi !



Ma chérie fait aller et venir son doigt rapidement dans le derrière de Martine, la faisant presque crier. Devinant qu'elle n'est pas novice, loin de là, elle en ajoute un second qui entre aussi facilement. Incapable de se concentrer sur son cunnilingus, Martine a délaissé le minou d'Anne et ne vit plus que pour le plaisir qu'elle reçoit. Tout en la sodomisant de ses doigts, ma puce poursuit ses baisers sur la chatte offerte. Il ne lui faut que quelques minutes pour que Martine, dans un long feulement, parvienne à l'apogée du plaisir. Après avoir savouré cet orgasme comme il se doit, elle remercie Anne :


- Quel pied ! Allez ! À ton tour !


Sa bouche retrouve le chaton de ma chérie. Elle s'emploie à son tour à lui offrir le maximum de plaisir, deux doigts allant et venant dans la grotte pendant que, de la langue, elle titille le bouton. Anne gémit sans discontinuer, savourant le savoir-faire de sa partenaire. Elle relève les jambes, invitant Martine à ne pas oublier son côté pile. Comme si elle n'attendait que cette autorisation, notre amie plante deux doigts dans le cul de ma femme et les fait aller et venir au même rythme que ceux qui fouillent le vagin. C'en est trop pour Anne qui succombe à son tour dans un cri rauque, régalant Martine de son jus.


Les deux coquines reprennent lentement leurs esprits, assises l'une contre l'autre, en nage, les cheveux collés au front par la transpiration.


Le spectacle qu'elles nous ont offert a bien sûr ranimé notre excitation et nous sommes tous les deux au garde à vous. Karl s'approche de sa femme, ses mains caressant ses cuisses mais elle le repousse en lui disant :


- Vous avez aimé nous regarder ?

- Oui, beaucoup…

- Alors, à votre tour ! Pas vrai Anne ?


Ma chérie me regarde avec un étrange sourire. Pour ma part, je ne sais quoi faire. Que Karl me fasse une pipe, après tout pourquoi pas ? Mais que je le suce… Je n'ai guère le temps d'y réfléchir car il me fait m'allonger et, s'installant entre mes cuisses, embrasse rapidement mon gland puis, avant que je puisse réagir, mais en ai-je envie, m'avale entièrement. Je tourne la tête ; les femmes nous regardent en souriant, appréciant visiblement la scène.


- Tu n'as pas envie de le goûter ? Me demande Martine. Allez ! Laisse-toi aller ! Suce-le !


Karl, en l'entendant, s'est mis au dessus de moi, en 69. Patient, il ne me force pas et n'appuie pas son sexe contre mon visage, me laissant le choix. Ma main se pose sur son membre et je le caresse doucement, le faisant grossir un peu plus. Je me décide alors et, levant un peu la tête, embrasse sa hampe, puis son gland. Je me surprends à en aimer le goût et j'ouvre enfin la bouche pour l'accueillir. Il s'installe plus franchement sur moi et je fais aller et venir son sexe dans ma bouche, appréciant un peu plus au fil des minutes sa présence.

Tout en me pompant, Karl caresse mon petit trou et, assez vite, un doigt me force et va et vient en moi. Je savoure sa caresse, à la fois douce et puissante et décide de lui rendre la pareille. Mon index s'enfonce sans difficulté, ce qui me fait penser que, comme sa femme, il apprécie les plaisirs de Sodome.

Nous nous suçons ainsi de longues minutes, nous branlant en même temps le cul, puis je sens que je ne vais pas tarder à venir. Lâchant sa queue, je le préviens. Il me fait sortir de sa bouche et ses doigts finissent de me faire succomber. Dans un râle, je gicle sur mon ventre et sa main.


Karl se relève. Il na pas joui et je suis surpris qu'il ne désire pas continuer à se faire sucer. Je comprends quand il me saisit les jambes et les relève ses intentions. Partagé entre le désir et la crainte de la douleur, je ne fais pas un geste.


- Sois tranquille, je serais très doux…


Il déchire l'emballage d'un sachet de lubrifiant dont il répand le contenu sur mon petit trou. Son doigt me prépare puis il s'en met une bonne couche sur le sexe. Face à moi, il pose son gland contre mon anneau et pousse légèrement.


- Détends-toi !


Je mets quelques instants pour me décontracter, instants pendant lesquels il reste immobile, attendant que je sois prêt. Une deuxième poussée et son gland franchit l'étroit passage. Je suis surpris de ne pas ressentir une douleur plus importante.


- Ça va ?

- Oui… doucement…


Il poursuit lentement sa progression et, peu à peu, je me mets à aimer cette présence au plus profond de mon intimité.


- Voilà… je t'ai tout mis…

À suivre... is vous en avez envie !!
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Samedi 10 février 6 10 /02 /Fév 19:00
Nous voici enfin arrivés à l'Extasia...

Tenant ma chérie par la main, nous nous dirigeons vers l'entrée où nous sommes accueillis par une jeune femme très sympa. Plus possible de reculer ! Nous découvrons l'endroit. Le cadre est sympa, la piste de danse est occupée par quelques couples enlacés qui évoluent sur une musique douce. Nous trouvons sans trop de difficultés une table libre et nous installons. Je laisse Anne quelques minutes et vais au bar chercher deux verres. À mon retour, elle discute avec un homme assis à côté d'elle. À peu près notre âge, brun, ma foi très bel homme. À mon arrivée, il me salue et me demande si sa présence ne nous dérange pas :

- Pas du tout.

- Vous venez souvent ici…

- C'est notre première visite.

- Nous fêtons ce soir nos vingt ans de mariage, renchérit Anne

- Joyeux anniversaire alors !

- Merci. Et vous ? Vous êtes un habitué des lieux ?

- Disons que nous venons assez régulièrement, mon épouse et moi. Au fait, je m'appelle Karl.

- Enchanté, moi Marc et mon adorable femme Anne. La vôtre ne vous accompagne pas ce soir ?

- Si, bien sûr ! Elle est en train de danser. C'est la femme rousse, là-bas. Elle s'appelle Martine.


Nous regardons, Anne et moi, dans la direction indiquée et voyons effectivement une jolie rousse qui danse lascivement dans les bras d'une jeune femme.


Arrive une série de slows. Notre voisin me demande la permission d'inviter Anne. Je lui donne mon accord et, se levant, il tend la main à ma chérie. Celle-ci me jette un coup d'œil et, devant mon sourire, accepte l'invitation.

Ils dansent, enlacés, les mains de l'homme dans le bas du dos d'Anne qui, elle, a les bras passés autour du cou de son cavalier. Je le vois dire quelques mots à son épouse en indiquant ma direction puis à nouveau parler à ma chérie.

C'est sans surprise que je vois leurs bouches se joindre, en même temps que l'homme lui caresse plus franchement les fesses.

Après quelques danses, ils me rejoignent, bientôt suivis par Martine. De près, elle est encore plus jolie, son chemisier est tendu par une poitrine avantageuse et sa jupe, ultra courte, dévoile de longues cuisses fuselées. Nous faisons connaissance puis ils nous demandent si nous sommes d'accord pour gagner un endroit plus intime.

Nous les suivons donc et arrivons dans un petit salon rond, une banquette en meuble le tour et une table basse permet de poser nos verres. Les femmes sont assises entre nous, Martine à côté de moi et Anne de Karl. Très vite, ce dernier enlace ma femme et lui roule une nouvelle pelle. Je me tourne vers ma voisine, pose une main sur son épaule et, tout naturellement, nos bouches se joignent. Elle déboutonne ma chemisette, ses doigts jouent avec mes poils puis titillent agréablement mes tétons. À mon tour, j'ôte son chemisier et libère sa poitrine. Je la pelote doucement, pinçant légèrement les tétons qui réagissent immédiatement. Nos bouches se séparent. Elle s'agenouille devant moi, ouvre ma braguette et caresse mon sexe par dessus mon caleçon. Elle le baisse ensuite, ses doigts se referment sur ma hampe et elle me masturbe lentement, me décalottant au maximum.

Je tourne la tête : Anne est torse nu, Karl embrasse ses seins, aspirant ses tétons. Nous échangeons, ma chérie et moi, un sourire et elle passe la langue sur ses lèvres avec une moue des plus coquines.

Martine embrasse mon sexe, lui donne des coups de langue comme elle le ferait à une glace puis, enfin, le fait coulisser entre ses lèvres. Que sa bouche est chaude et humide ! Ses mains se promènent sur mon ventre, sur mes couilles, les griffant légèrement. Je soulève les fesses et me débarrasse de mes pantalon et caleçon. De même j'ôte ma chemisette. Je me penche un peu et mets Martine elle aussi torse nu.

À côté, Karl a franchi une nouvelle étape et s'emploie maintenant à lécher la chatte de ma chérie, la faisant longuement gémir.

Je fais relever Martine et me retrouve le visage à hauteur de son bas ventre. M'emparant du bas de sa jupe, je la fais lentement remonter et ai rapidement sous les yeux sa fente, épilée elle aussi, que ne parvient pas à cacher un string en dentelle. Mes mains passent sur ses fesses qu'elles caressent puis je baisse le sous-vêtement et embrasse son Mont de Vénus. La jupe rejoint très vite le string aux pieds de ma partenaire qui écarte les jambes, m'invitant à poursuivre mes caresses. Ma langue explore son abricot lisse, s'insinue entre les lèvres et je déguste sa mouille abondante.

Je me lève ensuite, l'enlace et nous échangeons un nouveau baiser.


- "J'ai envie de regarder Karl et ta femme. Ça ne te dérange pas ?

- Pas du tout ! J'adore jouer au voyeur."


Nous nous rasseyons et admirons ma chérie et son amant. Eux aussi totalement nus, Anne suce le membre de Karl avec gourmandise. Les bruits de succion témoignent de son ardeur. Sans les quitter des yeux, Martine a repris mon sexe et me caresse doucement, comme pour entretenir mon excitation, qui n'a d'ailleurs pas besoin de cela pour rester à son paroxysme !


Karl demande à Anne de s'allonger, les fesses au bord de la banquette. Il lui prend les jambes, les relève et caresse sa chatte du bout de son gland pendant quelques secondes. Puis il pousse et s'enfonce en elle dans un grognement. Ses va et vient, d'abord lents, s'accélèrent et il la lime vigoureusement, leurs deux corps claquant l'un contre l'autre. Les doigts de Martine serrent un peu plus mon membre, comme si elle subissait elle aussi les coups de boutoir de son mari.

Je lui caresse le ventre, descends parfois jusqu'à sa fente en prenant bien garde d'éviter les zones trop sensibles.


Les deux amants ne sont plus très loin de l'orgasme. Les cris de ma chérie résonnent dans la pièce avec, en écho, les "han" de son partenaire. Je la vois soudain ouvrir grand la bouche sans qu'aucun son n'en sorte. Son corps se tend et je devine qu'elle jouit. Son orgasme déclenche celui de Karl qui sort de son vagin et lui arrose le ventre. Martine se précipite sur ma femme et lèche le sperme de son mari, effaçant à grands coups de langue les traces de son éjaculation.

Je regarde ma femme qui, les yeux fermés, savoure sa jouissance. Son amant se penche sur elle et dépose un léger baiser sur ses lèvres entrouvertes. Martine, qui a terminé son nettoyage, revient alors vers moi, me fait asseoir et, sans autre forme de procès, s'empale sur mon sexe dressé, me tournant le dos. En appui sur mes cuisses, elle monte et descend à un rythme effréné. Je m'empare de ses seins qui ballottent et les caresse. Son mari s'approche et lui titille le bouton, la faisant gémir plus fortement. J'ai le plus grand mal à me retenir mais, heureusement, elle parvient très rapidement au nirvana. Je sens sa cyprine couler sur mon membre, ses muscles intimes masser ma verge et je n'ai que le temps de quitter le doux refuge avant de lui maculer le bas-ventre de mon jus.


Nous reprenons tous les quatre nos esprits puis retournons dans la salle principale. J'invite à mon tour Anne à danser et, amoureusement enlacés, nous nous laissons bercer par la musique.


- C'était bon ?

- Hum… oui… et toi ?

- Super ! Tu n'es pas jaloux ?

- Absolument pas mon amour. J'ai adoré te regarder avec Karl.

- On peut recommencer alors ?

- Coquine ! Bien sûr !


Karl et Martine nous rejoignent sur la piste et nous changeons de partenaire.


- Anne a déjà fait l'amour à une femme ?

- Oui. Une fois, il y a longtemps…

- J'ai très envie d'elle. tu crois qu'elle voudra…

- À mon avis, ça ne posera aucune problème.


À suivre ?

Sans plus de commentaires, il se pourrait que cette histoire s'arrête là. Nous trouveriez ça dommage ? Vous savez donc comment faire pour qu'elle se poursuive...
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